Tout a commencé aux funérailles de Madjé, mère de Mercus,décédée dans des circonstances obscures. Cette mort subite, sourcede disputes, indigne la plupart des proches et parents de la défunte.Si les uns l’imputent à la volonté de Dieu, d’autres y voient l’œuvremanifeste de la sorcellerie. Néanmoins, le pasteur Réba réussit àcalmer les esprits. De nombreuses réunions convoquées dans le butde trouver une adoption familiale pour Mercus, le plus jeune enfant,ne débouchent sur aucune solution satisfaisante. Ainsi,Mbaidanoum, le veuf, décide de s’occuper de ses enfants, aprèsavoir été rembarré par le directeur d’un orphelinat.L’Afrique, ce continent riche de ses maux, où la politique est subie.La rue n’a jamais enfanté mais curieusement, les enfants démunissont appelés « enfants de la rue ». Ceux-ci, abandonnés à leur tristesort, errent piteusement sous le regard nonchalant des gouvernants.Heureusement, quelques hommes et femmes de bonnes volontés,tels Anicet et Sabane, se donnent pour leur venir en aide.
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à ma très chère mère MADJIBEYE Louise qui n’est plus de ce monde ;
à tous les enfants abandonnés qui, dans les rues des pays africains, sont en train d’errer, en cherchant de quoi survivre ;
à ceux qui luttent pour la vraie liberté de l’Afrique.
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REMERCIEMENTS
Je remercie tout d’abord le bon Dieu.
Je reste très reconnaissant à l’égard de mon pèreNGABA Paul pour tout son appui.
Qu’il me soit aussi permis de remercier de tout cœur, le Dr MAMADI Robert duDépartement de Lettres Modernes de l’Université Adam Barka d’Abéché qui, par son expérience professionnelle, a contribué à l’amélioration de cette pièce.
Je demande au Seigneur de bénir davantage mon grand frère le Dr Mbaindoh Beltolna et toute sa famille pour le soutien multiforme qu’ils m’ont apporté durant mes études.
Merci aux frères et sœurs qui, de près ou de loin, m’ont tendu la main.