Les mémoires de madame Dovi – Confessions d’une sorcière vodu

Adri Nyakpekpe

Description

En se confessant au père Adodo, Madame Dovi relate comment elle a détruit la vie de sa fille unique. Un roman qui révèle la perversité de l'être humain dans sa quête de connaissance.

Sujets

• mémoire
• Mémoire
• Confession
• Roman

Informations

• Publié par: Anibwé Editions
• Date de parution: 15 mars 2008
• Nombre de lectures: 6
• EAN13: 9782916121079
• Langue: Français

Extrait

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© Anibwe 2007, Paris EAN : 97829161210 79 Éditions Anibwe 1 rue Boyer-Barret, 75014 Paris Tél. [phone] www.anibwe.com

“Bénissez-moi

mon père…”

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Avertissement

Toute ressemblance avec des personnages ou des lieux de ce récit ne serait pas fortuite. Il s’agit bien de confessions. Des confessions d’une sorcière vodu. Mais la révélation du secret initiatique est une transgression majeure. Cette forfaiture expose l’auteur à la damnation. C’est pourquoi l’auteur a signé ce récit sous un faux nom. Les voies du vodu sont aussi complexes que l’entrelacement du chapelet divinatoire ! Pour comprendre le vodu, il faut le replacer au niveau du psychisme. Chaque être humain, en l’occurrence son moi intérieur, est un maillon d’une énergie psychique collective. Cette énergie psychique collective est-elle différente de l’Être Suprême que les Chrétiens appellent Dieu ? Toujours est-il que si vous pouvez communiquer consciem- ment avec cette énergie, le vodouisant vous qualifiera de sorcier. Le mode opératoire du sorcier consiste à accéder au psy- chisme collectif pour y guérir le psychisme individuel. La guérison du psychisme individuel rejaillit sur le corps physi- que par somatisation. Le corps biologiquement abîmé se traite par la pharmacopée ou la médecine moderne. Le sor- cier malfaisant procède de la même manière. Mais par déviance, il dépose le poison dans le psychisme individuel qui somatise dans le corps physique. Voilà brièvement le principe du Vodu expliqué en prenant pour support la sor- cellerie. Nous comprenons donc que dans le Vodu, il y a le bien, et, il y a le mal. Ce n’est qu’une réalité inhérente à tous

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