Les Pousseurs de pensée: Les Dimensions de l’esprit : Tome 2
164 pages
Français

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Les Pousseurs de pensée: Les Dimensions de l’esprit : Tome 2 , livre ebook

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Description

La suite très attendue du livre Les Lecteurs de pensée par un auteur de bestsellers au classement du New York Times et de USA Today .



Que suis-je ?



Qui a tué ma famille ?



Pourquoi ?



Il me faut des réponses avant de me faire tuer par la mafia russe. 



Si mes amis ne me règlent pas mon compte avant.

Informations

Publié par
Date de parution 25 juin 2019
Nombre de lectures 14
EAN13 9781631421259
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0012€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Les Pousseurs de pensée
Les Dimensions de l’esprit : Tome 2


Dima Zales

♠ Mozaika Publications ♠
Table des matières


Mentions légales
Description

Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29

Extrait de Le Code arcane
Extrait De Liaisons Intimes De Anna Zaires
À propos de l’auteur
Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, les personnages, les lieux et les événements sont soit le produit de l’imagination de l’auteur, soit utilisés de manière fictive. Toute ressemblance avec des personnes, vivantes ou non, des entreprises, des événements ou des lieux réels n’est que pure coïncidence.
Copyright © 2014 Dima Zales
www.dimazales.com/francais.html .
Tous droits réservés.
Sauf dans le cadre d’un compte-rendu, aucune partie de ce livre ne doit être reproduite, scannée ou distribuée sous quelque forme que ce soit, imprimée ou électronique, sans permission préalable.
Publié par Mozaika Publications, une marque de Mozaika LLC.

www.mozaikallc.com

Couverture par Najla Qamber Designs

www.najlaqamberdesigns.com

Traduit de l’anglais (États-Unis) par Suzanne Voogd
Révision linguistique par Valérie Dubar
e-ISBN : 978-1-63142-125-9
Print ISBN : 978-1-63142-126-6
Description


Que suis-je ?
Qui a tué ma famille ?
Pourquoi ?
Il me faut des réponses avant de me faire tuer par la mafia russe.
Si mes amis ne me règlent pas mon compte avant.
1

