Chacun ses rêves et son destin
293 pages
Français

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Chacun ses rêves et son destin , livre ebook

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Description

Fils d’un père Agent décisionnaire de l’Etat et d’une mère « Ménagère-Cultivatrice », tous deux de confession catholique, Louis-Victor Bekima, auteur de ce chef-d’œuvre intitulé « Chacun ses rêves et son destin », est né le 11 février 1961 à la maternité de l’Hôpital Central de Nkongsamba. Issu de famille très modeste et malgré une enfance pas facile, Louis-Victor grandira dans un environnement empreint de bonheur et de joie de vivre. Il mènera ses études primaires à l’Ecole Publique Groupe II du « Plateau », ses études secondaires au collège Sainte Jeanne-d’Arc à Nkongsamba, et au Collège du Levant à Douala où il obtient son Baccalauréat D. Ensuite, il poursuivra ses études supérieures à l’Université de Yaoundé et à l’Institut des Techniques Agricoles du Centre Universitaire de Dschang où il obtiendra tout à son honneur, son Diplôme des Ingénieurs des Travaux Agricoles. Il est intégré dans l’administration camerounaise par le biais du Ministère de l’Agriculture. Il est affecté comme stagiaire en vulgarisation agricole dans l’Arrondissement de Sangmélima, Département du Dja-et-Lobo. Au terme de deux ans de stage, il est nommé comme Délégué d’Arrondissement d’Agriculture de Meyomessala avec résidence à Mvomeka’a, chez le Chef de l’Etat Son Excellence Paul Biya. Ayant idéalement commencé son service dans la Fonction publique, Louis-Victor va connaître une carrière difficile au point où il verra une partie de ses rêves et de ses espoirs fondrent comme neige au soleil. Mais, il ne va pas baisser les bras pour autant. Il va continuer à travailler tout en se formant. Ainsi, de 1998 à 2005, il obtiendra brillamment son Diplôme d’Etudes Spécialisées (DESS) en Sciences de l’Environnement à l’Université de Yaoundé I et quelques années plus tard, à l’étranger, deux certificats dans le domaine de la gestion de l’environnement et du développement durable. Il finira sa carrière comme Délégué Départemental de l’Environnement. Sur le plan conjugal, Louis-Victor est marié à Bekang SEN Marthe Solange. Il est père de cinq enfants dont Bekima Epety Marthe Yéléna, Bekima Bi Bekima Yvan Alvarez, Bekima Bekang Gilles Ghislain, Bekima Elong Cindy Mirka et Bekima Piya Simon Pierre.

