Fin du monde à Bugarach
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Description

Fin du Monde à Bugarach.
Le phalanstère du Razès fait le point sur les prédictions mayas de fin du monde le 21 décembre 2012.
C’est un roman dont les personnages analysent toutes les possibilités en incluant les détails décrits par la NASA (appelée Nesa dans le livre). La fin du monde, dit un gourou américain, est prévue pour le 21 décembre 2012 selon les prédictions mayas. À Londres douze amis scientifiques font partie d’un groupe fermé. Ils se connaissent depuis qu’ils avaient tous ensemble passé des vacances d’été au bord de la Mer du Nord à Bradcliff-on-sea en 1959-1960. En 2012, l’année de la fin du monde annoncée, ils ont tous soixante-dix ans. Ils sont en pleine forme. Leur généalogie a été suivie par des autorités religieuses et aussi par les théosophes, comme des sponsors qui veillaient sur eux depuis une dizaine de siècles, ainsi que sur leurs ascendants à partir des templiers. Ils savent tout sur tout. Ils savent comment s’est créé l’univers et ils nous expliquent comment viendra la véritable fin du monde. Bien que réunis de plus en plus souvent, ils sont répartis dans le monde selon des zones géographiques. Un récit captivant avec de très nombreuses surprises psychologiques et scientifiques ainsi que l’immortalité des ondes actives de la vie.

Informations

Publié par
Date de parution 10 mai 2012
Nombre de lectures 3
EAN13 9782312004990
Langue Français

