Djerba… Le temps des regrets - Tome 2

Jean Jacques Ciscardi

Description

L'enfance et l'adolescence ne peuvent jamaiss'oublier, surtout lorsqu'elles ont baigné dans ununivers doré. De la magnificence à l'incertitude,le pas ne s'emblait pas si cour mais en définitive,ô combien évident.Le petit Jeannot, devenu grand, allait connaitred'autres péripéties bien différentes de celles quiavaient enchanté son cæur. La France allait elledevenir sa ferre d'asile ? Peut être... mais alorspour un temps bien défini, celui qu'il avait décidéluimême, avant de reprendre racine dans son seulet unique univers, la Tunisie et son île divine,Djerba

Sujets

• Littérature Tunisienne
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• Roman
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Informations

• Publié par: Editions Arabesques
• Date de parution: 01 janvier 2017
• Nombre de lectures: 1
• EAN13: 9789938072471
• Langue: Français

Extrait

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Jean-Jacques Ciscardi

Djerba…

Le temps des regrets

Tome 2

Editions Arabesques 2017

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Livre: Djerba … le temps des regrets ( Tome 2 )  Auteur: Jean-Jacques Ciscardi Première édition Tableau de couverture réalisé par : Hassen Guerfallah Illustration : Safa Ouerghi Tous droits de reproduction, de traduction et d’adaptation réservés à l’éditeur: EDITIONS ARABESQUES ISBN: 978-9938-07-247-1 33, rue Lénine-Tunis 1000 Tél: [phone] www. editions-arabesques.tn E-mail: [e-mail]

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Préface Depuis toujours Jean Jacques Ciscardi, Jeannot pour les intimes, a été entiché par le charme de Jerba, l’île de Lotophages berceau de son enfance. Les circonstances du moment, ont fait que son père, un ancien gardien des sémaphores, les phares de l’île, quitte dès sa retraite, la Tunisie, pays où les gens se saluent avec sincérité. En 1957, la famille Ciscardi qui fit de la France sa terre d’asile, vint s’installer dans la région du sud-est, dans le village de Collioure. A cette époque, l’amoureux de Jerba, Jean Jacques était dans la splendeur de sa jeunesse, ivre de sa puissance physique. Comme tous les jeunes issus de famille modeste, il était préoccupé par son avenir. Fort de l’adage populaire «si l’on ne tente rien, on a rien», il s’engage dans la vie à la recherche d’un emploi. Ayant envie de connaître et de tout avaler, le jeune musicien guitariste quitte sa famille et monte à Paris, la ville des lumières et des possibilités multiples. Dés son arrivée, Jean jacques prend des contacts avec un grand nombre d’artistes. En quelques mois, il accumule des centaines de rendez-vous et d’heures d’entretiens avec les uns qui le recommandent à d’autres artistes amis, hommes et femmes. Et ce jeune musicien de 20 ans à

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l’enthousiasme contagieux, d’humeur égale, qui ne dit jamais non, qui fait toujours bonne figure, finit par abandonner ses amis artistes, le monde show-biz, les cabarets-paradis tel celui de Patachou, où il chantait. Il était par ailleurs déçu de l’hypocrisie de certaines célébrités et de leur mode de vie superfitatoire ! Bien qu’il n’ait jamais eu besoin d’argent, Jean Jacques rebrousse chemin avec sa guitare sur le dos et regagne le village de Collioure. Et là, la chance semble lui sourire, puisqu’il put entamer avec succès la deuxième tranche de sa vie, qui fut d’ailleurs et d’autant plus bien remplie, qu’il trouve l’âme sœur Alice avec laquelle il se marie au printemps de 1958 ; il trouva en même temps un travail à sa convenance, en l’occurrence dans la restauration où il a excellé… Après plusieurs années de labeur et tant de péripéties, Jean Jacques, prospère, décide au lendemain de sa retraite, avec l’accord de son épouse et de leurs trois enfants, de retraverser derechef la Méditerranée en direction de la Tunisie, terre où les gens se saluent avec la fièvre des pays chaux. Ainsi dés le début du troisième millénaire, Jean Jacques retrouve son paradis perdu, Jerba! Resté attentif à tout ce qui l’attache si profondément à l’île, il s’installe tout près de son quartier d’enfance Méllita… La bienveillance de ses amis de toujours lui donna ainsi qu’à ses fils non seulement confiance, mais aussi grâce à ses retrouvailles anciennes et nouvelles, plus de gaieté et de bonheur. Homme dynamique, Jean Jacques s’est amusé, depuis son retour sur l’île, à écrire et il a bien raison de le faire. Il s’est avéré par la suite

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être un véritable conteur, ayant du surcroît le don de savoir faire vivre au fil de ses écrits son passé vieux de plus de cinquante années et ses souvenirs de longue date. Relatant une épopée quasi légendaire, ses écrits constituent une saga caractéristique de sa vie allant de l’époque coloniale à la période venue après le vent de l’indépendance et de la liberté qui a soufflé sur la Tunisie. Il résulta de l’heureuse expérience de l’auteur, son premier bel ouvrage «La Légende vivante de Djerba.» Cette œuvre qui nous a enchantés, est suivie du présent livre «le temps ders Djerba regrets… »; il s’agit en fait d’une autobiographie pleine de verve et d’intérêt. D’autant que Jean Jacques sait encore une fois, expliquer les liens tissés entre lui et ses connaissances. Liens qui n’ont guère été rompus et qui tout en s’inscrivant dans la continuité, portent leur marque d’amitié. Aussi peut-on dire, que ces liens qui font l’objet d’une attention particulière de l’auteur, permettent de nourrir la réflexion. Telle est l’importance de ce nouvel ouvrage, dont le puissant et émouvant récit nous révèle comment Jean Jacques a lutté de toute la force de son exceptionnelle volonté, pour réussir son formidable pari d’une vie pleine d’évènements ayant fait de lui ce qu’il est : un écrivain et un homme d’amitié ! Comme le précédant livreLégende« La Vivante de Djerba», ce nouvel ouvrage intitulé «Djerba, le temps des regrets…» est illustré de divertissements aux multiples rebondissements toujours enthousiastes et réjouissants… Tmarzizet Kamel

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Les faits relatés dans cet ouvrage sont issus de souvenirs réels, l’œuvre en elle-même n’est pas un chef d’œuvre de littérature, mais elle a le mérite d’avoir été écrite avec le cœur de l’auteur grand amoureux de l’île de Djerba.

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 J.J C

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