Programmes spatiaux secrets et alliances extraterrestres, tome IV : Émergence du Dragon rouge – Origine et développements du programme spatial secret chinois
157 pages
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Programmes spatiaux secrets et alliances extraterrestres, tome IV : Émergence du Dragon rouge – Origine et développements du programme spatial secret chinois , livre ebook

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Description

Comment la Chine a-t-elle connu sa vertigineuse ascension et rattrapé son retard technologique pour devenir une superpuissance militaire dans l’espace ?
Cette incroyable transition débuta au sein de programmes hautement confidentiels des forces aériennes américaines, il y a plus de 75 ans ! Alors qu’il habite aux États-Unis, un brillant scientifique chinois est désigné pour travailler, pendant plus d’une décennie, aux technologies militaires américaines les plus secrètes. Puis un jour, de façon très étrange, il sera ciblé par le FBI, puis renvoyé en Chine dans le cadre d’un échange de prisonniers par le président Eisenhower. Cet épisode l’amènera à développer en Chine, sous l’égide de l’armée, un programme spatial secret (PSS) utilisant des systèmes inusités de propulsion électromagnétique qui, à présent, mettent au défi la domination de l’armée américaine au sol et dans l’espace.

Ce livre vous révélera :
les origines du PSS chinois dans le travail novateur du Dr Tsien Hsue-shen, qui a transmis à la Chine sa connaissance avancée des PSS de l’Allemagne nazie et des États-Unis ;
d’anciennes technologies aéronautiques enfouies dans de mystérieuses pyramides chinoises qui ont été secrètement étudiées et soumises à une rétro-ingénierie ;
d’anciens artefacts de contacts extraterrestres dans les régions lointaines du Tibet et du désert de Gobi ;
la participation de la Chine à un PSS dirigé par les Nations unies et destiné à engendrer une plus grande coopération internationale en réponse à l’existence de la vie extraterrestre ;
les armes de l’espace et le vaisseau spatial à propulsion électro­magnétique que la Chine développe et déploie présentement.

D’ici 2030, l’économie chinoise va dépasser celle des États-Unis, et la Chine a l’intention d’utiliser ses vastes ressources économiques pour projeter sa présence loin dans l’espace. Les États-Unis et la Chine sont-ils voués à un affrontement violent lors d’une inévitable guerre spatiale, ou doivent-ils devenir des partenaires stratégiques pour guider la transition paisible de l’humanité vers une civilisation galactique ?

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 02 septembre 2020
Nombre de lectures 12
EAN13 9782896265510
Langue Français
Poids de l'ouvrage 3 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0750€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Michael E. Salla
Programmes spatiaux secrets et alliances extraterrestres Tome IV
ÉMERGENCE DU DRAGON ROUGE
Origine et développements du programme spatial secret chinois
Traduit de l’anglais (É.-U.) par Marie-José Thériault
Programmes spatiaux secrets et alliances extraterrestres, tome IV – Émergence du Dragon rouge

Titre original anglais : Rise of the Red Dragon – Origin and Threat of the China’s Secret Space Program Exopolitics Consultants. RR2 Box 4876 Pahoa, HI 96778 USA
© 2020 Michael E. Salla Ph.D.

© 2020 Ariane Éditions inc. pour l'édition française C.P. 183, Saint-Sauveur, Qc, Canada J0R 1R0 Téléphone : 514-276-2949 Courrier électronique : info@editions-ariane.com
Site Internet : www.editions-ariane.com
Facebook : www.facebook.com/EditionsAriane

Tous droits réservés.
Aucune partie de ce livre ne peut être utilisée ni reproduite d’aucune manière sans la permission écrite préalable de la maison d’édition, sauf de courtes citations dans des magazines ou des recensions

Traduction : Marie-José Thériault
Révision : Marc Vallée
Révision linguistique : Monique Riendeau
Graphisme et mise en page : Carl Lemyre
Conversion au format ePub : Carl Lemyre

Première impression : juillet 2020 ISBN papier : 978-2-89626-550-3 ISBN ePub : 978-2-89626-551-0

Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2020 Bibliothèque et Archives nationales du Canada, 2020 Bibliothèque nationale de Paris, 2020