Extrait

Fin du monde à Bugarach
Wladimir Vostrikov Fin du monde à Bugarach Le Phalanstère du Razès fait le point sur les prédictions mayas de fin du monde Les éditions du net 70, quai Dion Bouton 92800 Puteaux
Du même auteur Leprojet Vladikite, Les Éditions du Net. Boga Son (Henri-1er et Anne de Kiev), Mon Petit Éditeur. Conceptions cosmologiques - pour atteindre une compréhension d'une surprenante clarté, Mon Petit Éditeur. Conceptions cosmologiques avec planches couleur, Lulu édition. © Les Éditions du Net, 2012 ISBN : 978-2-312-00499-0
Le phalanstère du Razès Entre les nuages, toujours au-dessus, des aviateurs l’ont aperçu de nombreuses fois, parfois soupçonné ou vu par nous-mêmes les habitant s de la Terre à travers les siècles et les millénaires, il sait absolument tout sur tout. Les Chinois le voient dans le ciel dans l’année zodiacale, chez eux il est « Dragon » et il chevauc he les nuages, il est tout et c’est à lui qu’on adresse tous les vœux et les prières, c’est le « Dr agon » qui les entend le mieux. Le « V » sait tout sur chaque entité vivante qu’elle soit petite ou grande, microbe, fourmis, être humain, crocodile, hippopotame, oiseau, requin – tout sur t out, mais le « V » n’est absolument pas une sorte de dieu. Il observe, regarde de près, trie, a git selon sa décision quasiment mécanique. Une entité perd conscience, disparaît d’autres se r assemblent, se côtoient et se démultiplient, le « V » ne décide pas où et quand, mais donne touj ours l’impulsion. Il détient la faculté la plus puissante qui soit, mais n’en pro te aucunemen t car il ne semble pas être doté de raisonnement, et surtout pas de sentiment. Il obser ve, constate et s’empare des âmes des défunts, c’est lui qui fait le tri et les aiguille vers la destination qu’il décide la plus appropriée pour chaque espèce et pour chaque être humain, d’un e manière depuis longtemps automatisée. Combien de fois n’avons nous pas devin é et même entendu l’idée philosophiquement admise que notre vie est bien cou rte sur Terre, que notre existence est éphémère. Les humains désignent certains de leurs c ontemporains comme leaders pour les représenter de la meilleure manière pour la sauvega rde et l’amélioration des conditions de vie, c’est à dire les politiciens. D’autres représentent simplement l’intelligence, la philosophie, une discipline scienti que, la beauté, le romantisme, l e savoir faire technique, agricole ou artisanal, un domaine artistique comme la compositi on musicale, la peinture, la sculpture tous ces domaines autour de l’imagination créative, puis il y a aussi la force mentale et physique, le dépassement sportif, le courage et l’altruisme. Il le sait et il constate tout cet état de chose. Il fait fi aussi de l’intelligence issue de la mati ère organique. C’est le « V » comme l’appellent les descendants de certains personnages du dixième siècle. D’anciens amis d’Angleterre, créent le « Phalanstère du Razès ». Une association philanthropique. Les rencontres entre certains anciens amis de Bradc liff-on-sea, en Angleterre, des années 1959-60-61 sont épisodiques, dues aux exigences et aux dif cultés de la vie de chacun et dues aussi aux nécessités familiales et professionn elles. Pour eux tous, l’âge de la retraite est atteint et ils peuvent s’adonner à leur curiosité d es raisons qui les ont fait conserver le contact pendant des dizaines d’années, plus d’un demi-siècl e en fait. M algré le temps ils ne semblent pas vraiment vieillir, ils ne vieillissent qu’en ap parence car ils se reconnaissent toujours en disant « You’re still the same » ! – « Oh tu n’as p as changé, tu es toujours le même » ! En plus tous les douze sont en pleine forme physique e t intellectuelle. Leurs femmes préfèrent s’occuper de leur famille et lorsqu’elles sont les véritables descendantes dans les lignées familiales, elles cèdent volontiers leur statut à l eur mari. Les rencontres deviennent des réunions qu’ils programment d’une manière de plus e n plus fréquentes et l’on essaye à chaque fois, de les organiser dans le pays de l’un des res sortissants. Il faut dire une chose importante, dès l’origine des événements qui les ont fait se re ncontrer, chacun a eu recours et cela continue lorsque le besoin s’en fait sentir, à une sorte de sponsoring de certaines entités dans l’ombre, dont ils ont toujours dépendus. Le magazin e semestriel qu’ils éditent est réservé aux abonnés de par le monde, rapporte des sommes bloqué es à Londres. Ces sommes en provenance d’une vingtaine de pays, bien que modiqu es n’ont jamais été entamées et les intérêts n’ont jamais cessé de s’y ajouter, sous le contrôle discret et méconnu de tous, par le groupe londonien dénommé : « Razès phalanster assoc iation » ; ils ont toujours insisté de bien marquer l’accent grave du mot Razès, une région du sud de la France. Ceux qui ont souscrit au magazine ont tous rencontré l’un des douze repré sentants de l’association londonienne. D’autres abonnés émanent d’une liste plus ou moins fournie par le révérend père Gillette, prêtre catholique devenu orthodoxe et très proche d e l’Eglise anglicane, un français qui habitait dans le westend de Londres après la deuxiè me guerre mondiale. Tous les souscripteurs au semestriel font partie d’une liste d’un groupe très fermé, mais avec les décennies passant le chiffre des abonnés s’agrandit . William Lorren et Léonard Templer sont avec Orson T rueman et Hans Gothen les quatre personnages qui n’ont jamais rompu le contact depui s l’année 1959. Il leur arrive bien
