Mystérieux et merveilleux 6eme sens
98 pages
Français

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Mystérieux et merveilleux 6eme sens , livre ebook

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Description

Détection de l'eau souterraine, des sites, aliments et remèdes nocifs, localisation des personnes et objets perdus, l'auteur reconnaît l'évidence d'un sixième sens commun à l'homme et aux animaux. Un sens qui permet de percevoir quantité de choses inaccessibles à la vue, l'ouïe, l'odorat. La radiesthésie n'est pas à classer dans le paranormal mais dans les sciences naturelles. Ces propos sont illustrés par de nombreux faits impliquant des animaux, plusieurs radiesthésistes et l'auteur lui-même.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 01 février 2012
Nombre de lectures 62
EAN13 9782296483446
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0500€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Mystérieux et merveilleux sixième sens
Marcel Bocquel
Mystérieux et merveilleux sixième sens
L’Harmattan
DU MEME AUTEUR
Faire fleurir le désert et abolir la faim .
Suggestions pour ceux qui oeuvrent au développement des pays où sévit la faim.
Gracieusement à leur disposition .
disponible chez l’auteur :
Résidence de la Rochefoucault 44630 Plessé

© L’Harmattan, 2012
5-7, rue de l’École-Polytechnique ; 75005 Paris
http://www.librairieharmattan.com
diffusion.harmattan@wanadoo.fr
harmattan1@wanadoo.fr
ISBN : 978-2-296-55848-9
EAN : 9782296558489
INTRODUCTION
Cent ans après l’explication du phénomène « sourcier » par une sensation d’un rayonnement, ce qui l’a fait appeler « radiesthésie », il reste méconnu, rejeté, objet d’explications farfelues alors qu’il serait pourtant d’une grande utilité pour l’homme comme pour les animaux : ceux-ci en font grand usage. Des millions de puits, toutes les mines en profondeur jusqu’à la fin du 19ème siècle ont été indiqués par des sourciers ; de tous temps ils sont intervenus pour des problèmes de santé ; ils savent détecter les sites nocifs qui en sont souvent la cause. Ce qui démontre l’usage d’un sens apte à capter et à reconnaître le rayonnement des objets.
Je déplore l’aveuglement des « scientifiques » sur le sujet malgré tous ces faits. Ils feraient mieux d’admettre qu’ils ne savent pas tout et que le fait de n’avoir pas encore mesuré la longueur de ces ondes et distingué les cellules réceptrices ne les empêche pas d’exister.
J’ai pensé que j’avais une expérience suffisante pour traiter le sujet : environ 250 puits au Sahel, plus du double en France, nombreuses interventions pour des problèmes de santé de gens et de bêtes, localisation de personnes. J’ai intitulé mon étude « Mystérieux et merveilleux sixième sens ». Sens mystérieux parce que encore mal connu, sens merveilleux que je considère comme la plus grande merveille de la nature. Lisez pour vous en convaincre et surtout apprenez à faire usage d’un sens d’une telle utilité.
Même s’il y a plus de déficiences que pour les autres sens, il y a sûrement assez de personnes suffisamment douées pour que cessent les constructions sur des rayonnements nocifs, les empoisonnements par des médicaments et les drames de disparitions d’enfants. Et celles qui ont encore à trouver des sources ont souvent beaucoup à apprendre pour les localiser avec exactitude (ce que j’ai souvent constaté) et pour en déterminer le débit, la profondeur et la qualité.
1ère PARTIE : TROP MÉCONNU, MAIS BIEN RÉEL
DE QUOI S’AGIT-IL ?
Un sens comme les autres ?
Le fonctionnement des sens demande : un organe, un objet adapté à cet organe, un lien entre l’objet et l’organe et une interprétation par le cerveau. Pour l’ouïe, c’est le bruit qui parvient aux oreilles par les vibrations de l’air. Pour la vue, c’est la lumière directe ou réfléchie qui parvient aux yeux par des vibrations d’un autre ordre. Et le cerveau interprète en faisant appel à la mémoire ; pour reconnaître, il faut préalablement connaître ; donc un apprentissage.
Le sixième sens fonctionne de la même façon, mais il diffère des autres sens. L’organe n’est pas évident, sans doute un réseau de nerfs. Le lien n’a pas encore été mesuré, ni même détecté alors qu’il faut bien qu’il existe. Ce qui est saisi par ce sens, ce n’est plus l’aspect des objets, mais leur nature. C’est donc un sens qui reste mystérieux.
A-t-il un nom ?