Diffusion
Québec : Flammarion Québec – www.flammarion.qc.ca
France et Belgique : D.G. Diffusion – www.dgdiffusion.com
Suisse : Servidis/Transat – www.servidis.ch


Gouvernement du Québec – Programme de crédit d’impôt pour l’édition de livres – Gestion SODEC



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Imprimé au Canada
Préface
L’art suprême de la guerre, c’est soumettre l’ennemi sans combattre.
– Sun Tzu, L’Art de la guerre
Le 20 novembre 2019, le lieutenant-général nouvellement retraité Steven Kwast, de la Force aérienne des États-Unis (US Air Force), déclara publiquement que la Chine était à mettre sur pied une force spatiale dotée de « cuirassés et de destroyers » pouvant être utilisés dans l’espace à l’encontre de matériels militaires américains. Deux ans plus tôt, James Sheehy, dirigeant principal de la Technologie à la Naval Aviation Enterprise, un important groupe de recherche de la Marine américaine (U.S. Navy), avait révélé sans ambages que la Chine développait des aéronefs, des navires et des vaisseaux spatiaux hybrides pourvus de systèmes électromagnétiques très évolués qui révolutionneraient l’industrie aérospatiale. Ces avancées rendraient également désuets les véhicules à carburant fossile. De telles déclarations sont l’indice d’un danger manifeste et immédiat.
De hauts responsables du Pentagone nous mettent ouvertement en garde contre le fait que la Chine est déjà en bonne voie d’être capable de détruire la totalité des réseaux militaire et civil de communication par satellite des États-Unis. Les efforts que déploie la Chine pour se servir de l’intelligence artificielle (IA) comme d’une arme afin d’en retirer un avantage asymétrique sur son plus grand rival technologique, les États-Unis, sont encore plus préoccupants. Des analystes de la sécurité nationale affirment que le développement technologique et économique de la Chine est si rapide que le pays est en voie d’atteindre son objectif, qui est d’imposer son hégémonie au monde avant la date butoir de 2049. Selon la perspective historique actuelle du Parti communiste chinois (PCC), cette date marquera le centenaire de la victoire du Parti communiste dans la guerre civile et de la fin du « siècle de l’humiliation » imposé par les grandes puissances occidentales.
L’analyste politique Graham Allison, doyen de la Harvard Kennedy School of Government, met en garde contre le « piège de Thucydide », une situation explosive typique qui a lieu quand une puissance émergente (la Chine) affronte une puissance dominante (les É.-U.) pendant des décennies dans le but de lui arracher l’hégémonie mondiale. D’autres éminents analystes de la politique chinoise, notamment Michael Pillsbury, auteur de The Hundred Year Marathon ( Le marathon de cent ans ), et le brigadier-général Robert Spalding, auteur de Stealth War ( Guerre furtive ), donnent une description approfondie du pouvoir militaire, économique et technologique qu’a développé la Chine dans les dernières décennies. Ces deux auteurs mettent plus spécifiquement en garde contre l’utilisation que fait la Chine de stratégies de guerre furtives développées il y a plus de deux mille ans, durant la période des Royaumes combattants, par le très respecté génie militaire Sun Tzu et d’autres stratèges. Le but de la Chine est d’amener les démocraties occidentales à ressentir une fausse impression de stabilité jusqu’à ce qu’elle soit prête à mettre rapidement en place une série de mesures visant à retirer aux États-Unis leur hégémonie mondiale sans tirer le moindre coup de feu. Pillsbury et Spalding en viennent tous les deux à la conclusion qu’il est peu probable que la Chine change quoi que ce soit à son système politique répressif. Bien au contraire, elle exportera les avantages d’un régime totalitaire ayant de plus en plus recours aux technologies de pointe de l’IA pour contrôler la vie de ses citoyens et se répandra dans le monde entier. Comment la Chine, de petit dernier industriel ayant du mal à nourrir son immense population, est-elle devenue un tel poids lourd technologique et économique, capable de défier la suprématie des États-Unis sur Terre et dans l’espace ?
