Modèle économique de la DSI
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Description

Modèle économique de la DSI présente une méthodologie permettant d'analyser la structure des coûts de la Direction des Systèmes d'Information et d'identifier les pistes d'amélioration ou de productivité. La DSI dispose, ici, d'un outil puissant pour optimiser ses activités et clarifier son dialogue avec les métiers au travers d'un catalogue de services formalisé et valorisé.
Cette méthode est illustrée par les avis et les retours d'expérience d'acteurs majeurs de secteurs d'activité variés. Ces derniers offrent une expertise à la fois du point de vue du contrôle de gestion et de la DSI.
Ces contributions de professionnels de la finance ou des TIC révèlent les bénéfices attendus d'une bonne mise en place d'un modèle économique DSI ainsi que les pièges à éviter lors d'une telle démarche.
Avant-propos. Introduction : pourquoi un modèle économique. Chapitre 1. Coûts et valeur du système d'information. Chapitre 2. Le catalogue de services de la direction des systèmes d'information. La mesure des coûts par une approche Activity Based Costing. Chapitre 4. Le modèle d'analyse et de benchmarking des coûts informatiques du CIGREF. Chapitre 5. Réussir la mise en œuvre opérationnelle d'un modèle économique. Chapitre 6. La démarche en cinq étapes. Chapitre 7. L'industrialisation de la démarche pour un meilleur pilotage. Chapitre 8. Après les coûts, la valeur. Chapitre 9. Les outils de pilotage de la performance. Chapitre 10. D'un modèle économique à un modèle écologique ou durable. Chapitre 11. Modèle économique et Lean IT. Conclusion. Bibliographie. Index.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 09 juin 2010
Nombre de lectures 17
EAN13 9782746241107
Langue Français
Poids de l'ouvrage 5 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0532€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Modèle économique de la DSI
© LAVOISIER, 2010 LAVOISIER 11, rue Lavoisier 75008 Paris www.hermes-science.com www.lavoisier.fr ISBN 978-2-7462-2599-2 ISSN 1635-7361 Le Code de la propriété intellectuelle n'autorisant, aux termes de l'article L. 122-5, d'une part, que les "copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective" et, d'autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d'exemple et d'illustration, "toute représentation ou reproduction intégrale, ou partielle, faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite" (article L. 122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L. 335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle. Tous les noms de sociétés ou de produits cités dans cet ouvrage sont utilisés à des fins d’identification et sont des marques de leurs détenteurs respectifs. Printed and bound in England by Antony Rowe Ltd, Chippenham, June 2010.
Modèle économique de la DSI les clés de la performanceJoachim Treyer Olivier Brongniart
COLLECTIONS SOUS LA DIRECTION DENICOLASMANSON
Collection Management et Informatique
Collection Etudes Informatiques et Logiciels
Collection Nouvelles Technologies Informatiques
Collection Synthèses Informatiques CNAM La liste des titres de chaque collection se trouve en fin d’ouvrage.
TABLE DES MATIÈRES
Avant-propos. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13Introduction : pourquoi un modèle économique ?27. . . . . . . . . . . . . . . .
