Kanal, l'étudiant noir

Abdoulaye Diop

Description

Après avoir vécu 5ans à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, à la faculté des lettres et sciences humaines, au département d’anglais, M. Abdoulaye Diop a jugé nécessaire, sous la force d’une autobiographie un peu masquée de faire une rétrospection de son séjour jalonné de haut et de bas. A travers le personnage de Kanal, il dévoile la vraie vie de la plupart des étudiants sous un autre angle : ces étudiants qui s’arment de bravoure malgré les affres qui ne cessent de leur étrangler quotidiennement. Le but est de montrer que la vie de l’étudiant est un véritable parcours du combattant. Étant né dans un village habité généralement par les pêcheurs de la vallée ou « thioubalos » dans les profondeurs du Sénégal, l’auteur a voulu également magnifier, sous ce registre, que « l’arbre fut-il un baobab géant finit par terre quand il perd ses racines ». Il dévoile par le biais de sa plume cette belle culture des pêcheurs de la vallée ou « soulbalbé » mais aussi il surfe entre les cultures d’une part antagonistes et complémentaires d’autre part.

Sujets

• Littérature Sénégalaise
• Littérature sénégalaise
• Afrique
• Roman
• Livre

Informations

• Publié par: Editions Artige
• Date de parution: 05 mai 2021
• Nombre de lectures: 344
• EAN13: 9782490673704
• Langue: Français

Extrait

KANAL, L’ETUDIANT NOIR

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Tous droits réservés pour tous pays © CopyrightLes éditions Artige de Chidid Guédiawaye, Gadaye Cité Municipale Dakar Sénégal Conception:Alioune BadaraChidid Kanal, l’étudiant noir … 2020 Indicatif de l’éditeur: 978-2-490673-08-7 Editeur:Alioune BadaraChidid ISBN:978-2-490673-70-4 Tél:[phone] Boîte Postale: GW 15000 E-mail:[e-mail]

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 Abdoulaye DIOP KANAL,L’ETUDIANT NOIR

Roman

Les éditions Artige

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Dédicace

Alhamdulilahi Rabbil Alamin, une maniére de remercier le

seigneur de l’univers, celui dont nul n’a vuni le pair ni le père.

A mes quatre parents : Grand père, grand-mère, Père, mère

A toute la population de Soubalo Mboumba

A mes frères, sœurs, amis de cœur

A tous les étudiants et étudiantes des générations passées,

présentes et futurs.

A Baidy Ba le maire de Médina Gounass(Guédiawaye)

A Mariléne Laborde et sa niéce Johanna de l’autre bout du

monde (la France)

A Mamadou salif et son cousin Christian Livoury

A Me Babacar Sy, le poéte in-discipliné

A Boubacar Sow de Méry ainsi que Aicha Rassoul Top

A kalilou Diémé et sa famille à kolda ainsi que fatou Diouf

A vous chers formateurs et élèves-Maitre du centre William

Ponty de kolda ainsi que toute la G8

A Aminata Sonko de Ziguinchor

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Préface Le développement de la littérature enjambe le millénaire par l’actualité des idées développées dans cet ouvrage mi- romanesque, mi poétique. J’ai été ébloui par la finesse, la délicatesse, la richesse et la sagesse qui ressortent de cette prouesse romanesque, digne d’un élu reçu par la vicomtesse et qui ne dégage guère des relents de vesse. Après avoir vécu 5 ans à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, à la faculté des lettres et sciences humaines, au département d’Anglais, M. Abdoulaye Diop a jugé nécessaire, sous la force d’une autobiographie un peu masquée de faire une rétrospection de son séjour jalonné de haut et de bas . A travers le personnage de kanal, il dévoile la vraie vie de la plupart des étudiants sénégalais sous un autre angle : Ces étudiants qui s’arment de bravoure malgré les affres qui ne cessent de leur étrangler quotidiennement. Le but est de montrer que la vie de l’étudiant est une véritable parcourt du combattant. Etant né dans un village habité généralement par des pêcheurs de la vallée ou « thioubalos » dans les profondeurs du Sénégal, l’auteur a voulu également magnifier, sous ce registre, que « l’arbre fût-il un baobab géant finit par terre quand il perd ses racines ». Il dévoile par le biais de sa plume cette belle culture des pêcheurs de la vallée « soubalbé » mais aussi il surfe entre les cultures d’une part antagonistes et complémentaires d’autre part. Car Kanal gagna de l’expérience après son fameux séjour chez son ami étudiant où il fit la collecte des informations culturelles et historiques auprès des patriarches. Ce « petit fils d’Amadou hampathé Ba » met sa plume dans l’encre de la fraternité pour revivifier la culture et agir de sorte que les

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villages relégués comme dans un gouffre, soient connus de tous. Toujours en est-ilque des petits villages pétris d’histoires à couper le souffle, se comptent par millions dans le Sénégal mais qui par l’évolution des faits caléidoscopes de la modernité, sombrent dans l’oubli. La modernité dicte aux générations du tiers monde sa loi au point d’oublier leur identité. Résultat ils se gourent dans un univers équivoque. La modernité nous distille des choses édulcorées. Un monde sans fioriture ni complaisance, on en a aucune chance. Ce roman apparait ainsi comme une sensibilisation à la jeunesse africaine, de surcroit sénégalaise surtout de croire en leur potentiel et de se nourrir de ses vaillants Hommes sans aucune complexe. En parcourant le roman, le lecteur butera sur divers thèmes entremêlés qu’il a embrassés comme la politique, le civisme, l’identité culturelle, la persévérance, la responsabilité assumée, l’identité culturelle, les pans d’une personnalité… etc. dont la maturation de la toile de fond et les phrases ont abouti à une uniformité sans faille. Non pas pour les traiter de manière doctorale ou exhaustive, mais plutôt qui pourront sonner comme un rappel, une prise de conscience qui, pour ainsi dire serviront de bréviaire pour tout un chacun Préface de BabacarSy Juriste spécialisé en relation internationale

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