La réponse nous vient du père du programme spatial « propulsion par moteur-fusée » de la Chine, Tsien Hsue-shen. Curieusement, Tsien entreprit sa brillante carrière aux États-Unis, où il se fit connaître et joua un rôle de premier plan dans le démarrage de la fuséologie américaine en créant le légendaire Jet Propulsion Laboratory (JPL – Laboratoire de recherche sur la propulsion par réaction) du California Institute of Technology (Caltech). Le JPL allait devenir l’un des plus importants établissements scientifiques de développement des fusées ayant assuré l’expansion du programme spatial de la NASA. En vertu de ses impressionnantes réalisations scientifiques tant au JPL qu’au Massachusetts Institute of Technology (MIT), en 1950 Tsien fut hissé dans tout le pays au rang de vedette nationale en tant que fuséologue précurseur. Les grands quotidiens publièrent régulièrement des entretiens où il exprimait ses idées sur les fusées modernes ainsi que sur les avions supersoniques à réaction qui transporteraient un jour leurs passagers d’un bout à l’autre du pays en moins d’une heure.
Ce qui reste largement méconnu, par contre, est que Tsien avait également aidé la Force aérienne de l’armée des États-Unis (US Army Air Force) à examiner des véhicules aérospatiaux supersoniques en forme de soucoupe, glanés en Allemagne nazie ou obtenus au Nouveau-Mexique sur des sites d’écrasements d’ovnis remontant à 1947. Tsien ne s’est pas contenté d’aider les scientifiques américains à étudier les exotiques systèmes de propulsion de ces « soucoupes volantes », il est aussi intervenu directement dans la mise au point, par la Force aérienne de l’armée des États-Unis, d’un programme pluridécennal de rétro-ingénierie des véhicules supersoniques ainsi récupérés, afin d’alimenter un futur programme spatial secret à volets multiples.
Alors qu’il était au sommet de sa gloire et de son influence scientifique au pays, un ensemble d’événements impensables eut lieu. Accusé d’être un sympathisant communiste par le FBI, Tsien se vit retirer toutes ses habilitations de sécurité, puis il fut déporté en Chine après une longue bataille juridique. Hébété, forcé de rentrer dans son pays, Tsien y emporta avec lui une mine de secrets militaires et technologiques américains.
Il n’y a pas lieu de s’étonner si, à son retour en Chine en 1955, Tsien a aidé à lui seul l’Armée populaire de libération à développer des fusées qui ont formé l’épine dorsale de son programme naissant de missiles nucléaires et balistiques. Tout en secondant la Chine dans la mise au point de fusées modernes destinées aux missiles nucléaires et aux systèmes de lancement de satellites, Tsien a suivi de près l’évolution dans toute la Chine de technologies aérospatiales de pointe similaires à celles qu’il avait étudiées aux États-Unis et dont quelques-unes provenaient de l’Allemagne nazie. Pour ce faire, il a enquêté sur les observations d’ovnis répandues partout au pays ; il a étudié le contenu de mystérieuses pyramides de la province du Shaanxi censées renfermer de très anciennes technologies aériennes ; il a récupéré des objets à l’emplacement d’un écrasement d’ovni ayant eu lieu il y a 12 000 ans à la frontière du Tibet et de la Chine ; il a épluché les comptes rendus de moines bouddhistes tibétains qui parlaient de soucoupes volantes et de contacts fréquents avec leurs occupants ; il s’est penché sur les frappes menées en 1980 en Mongolie par les Chinois et les Soviétiques sur une importante base d’ovnis appartenant à une civilisation inconnue et technologiquement évoluée, et sur son éventuelle capture.
Dans les années 1980, le président Ronald Reagan et le chef suprême de la Chine, Deng Xiaoping, ont signé des accords d’assistance technologique d’envergure en vertu desquels la Chine a pu bénéficier de quelques-unes des meilleures technologies de pointe des États-Unis. Il est généralement admis que Reagan a conclu ces accords pour contrer la menace soviétique et affaiblir le rôle de l’Union soviétique dans l’arène internationale, mais il réagissait en réalité à un tout autre danger.
Il est de notoriété publique que le président Reagan a insisté à plusieurs reprises sur le besoin d’une coopération

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