Chapitre 1. Coûts et valeur du système d’information33. . . . . . . . . . . . . 1.1. Quelques lieux communs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 331.1.1. L’informatique coûte trop cher . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 341.1.2. Le budget DSI ne cesse d’augmenter . . . . . . . . . . . . . . . . . 341.1.3. Les projets de la DSI dépassent les coûts et les délais annoncés . 341.1.4. Le système d’information n’est pas fiable . . . . . . . . . . . . . . 351.1.5. Les demandes ne sont pas traitées assez rapidement . . . . . . . . 351.2. Quelques ordres de grandeur sur les coûts. . . . . . . . . . . . . . . . . . 36 1.2.1. Poids global des dépenses informatiques . . . . . . . . . . . . . . . 36 1.2.2. Poids relatifs par secteurs d’activité . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37 1.3. Budget d’une DSI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37 1.4. Mesure de la valeur du SI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39 1.4.1. Evaluation financière et non financière . . . . . . . . . . . . . . . . 40 1.4.2. Vues « récurrent » et « investissement » de la valeur . . . . . . . . 42 1.5. Un chemin vers la performance économique . . . . . . . . . . . . . . . . 44
Chapitre 2. Le catalogue de services de la direction des systèmes d’information45 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.1. Le rôle d’un catalogue de services . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45 2.1.1. Un outil de dialogue avec les métiers . . . . . . . . . . . . . . . . . 46 2.1.2. Une première étape dans la démarche de contractualisation . . . . 47 2.1.3. Retours d’expérience . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48 2.2. Comment constituer le catalogue ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49 2.2.1. Orienter le catalogue de services vers les métiers . . . . . . . . . . 49 2.2.2. Intégrer des rubriques génériques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
6 Modèle économique de la DSI
2.2.3. L’outillage du catalogue de services . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51 2.2.4. La communication du catalogue auprès des métiers . . . . . . . . 51 2.2.5. Le lien avec ITIL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52 2.2.6. Retours d’expérience . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52
Chapitre 3. La mesure des coûts par une approcheActivity Based Costing. 553.1.Activity Based Costing: ce que disent les livres . . . . . . . . . . . . . . 55 3.1.1. Ce que l’on entend par ABC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 3.1.2. Historique de l’Activity Based Costing . 56. . . . . . . . . . . . . . . 3.1.3. Pourquoi et comment s’est développé l’Activity Based Costing. . 57 3.1.4. L’arrivée de l’ABC au sein des DSI . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58 3.1.5. Les référentiels « métier » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59 3.2. Les méthodes classiques de mesure des coûts . . . . . . . . . . . . . . . 59 3.2.1. La comptabilité générale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59 3.2.2. La comptabilité analytique classique par sections homogènes . . 61 3.2.3. Approches analytiques alternatives . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63 3.2.4. Application de la théorie des contraintes . . . . . . . . . . . . . . . 63 3.3. Pourquoi adopter l’ABC ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65 3.3.1. De l’importance des coûts indirects . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66 3.3.2. Ce qui n’est pas mesuré ne peut être amélioré . . . . . . . . . . . . 66 3.3.3. Comprendre la structure d’un coût . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67 3.3.4. Comparer ses coûts avec d’autres acteurs . . . . . . . . . . . . . . . 67 3.3.5. Construire une stratégie de prix et de marge . . . . . . . . . . . . . 68 3.3.6. S’adapter et se projeter dans l’avenir . . . . . . . . . . . . . . . . . 70 3.3.7. Faire ou faire-faire ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70 3.4. Les concepts de l’ABC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 3.4.1. Les ressources . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 3.4.2. Les activités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73 3.4.3. Les processus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74 3.4.4. Les services (ou prestations) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74 3.4.5. Les inducteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75 3.4.6. ABC et mesure de la compétitivité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75 3.4.7. Ce qu’il faut retenir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76 3.5. Les apports d’une démarche ABC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76 3.5.1. Points-clés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76 3.5.2. Les impacts de l’ABC au sein d’une DSI . . . . . . . . . . . . . . . 78 3.5.3. Retours d’expérience . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79
Chapitre 4. Le « modèle d’analyse et debenchmarkingdes coûts informatiques » du CIGREF85 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.1. Origine et objectifs du modèle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85 4.1.1. Pourquoi utiliser un référentiel métier ? . . . . . . . . . . . . . . . . 85
Table des matières 7
