Les nouvelles de l'université

Papa Mbissane Sarr

Description

Dans cette belle contribution, l’auteur retrace les péripéties de l’étudiant pris entre l’étau de l’UCAD et l’enclume du lointain village situé dans le Baol. Le segment qui relie ces deux entités est traversé d’évènements divers, de sensations fortes, d’échecs, de reniements mais aussi et surtout d’espoirs et de rêves. A travers le personnage de Ngagne, l’auteur nous invite à revisiter la vie estudiantine dans ses différentes facettes qui vont des tracasseries de l’inscription à la tragédie du restaurant en passant par la tyrannie des cours et des évaluations. Il faut, hélas, ajouter à ce sombre tableau les turpitudes de la vie sentimentale, la violence dans le campus universitaire et dans les stades ainsi que la phobie du futur qui conduisent à une longue et instructive réflexion sur les droits de l’homme et le suicide.

Sujets

• Littérature Sénégalaise
• Littérature sénégalaise
• Afrique
• Roman
• Livre

Informations

• Publié par: Editions Artige
• Date de parution: 05 mai 2021
• Nombre de lectures: 28
• EAN13: 9782490673506
• Langue: Français

Extrait

LES NOUVELLES DE L’UNIVERSITÉ

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Tous droits réservés pour tous pays © CopyrightLes éditions Artige de Chidid Guédiawaye, Gadaye Cité Municipale Dakar Sénégal Conception:Alioune Badara Chidid Les nouvelles de l’université… 2021 Indicatifde l’éditeur: 978-2-490673-08-7 Editeur:Alioune Badara Chidid ISBN:978-2-490673-50-6 Tél:[phone] Boîte Postale: GW 15000 E-mail:[e-mail]

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Papa Mbissane SARR

LES NOUVELLES DE L’UNIVERSITÉ

Nouvelles

Les éditions Artige

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Préface

Dans cette belle contribution, l’auteur retrace les péripéties de l’étudiant pris entre l’étau de l’UCAD et l’enclume du lointain village situé dans le Baol.

Le segment qui relie ces deux entités est traversé d’évènements divers, de sensations fortes, d’échecs, de reniements mais aussi et surtout d’espoirs et de rêves.

A travers le personnage de Ngagne, l’auteur nous invite à revisiter la vie estudiantine dans ses différentes facettes qui vont des tracasseries de l’inscription à la tragédie du restaurant en passant par la tyrannie des cours et des évaluations. Il faut, hélas, ajouter à ce sombre tableau les turpitudes de la vie sentimentale, la violence dans le campus universitaire et dans les stades ainsi que la phobie du futur qui conduisent à une longue et instructive réflexion sur les droits de l’homme et le suicide.

A l’arrivée, Ngagne échoue dans ses études et se voit obligé de retourner à Dakar pour bricoler des activités de survie et soulager la peine de ses parents qui ont, jusqu’ici, entretenu

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l’espoir de changer de condition de vie dès que leur enfant a obtenu le bac quelques années plutôt.

Ainsi, par le prétexte de l’anecdote, l’auteur invite ses lecteurs à méditer plus profondément sur le sens de la liberté, de la responsabilité, du succès, de l’échec et de l’existence. Il nous invite à réfléchir simplement sur le sens.

Dans une société où les valeurs s’affaissent où le périmètre du capital symbolique se rétrécit, où les modèles se dénaturent et où les traditions se délitent, il sied bien d’engager le débat autour des principes fondateurs de notre vie en communauté et des idéaux pour et par lesquels nos actions individuelles et collectives ont un sens.

Sans prétendre se situer dans la position de celui qui donne des leçons ou titille les consciences, l’auteur avoue clairement être mû par le souci d’apporter une modeste contribution à partir de l’observation de la vie au quotidien d’un étudiant. Ngagne.

Dr Djiby Diakhaté Sociologue, enseignant / chercheur, Consultant

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Note de début

Je n’essaie pas par-là d’aborder comme dans un fourre-tout, tous les thèmes de la vie, ou de repenser tous les maux que j’ai remarqués, à partir d’une plume toute modestie mise à part suffisamment immature, mais de faire un ramassis de choses qui marquent certains instants de mon soi.

« Nouvellesde l’université» tel que je le présente reste un extrait de séquences de vie, soit du pur vécu, en personne, via la camaraderie, ou d’échos que j’ai d’une vie que j’ai envie de décrire lamentable et belle à la fois.

Je la concevrais comme une plaidoirie manifeste, qui compte tenu du fait que je ne sois avocat, je ne pourrais défendre dans un barreau.

Puissiez-vous lecteurs vous sentir dans le bain de ce qui rythma pendant plus de deux ans l’auteur essayant!

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