Il l’attend encore. Mais, en 1910, l’abbé Bouly qui savait utiliser admirablement ce sens a donné le nom de " Radiesthésie" à tout ce qui est du domaine de ce sens. Auparavant, on n’utilisait guère que le terme de "sourciers" pour ceux qui pratiquaient la recherche de l’invisible, du fait qu’on faisait appel à eux surtout pour trouver les sources ou, plus précisément, les nappes phréatiques ou les courants d’eau souterrains. Le terme "Radiesthésie" (sensation d’un rayonnement) évoquait un champ beaucoup plus vaste et surtout marquant nettement qu’il s’agit de la perception d’un rayonnement, donc d’un domaine tout à fait naturel et qui n’a rien à voir avec la magie et la divination. C’est ce rayonnement qui est le lien entre l’objet senti et le sens.
A notre époque un rayonnement inconnu ?
Je pose une autre question : n’est-il pas prétentieux de croire tout connaître ?
Ne voyait-on pas avant que l’on sache que la lumière se propage par des ondes ? Ne distinguait-on pas les couleurs avant de savoir qu’elles dépendaient des différentes longueurs d’onde ? Est-ce qu’on n’entendait pas avant de savoir que le son se propage par vibration de l’air et ne faisait-on pas de la musique avant d’en connaître les fréquences ? Les lignes magnétiques du globe terrestre n’existaient-elles pas avant que la boussole les mette en évidence ?
Donc, même si on n’en connaît pas la nature, on peut, sans risque d’erreur, extrapoler en disant que c’est leur rayonnement qui permet de connaître et de distinguer les corps, les objets, toutes choses.
Privilège de quelques-uns ?
Je ne le pense pas. Peut-être cependant le nombre de personnes dépourvues de ce sens est-il plus important que le nombre de celles qui sont privées de la vue ou de l’ouïe. Mais beaucoup ne l’utilisent pas et n’en font pas l’apprentissage. On peut entendre quelqu’un parler une langue étrangère, si on ne l’a pas apprise, on ne le comprend pas. L’apprentissage en « radiesthésie » est sans doute plus difficile que pour la vue et l’ouïe. Et celui qui dit "Je ne sens rien" est comme celui qui, les yeux fermés, dit : "Je ne vois rien". Il faut se mettre en état de sentir, de recevoir les informations.
Sixième sens et « télépathie »
La "télépathie" est assimilable à la "radiesthésie" un peu comme le "sens thermique" est assimilable au "toucher".
La radiesthésie marque la reconnaissance de personnes ou d’objets en des lieux et temps où ils ne sont pas saisissables autrement. La télépathie marque un lien à distance entre des personnes qui se trouvent en communion de sentiment ; elle est habituellement provoquée par un brusque changement chez la personne sentie qui modifie son rayonnement et perturbe la personne avec qui elle est sentimentalement liée.
Mais regardons, observons sans a priori des faits
Des faits où l’on constate ce phénomène mystérieux, qui est une des grandes merveilles de la nature.
Comme on remarque ce phénomène surtout chez les animaux, c’est par eux que je commencerai.
En second lieu, je dirai ce que j’ai entendu rapporter sur de grands "radiesthésistes".
En troisième lieu, je raconterai mon expérience personnelle. Comment, pour n’avoir pas rejeté à priori ce qui était absolument déroutant, je suis allé d’étonnement en étonnement et les connaissances acquises en ce domaine m’ont permis de rendre de grands services.
Enfin, j’amorcerai une conclusion de cette étude.
LE SIXIEME SENS CHEZ LES ANIMAUX
Les animaux utilisent naturellement ce sens. Il est précieux et souvent vital pour eux : nourriture, déplacements, retrouver lieux ou groupe, former les couples, etc… Regardons-les : ils sont si forts en la matière qu’ils nous étonneront toujours.
Les animaux sourciers
Puisqu’à propos de ce sens on pense le plus souvent aux sourciers, je ferai remarquer qu’on trouve des sourciers chez les animaux.
Des chameaux et des dromadaires , quand ils ont soif, savent très bien trouver les puits dans le désert ; ils les sentent à distance et s’y dirigent, évitant parfois aux hommes qui les conduisent et qui ont perdu leurs repères dans les tempêtes de sable, de mourir de soif.
Les zèbres de Namibie savent déceler l’eau sous le sable des rivières asséchées. Ils peuvent faire avec leurs sabots des trous de plus d’un mètre de profondeur. Ils ne creusent pas au hasard, mais bien là où se trouvent les restes d’eau dans les creux de la roche.
Les hippopotames , quand leur mare est à sec, savent où se diriger pour trouver une autre mare.
C’est sûrement aussi par ce sens que souvent les animaux trouvent non seulement l’eau mais aussi la nourriture dont ils ont besoin.
Les moustiques et les taons ne sont-ils pas aussi sourcie

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