4.1.2. Pourquoi le CIGREF ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.1.3. Une riche contribution au sujet de la mesure des coûts . . . 4.1.4. Retours d’expérience . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.2. La version 2009 du référentiel CIGREF . . . . . . . . . . . . . . . 4.2.1. Une proposition de démarche structurée . . . . . . . . . . . 4.2.2. La structuration en processus . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.2.2.1. Principe de structuration des processusrun. . . . . . 4.2.2.2. Principe de structuration des processusbuild . . . . . 4.2.3. Les services délivrés par les différents processus . . . . . . 4.2.3.1. Bureautique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.2.3.2. Mise à disposition de services . . . . . . . . . . . . . . 4.2.3.3. Projets techniques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.2.3.4. Projets métiers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.2.4. Le référentiel d’activités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.2.4.1. Activités à prépondérance « humaine ». . . . . . . . . 4.2.4.2. Activités à prépondérance « non humaine » . . . . . . 4.2.4.3. Activités différentes selon les vues financières . . . . 4.2.4.4. Cohérence avec les référentiels ITIL et CMMi . . . . 4.2.5. Vision globale du modèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.2.6. La structuration du budget en rubriques . . . . . . . . . . . . 4.2.6.1. Ventilation des rubriques du budget sur les activités . 4.2.7. Les inducteurs d’activité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.2.8. Mise en œuvre et indicateurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.2.9. Retours d’expérience . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
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Chapitre 5. Réussir la mise en œuvre opérationnelle d’un modèle économique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .  . 1155.1. La démarche générale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 115 5.2. La définition du périmètre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 116 5.2.1. Comment délimiter un périmètre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 116 5.2.2. Retours d’expérience . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 118 5.3. Les différentes vues financières . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 119 5.3.1. Vision « P&L » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 119 5.3.2. Vision « OPEX » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120 5.3.3. Visioncash out . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120 5.3.4. Ce qu’il faut retenir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120 5.3.5.Retours d’expérience . 122. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.4. Les acteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 123 5.4.1. Les opérationnels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 123 5.4.2. Le contrôle de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 123 5.4.3. Les achats . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124 5.4.4. La qualité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 125
8 Modèle économique de la DSI
5.4.5. Les ressources humaines. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.4.6. Les clients . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.4.7. Le support externe par des consultants . . . . . . . . . . . 5.4.8. Retours d’expérience . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.5. Les pièges à éviter . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.5.1. Absence de sponsor. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.5.2. Réduire le projet à un projet « contrôle de gestion » . . . 5.5.3. Ne pas définir le périmètre clairement. . . . . . . . . . . . 5.5.4. Ne pas prévoir d’itérations . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.5.5. Ne pas séparer « service » et « facturation » . . . . . . . . 5.5.6. Adopter un niveau de granularité inadapté . . . . . . . . . 5.5.7. L’outil avant le modèle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.5.8. Retours d’expérience . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
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Chapitre 6. La démarche en cinq étapes135. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .  . 6.1. Modèle de maturité du pilotage de la performance. . . . . . . . . . . . . 135 6.1.1. Evaluer la situation courante . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 136 6.1.2. Définir une cible . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 138 6.1.3. Lancer la démarche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 139 6.1.4. Etude de cas . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 140 6.1.4.1. Contexte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 140 6.1.4.2. Approche classique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 140 6.1.4.3. Approche par les activités. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 141 6.2. Etape 1 : formalisation du catalogue de services . . . . . . . . . . . . . . 144 6.2.1. La structuration en processus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145 6.2.2. La définition des services . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145 6.2.2.1. Bureautique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 146 6.2.2.2. Mise à disposition de services . . . . . . . . . . . . . . . . . . 146 6.2.2.3. Projets techniques et projets métiers . . . . . . . . . . . . . . 147 6.2.3. Publication du catalogue . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 147 6.3. Etape 2 : le modèle d’activités. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 148 6.3.1. Analyse du modèle d’activités existant . . . . . . . . . . . . . . . . 148 6.3.2. Mise en cohérence avec le référentiel CIGREF . . . . . . . . . . . 149 6.3.3. Modèle cible et approche itérative . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 149 6.3.4. Retours d’expérience . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 150 6.4. Etape 3 : l’analyse et la ventilation des ressources . . . . . . . . . . . . . 154 6.4.1. Principe d’analyse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 154 6.4.2. Définition du montant total de ressources. . . . . . . . . . . . . . . 154 6.4.3. Identification de l’ensemble des fichiers ressources à analyser . . 154 6.4.4. Taux journalier et coût environné . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155 6.4.5. Analyse des temps passés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155 6.4.6. Analyse des autres coûts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 157
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