Peinda, la fille malheureuse des forêts

Samba Diama Top

Description

Peinda, la fille malheureuse des forêts est une fiction agrémentée de nombreux faits réels mais surtout d’actualités politiques. J’y mets en vedette une jeune fille qui s’appelle Peinda. Elle est née en pleine forêt lors d’un déplacement de ses parents pasteurs du village de Kankou, dans le Waalo au village de Noukouré situé à la frontière entre le Djolof et le Sine-Saloum pour sauver leur bétail des affres d’une rude saison sèche. Peinda est une fille qui a reçu une bonne éducation de ses parents. Elle a passé toute son enfance dans la maison paternelle. Elle a fréquenté le daara de son village natal mais elle n’a jamais été à l’école française. Elle a une beauté angélique avec un teint métissé et une chevelure qui lui tombe jusqu’aux hanches. En dépit des multiples mésaventures qui ont jalonné son existence, Peinda est restée une personne digne, courageuse et très laborieuse. Elle a pu se relever après chaque épreuve. Sa maman l’a excisée et l’a donnée en mariage à un riche vieil homme qui a l’âge de son papa. Ils ont eu un enfant mais le vieux est victime d’une hémiplégie le jour même de la naissance de cet enfant. Il rendra l’âme quelques mois plus tard.

Sujets

• Littérature Sénégalaise
• Littérature sénégalaise
• Afrique
• Roman
• Livre

Informations

• Publié par: Editions Artige
• Date de parution: 04 mai 2021
• Nombre de lectures: 180
• EAN13: 9782490673506
• Langue: Français

Extrait

PEINDA, LA FILLE MALHEUREUSE DES FORÊTS

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Tous droits réservés pour tous pays © CopyrightLes éditions Artige de Chidid Guédiawaye, Gadaye Cité Municipale Dakar Sénégal Conception:Alioune Badara Chidid Peinda la fille malheureuse des forêts … 2021 Indicatif de l’éditeur: 978-2-490673-08-7 Editeur:Alioune Badara Chidid ISBN:978-2-490673-50-6 Tél:[phone] Boîte Postale: GW 15000 E-mail:[e-mail]

 SAMBA DIAMA TOP

PEINDA, LA FILLE MALHEUREUSE DES FORÊTS

Roman de fiction

Les éditions Artige

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DÉDICACE

Je dédie ce travail : - Aux femmes rurales sénégalaises particulièrement à ma regrettée maman, Yaye Kéwé Ndao. - À mon adorable papa, Baye Aldiouma Top, qui était un agriculteur infatigable. - À mes aimables enfants et à leur tendre maman, Marième Kamara. - À mon terribleami d’enfance, Moussa Ndiaye Top, avec qui je partais demander du lait caillé aux pasteurs nomades dans la vaste savane herbeuse de Guirodji. - À mon camarade de classe àl’élémentaireetami d’enfance, Papa Guèye, rappelé au bon Dieu à la fleur de l’âge. Une pensée très pieuse aux compatriotes sénégalais emportés par la Covid-19. C’est en pleine pandémie quej’ai commencé la rédaction de cette fiction, plus exactement le 10 avril 2020 vers 16 heures, après la prière du vendredi.

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REMERCIEMENTS Je ne saurais publier ce roman sans remercierdu fond du cœur deux acteurs émérites du système éducatif sénégalais : - Madame Diop Mariama Niang, Directrice du Centre Régional de Formation des Personnels de l’Éducation (CRFPE) de Thiès, qui a accepté, sans condition aucune, de me faire cette préface succincte mais très fidèle à mon travail. - Mon maître de CM2, Inspecteur Albert Yade, quim’a conseillé et orienté tout au long de la rédaction de cet ouvrage. - Je remercie également mon neveu, Khadim Bamba Top, pour sa contribution positive dansl’explication des concepts wolofs. - Enfin, je remerciemon cousin et ami d’enfance, Adama Marone l’Italiano, qui a commandé l’ouvrage bien avant même que je ne termine la rédaction.

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PRÉFACE

Avec le même style fascinant que dansLes souvenirs d’un enseignant Naré-Naré, Samba Diama Top nous apporte avec cette autre de ses œuvres un beau et puissant message à travers l’histoire de Peinda. C’est le cœur même de l’actualité politique et les transformations sociales qui se manifestent dans ce roman de fictiond’une rare accessibilité. Il traite des œuvres apparemment fictives contenant des faits véridiques sur des personnes et des événements réels. Dés les premières lignes on y retrouve la réalité géopolitique peinte avec un style d’une magnifique simplicité et d’une beauté qui se reflète dans une trame narrative incarnée par Peinda, La fille malheureuse des Forêts.  En alternant la tradition et la modernité, en passant des royaumes du Sine-Saloum à la Corniche-Ouest de Dakar, de la femmerurale à la femme d’affaires, de la transhumance à la vengeance, Samba Diama Top affirme sa volonté de restaurer la justice et d’améliorer le sort de l’humanité victime et souffrante; une impulsion qui a enflammé son cœur et son esprit depuis sa plus tendre enfance.

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Enseignant de profession, il prône le retour aux sources en dirigeant ses enseignements vers les tréfonds de notre conscience émotionnelle et spirituelle. Les valeurs de dignité, d’honneur, de prudence, de sagesse, de cohésion, de courage, de persévérance, véhiculées par l’éducation des « daara », sont perçues à travers une série d’événements malheureux. Malgré les multiples épreuves ressemblant à une série de malédictions, Peinda a pu toujours puiser sa force au plus profond de son existence pour se relever. Ce roman constitue une réelle valeur ajoutée au projet de revalorisation de la littérature africaine de langue française. C’est une belle œuvre littéraire qui rend également hommage à la femme sénégalaise en général et à la femme rurale en particulier. Elle peint en même temps le tableau de la société sénégalaise avec ses réalités culturelles, politiques et économiques. C’est un ouvrage à découvrir absolument, surtout pour ses références à cette époque qui se perd dans la nuit des temps, où l’éducation dite traditionnelle étaitréelle éducation aux une valeurs. Madame Diop Mariama Niang, Directrice du Centre Régional de Formation desPersonnels de l’Éducation (CRFPE) de Thiès.

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