M on téléphone fait un bruit très irritant. Mais pourquoi l’ai-je posé à côté du lit ?
Je lutte à contrecœur pour me réveiller. Le bruit énervant continue alors j’attrape mon téléphone.
— Allô ?
Ma voix est toute rocailleuse. Combien de temps ai-je dormi ?
— Darren, c’est Caleb. Je t’attends en bas de l’immeuble. Descends.
L’adrénaline monte d’un coup et je passe dans le Calme. Je suis couché sur le côté gauche du lit, à côté de mon corps figé. Son visage a un regard pitoyable et très inquiet. Mon visage.
J’attrape ma montre sur la table de chevet. Il est 6 h 13.
Les événements des jours précédents me reviennent en tête avec une clarté surprenante. Le séjour à Atlantic City où j’ai rencontré Mira pour la première fois. Mon ami Bert qui a fait des recherches sur elle. La rencontre avec elle et son frère Eugene dans leur appartement de Brooklyn. Le moment où j’ai appris que j’étais un Lecteur. Mira qui se fait kidnapper par les Russes et notre demande d’aide à la communauté des Lecteurs. Caleb et Julia qui nous aident. Tout me revient, suivi du pire.
J’ai Poussé quelqu’un.
C’est un acte qu’aucun Lecteur ne devrait pouvoir faire. Quelque chose que seuls les Pousseurs, haïs par les Lecteurs, peuvent faire.
J’ai retiré le libre arbitre de quelqu’un.
Et maintenant, Caleb est ici à l aube.
Merde . Mon cœur s’emballe. Mira m’a-t-elle vraiment dénoncée ? Peut-être auprès de l’entière communauté des Lecteurs ? Et si c’est le cas, qu’est-ce que cela signifie pour moi ? Que font les Lecteurs aux Pousseurs ? Je me souviens que Mira menaçait de tuer tous les Pousseurs qu’elle rencontrerait. Que se passe-t-il si je suis un de ces Pousseurs ? Si les autres Lecteurs apprenaient que j’ai Poussé ce gars pour qu’il se jette entre Mira et cette balle, que feraient-ils ? Rien de bon, j’en suis sûr. Mais pourquoi révèlerait-elle ce que j’ai fait ? La seule raison pour laquelle elle est encore en vie, c’est parce que j’ai Poussé ce type à prendre la balle à sa place, et elle doit le savoir.
Caleb est-il là pour une autre raison ?
Aussi étrange que cela puisse paraître, je lui dois encore un voyage dans l’esprit de quelqu’un d’autre. Est-il là pour ça ? Ce serait nettement préférable. Je ne veux pas qu’il sache que je suis un Pousseur.
Si c’est effectivement ce que je suis. Hier, j’ai eu l’air de prouver que j’étais un Lecteur. Je l’ai prouvé deux fois, à deux personnes différentes. Ils semblaient convaincus. Cela signifie-t-il que les Lecteurs ne savent pas réellement ce que les Pousseurs peuvent ou ne peuvent pas faire, ou bien est-ce que c est autre chose ? Je ne suis peut-être ni un Lecteur ni un Pousseur. Existe-t-il une troisième possibilité ? Il existe peut-être d’autres groupes dont nous n’avons même pas entendu parler.
Suis-je les deux ? Un hybride. Est-il possible qu’un de mes parents ait été un Lecteur et l’autre un Pousseur ? Si c’est le cas, je suis le résultat d’un mélange des sangs ce qui, d’après Eugene, est un énorme tabou. Mira et lui sont des sang-mêlé, alors il est sans doute plus ouvert d’esprit à ce sujet que les Lecteurs purs et durs. Cela signifie-t-il que mon existence va à l’encontre de quelques règles absurdes ? Cela pourrait expliquer pourquoi mes parents biologiques étaient convaincus que quelqu’un voulait les tuer.
Cela pourrait expliquer pourquoi ils ont été assassinés.
Je pourrais rester ici dans le Calme à réfléchir pendant des heures, mais toutes les réflexions du monde ne feraient pas partir Caleb. Il faut que je sache ce qu’il fait ici.
Je sors du lit et je marche nu vers la porte. Dans le Calme, personne ne peut me voir, je ne m’en soucie donc pas.
Je descends jusqu’au rez-de-chaussée en ne portant que mes pantoufles et je sors par la porte d’entrée. Il y a en fait un nombre surprenant de personnes dans la rue : des conducteurs, des piétons, même des gens de la rue, tous figés dans le temps. Ils doivent être fous pour être debout si tôt.
Je ne mets que quelques instants à localiser la voiture de Caleb. Elle est garée précisément à l’endroit où il m’a déposé hier. Il semble avoir ses petites habitudes.
Il tient son téléphone. C’est drôle de savoir que je suis à l’autre bout de ce coup de fil. J’examine soigneusement l’intérieur de la voiture, cherchant des indices pour expliquer ce qu’il fait ici. Je ne trouve rien, si ce n’est deux cafés dans des tasses en carton. Y en a-t-il un pour moi ? Comme c’est gentil. Je trouve bien un pistolet dans la boîte à gants, mais cela ne m’inquiète pas réellement. Caleb est le genre de type à cacher des pistolets partout juste au cas où.
Je ne m’approche pas de Caleb lui-même, car si je le touche je le tirerai dans la Dimension de l’esprit — c’est comme cela qu’il appelle le Calme — et il saurait alors que je l’espionne. Sans mentionner les vannes parce que je suis tout nu.
Déçu de ne pas pouvoir obtenir plus d’informations, je retourne à l’appartement. Je touche la main de mon corps figé qui serre le téléphone, et je sors du Calme.
— C’est à quel sujet, Caleb ? Je viens juste de me réveiller.
Ma voix est toujours rauque, alors je tousse en couvrant le téléphone de la main gauche.
— Sors et on parlera, répond-il.
Je ne suis pas d’humeur à écouter un long débat. Connaissant les capacités de Caleb, s’il était ici pour me faire du mal, je me serais sans doute réveillé avec son pistolet dans la bouche.
— Je serai en bas dans vingt minutes, lui dis-je.
— Dix, dit-il en raccrochant.
Il y a vraiment des gens qui n’ont aucune courtoisie.
Je me lève rapidement, je me brosse les dents et je m’habille. Puis je me prépare un smoothie vert : ma solution pour un petit-déjeuner mobile. Trois bananes congelées, une grosse poignée de noix de cajou, une dose d’épinards et une dose de chou frisé finissent dans le mixeur. Quelques secondes bruyantes plus tard, je suis en route avec une tasse géante dans la main. Je prépare souvent un smoothie pour gagner du temps les rares fois où je me rends au bureau.
En parlant de travail, Caleb ne comprend-il pas que les gens normaux ont des emplois où ils doivent se rendre le mercredi matin ? Ce n’est pas mon cas, mais ce n’est pas la question. Je suis encore plus irrité maintenant. D’un autre côté, il est tôt, et nous aurons peut-être fini avant que la journée de travail commence.
— T’as intérêt à avoir une bonne raison pour me tirer du lit si tôt.
J’ouvre la portière de la voiture de Caleb.
— Bonjour à toi aussi, Darren.
Il ne tient pas compte de mon air renfrogné et il démarre la voiture dès que je monte.
—&

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