Informations

Publié par
Date de parution 24 octobre 2020
Nombre de lectures 10
EAN13 9782312075938
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0012€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Chacun ses rêves et son destin
Louis - Victor Bekima
Chacun ses rêves et son destin
LES ÉDITIONS DU NET
126, rue du Landy 93400 St Ouen
© Les Éditions du Net, 2020
ISBN : 978-2-312-07593-8
Avertissement de l’auteur
Cet ouvrage intitulé « Chacun ses rêves et son destin » , est un livre sans complaisance qui ne triche à aucun moment. Il n’est non plus une œuvre d’autosatisfaction mais, le récit d’histoires individuelles faites d’un savant dosage d’aventures réelles et d’une infime partie imaginaire. Il est formé d’un tout de différentes parties riches d’anecdotes aussi captivantes et passionnantes les unes que les autres sur la vie de l’auteur. C’est un chef-d’œuvre de recherche, d’intelligence, d’amour, de passion et de foi. Il est basé sur des faits réels, des documents officiels et des témoignages personnels vrais où des faits biographiques vécus sont parfois mêlés à de la fiction et l’imagination. Par conséquent, il n’est pas exclu que certaines de ses parties présentent fortuitement, de près ou de loin, des ressemblances avec des évènements, des personnes existantes ou ayant existé. Par ailleurs, ce roman, parfois très émouvant et émoustillant, mérite d’être lu du début jusqu’à la fin. Il ne cherche pas à être autre chose que qu’il est. Aussi , ne doit-il à aucun moment être interprété sous un autre prisme à des fins inavouées et ne doit non plus jamais être transformé en ce qu’il n’est pas. Aucune personne, ni association, ni communauté, ni organisation, ni tribu ou ethnie n’est visée et/ou ciblée.
Dans ce roman qui est l’émanation profonde des rêves les plus légitimes de l’auteur , les histoires ont été écrites de manière à capturer l’intérêt du public. Un livre n’est pas jugé à sa couverture, aussi n’attend-il que vous pour être lu intégralement. Devenez des lecteurs bénévoles de cet ouvrage captivant pour vous-mêmes et pour la postérité.
Louis-Victor Bekima , Yaoundé , 12 Juin 2016
Préface
Voici un ouvrage qui résulte de la décision prise par l’auteur d’écrire lui-même l’histoire de sa propre vie. Ce roman lui a été inspiré en permanence vers la fin de sa vie socioprofessionnelle et il espère à travers lui accomplir sa vision et tenter ainsi de capturer l’attention du grand public. Commencé à être rédigé quelques jours avant sa retraite, ce livre-témoignage passionnant essaie de raconter les plus beaux moments mais aussi les plus tristes souvenirs de sa vie notamment de son enfance, de son adolescence, de sa jeunesse, ses études, son embauche à la fonction publique, ses mutations et ses nominations. Il relate aussi l’histoire de ses défis, de ses réussites et de ses échecs qu’il a vécus durant sa vie scolaire, estudiantine et socioprofessionnelle. Son parcours n’a pas été des plus simples. Issu d’une famille pauvre, il a dû se battre comme un lion au prix de nombreux sacrifices personnels, pour se tailler une place dans la « mésosphère sociale » de son pays et fonder une famille.
Par ce long récit réel en proses et un tant soit peu imaginé, l’auteur cherche à éveiller l’intérêt du lecteur par la peinture des tribulations d’une enfance angoissée, du parcours du combattant dans la sphère administrative d’un agent public de souche modeste sans soutien, et enfin par la singularité de certaines aventures épiques et cocasses réellement vécues tout le long de sa carrière dans la Fonction Publique de son pays, depuis son premier poste de travail jusqu’à l’ultime. Dans cet ouvrage, l’auteur essaie de mettre en lumière le caractère impitoyable du monde socio-professionnel où la jalousie et la médisance, la toute-puissance de certaines autorités qui prennent parfois des décisions sans discernement, sont à l’origine de frustrations atroces et de déceptions cruelles qui peuvent être le lot quotidien de certains agents pourtant méritants. Ayant bien commencé son service dans l’Administration , l’auteur va connaître une fin de carrière pas tout à fait idéale. Les douleurs psychiques et les tortures morales qu’il a endurées dans certains services centraux où il a travaillé, l’ont amené à croire que la vie de certains ne tiendrait qu’à un fil ténu, tenu par des plus puissants qui détiendraient le pouvoir de vie ou de mort sur les autres. Ou alors que l’acharnement du sort serait tel que certains auraient été choisis par la providence pour être conduits au paradis alors que les autres seraient des laissés pour compte. L’auteur s’abstient ici de décrier publiquement l’ensemble des institutions administratives qui régissent son pays le Cameroun qu’il aime tant, tout comme il se garde d’apprécier les récriminations hostiles faites parfois à l’encontre de certains dirigeants. Mais , il voudrait incarner la rupture en prenant le courage de dénoncer ici en son âme et conscience, certaines pratiques peu orthodoxes qui se déroulent dans certaines administrations à l’image de celles où il a servi. Il pense à juste titre, qu’il ne peut pas être le seul fonctionnaire taré qui pense que ces pratiquent n’existent pas au Cameroun comme partout ailleurs. En effet, d’indubitables mesures mises en place dans les deux derniers départements ministériels où il a servi étaient discriminantes. De surcroît, Il a été un fonctionnaire victime de beaucoup d’injustices et il n’en veut pour preuve que certaines politiques de nomination, d’affectation ou de sélection en vue des études de spécialisation à l’étranger, entre autres.
Bien plus, il se rend compte à son détriment qu’ici-bas, tout peut s’acheter hélas, par quelque moyen que ce soit, pourvu que l’on en paye le prix. Mais le faire, alors que l’on est sûr de sa force et conscient de ses capacités, serait se rendre coupable des faits de corruption physique que le Gouvernement de son pays combat avec la dernière énergie, sans faiblesse ni haine, et de l’autre côté, de corruption morale qui, sur un plan des valeurs purement personnelles et intrinsèques qu’il tient de l’éducation reçue de ses parents et de sa forte croyance en Dieu, ne ferait pas vivre consciencieusement dans la paix intérieure en toute sérénité. Pour tout dire, l’auteur a refusé simplement de corrompre, de se corrompre ou de se laisser corrompre pour bénéficier d’une ascension sociale plus rapide et facile. Il appartient au lecteur, de juger des souffrances morales infligées à un agent public pourtant à la hauteur de tous les défis qui ont été les siens dans l’exercice de ses fonctions, et de leurs répercussions endurées par lui-même, sa famille et ses proches, et ceci par la seule volonté inhibitrice de certains hiérarques qui ne visent que la démoralisation, l’abaissement avilissant et la démolition de certains cadres qui non pour seule ambition que de servir leur pays au moyen de leurs compétences et d’aspirer légitimement in fine au bonheur. Ceci est d’autant plus vrai que ces hiérarques répugnent à se remettre en cause, répugnent à mettre en cause les décisions qu’ils prennent, furent-elles injustes et erronées. Cette « brutalité administrative » très dommageable que l’auteur a subie injustement mais stoïquement et telle qu’elle a été exercée, court le risque de promouvoir les non-méritants au détriment des plus méritants, de se rapprocher plus du mauvais que du bon, ou plus grave, de renforcer l’inertie systémique (relevée et condamnée par la plus haute autorité de son beau pays qu’il aime tant) qui caractérise le fonctionnement de l’appareil administratif et qui peut conduire à terme à la paralysie du service public. Les pratiques désuètes, passéistes et négatives telles que la corruption, le tribalisme, le favoritisme, le népotisme, le copinage qui tirent malheureusement et insidieusement vers l’arrière, doivent être proscrites au grand jamais ; par contre, les valeurs positives à l’instar de l’intégrité, la ponctualité, le dévouement et l’amour pour le travail, la compétence, le savoir-faire et le faire-savoir, le patriotisme qui propulsent résolument et avantageusement vers l’avant, qui portent vers l’avenir et qui sont gages de progrès durable, doivent être exaltées, évaluées et appréciées à l’aune de la nouvelle administration camerounaise qui est en train de faire sa mue irréversible de

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