entendu de ne pas s’écrire plus de deux années, pui s sur l’initiative de l’un des quatre un voyage se fait et une nouvelle rencontre émouvante s’en suit. Cet état de chose a perduré pendant quarante ans. M ais l’an 1992 se rapprochant , sans s’en rendre compte ces vieux amis ont comme une pulsion impossible à réfréner, celle de revoir ceux qui faisaient partie de leur jeunesse, en quelque sorte, essayer de revenir en a rrière sans jamais pouvoir toucher la période de l’enfance, une curiosité en toute amitié . Alors ils se rendent compte que les événements se font comme si tout était prévu. Prévu mais par qui, ils ne se posent plus la question et ne s’attardent pas trop dessus car le t emps passe et ils ressentent comme une nécessité d’agir. Pendant l’année 1992 des contacts avaient resurgi des archives et des rencontres avaient été organisées par la petite ass ociation de Londres. Un petit magazine semestriel circule régulièrement depuis, alors qu’a vant chacun le recevait dans sa boîte aux lettres en s’écriant « oh ! Le Razès phalanster ass ociation magazine » à peine une fois par an. Ce petit semestriel international les relie tous le s uns aux autres. Chacun y relate les événements qu’il croit intéressant ou nécessaire à signaler. Le magazine a été enregistré en Grande Bretagne et un résumé est visible sur un sit e d’internet. Les douze ne sont que des hommes mais les femmes emplissent leur vie et les d ouze trouvent presque toujours un soutien auprès d’elles selon les circonstances. Cer taines ayant joué un rôle prédominant ont attribué leur place à leur conjoint. Ainsi William Lorren est au centre des relations en tre tous et surtout en très étroite collaboration avec Léonard Templer, Hans Gothen et Orson Trueman pour des raisons que chacun dévoilera le moment venu, car pour comprendr e leur démarche commune, ils y seront tous contraints.
Juillet 1992 : Voyage à Tel-Aviv et Jérusalem chez Samuel Lazarius Pendant les années des décennies 1970 et 1980 des é changes se font entre William Lorren, Orson Trueman, Léonard Templer et Hans Goth en. La correspondance se fait surtout par simple courrier « par avion ». M ais lorsque l’i dée d’un voyage organisé entre plusieurs amis se dessine à l’horizon, William prend la décis ion de téléphoner à chacun. C’est une décision pas très facile à prendre, car téléphoner « en longue distance » coûte très cher, mais ce n’est justement pas William qu’on pourrait plain dre pour ces dépenses, car le groupe du « Razès phalanster association » qui étudie la posi tion de chacun des membres, couvrira aussi les frais de voyage, de déplacement et de séjour, e t ceux de Léonard Templer et Orson Trueman ne leur coûteront pas un sou, grâce aussi à des sponsors discrets. En n en l’année 1992 la décision est prise d’effectuer un voyage en Israël, à Jérusalem pour y rencontrer quelqu’un qu’on n’a plus revu depuis bien longtemps . Hans Gothen, docteur psychiatre, consultant à la Nesa ne viendra pas, il est trop pr is par ses activités professionnelles dans sa clinique de M unich et ce malgré son âge, mais les t rois autres s’envolent pour Tel-Aviv par vols El-Al, British Airways et Air France. Chacun d e son coté arrive à l’aéroport Ben-Gourion de Tel-Aviv dans le courant de l’après-midi de ce 2 0 juillet 1992. Les trois amis sont maintenant réunis dans le hall des arrivées. Samuel les a reconnus et il les emmène dans un hôtel proche de chez lui. Le lendemain matin Sam or ganise la visite de Jérusalem et montre tous les temples, les églises, le mur des lamentati ons et la mosquée Al Aqsa juste au-dessus. Chaque église porte le nom d’un événement lié à l’h istoire de Jésus Christ, dont l’église du Saint Sépulcre. Des mois seraient nécessaires pour tout comprendre et faire le tour de toutes ces religions, de leur architecture et de tous les sites historiques et géographiques d’Israël, lac de Tibériade, le Golgotha, le M ont Sion, la M er M or te et les montagnes, les collines et les plateaux – tous ces lieux saints communs à tous son t familiers. Samuel invite les trois amis dans un restaurant étrange. Il s’agit d’un restaura nt végétarien et ce choix semble convenir à ses amis. Les discussions durent jusque très tard d ans la nuit. William Lorren voudrait en savoir plus et demande à Samuel de raconter l’histo ire de sa famille. Ce que fait Samuel volontiers : Si je m’étais présenté à l’église anglicane de Holb orn en 1960 et que j’avais rencontré le révérend Norman Cook, ce n’était pas par pur has ard, quelqu’un de Jérusalem m’y avait envoyé. Le révérend Cook m’avait reçu après la célé bration de la messe du dimanche à la n du mois de juin et après quelques questions, j’avai s senti que cette rencontre avait été prévue d’avance. Je devais ensuite me présenter chez le pè re Gillette à Ladbroke Grove à Londres. J’étais jeune, j’avais 19 ans et le père Gillette m ’avait hébergé dans sa maison d’étude plutôt que de prière, pendant deux ou trois jours où je m’ étais retrouvé avec plusieurs autres jeunes gens qui devaient repartir vers des destinations lo intaines. Le révérend père Gillette m’avait renvoyé chez le révérend Norman Cook, non pas à Lon dres à Holborn, mais au camp de vacance de Bradcliff-on-sea. Dans notre famille nou s étions de religion catholique et ma famille était pratiquante à Jérusalem. Nous fréquen tions la chapelle de « l’Ordre des Lazaristes » une congrégation fondée par Saint Vinc ent de Paul au début du dix-septième siècle en France. Plus de quatre mille frères de la congrégation sillonnent le monde en mission d’évangélisation. Une mission s’était établ ie à Jérusalem et quelques frères y marquent leur présence avec un nombre constant de dèles, additionné au nombre de touristes qui font déborder la capacité de la petite chapelle . Le père Gillette et le révérend Cook savaient tout cela et ils avaient l’œil sur moi dep uis toujours, m’avaient-ils déclaré. Bien avant moi, ils savaient tout sur mes parents et arr ière-grands-parents. Nous faisions partie d’une liste depuis une vingtaine de générations. Le s Lazarius sont descendants directs de la famille de Lazarius du château du Buis de Quéribus en Septimanie. M on illustre ancêtre fut un templier du Razès, il accompagnait le seigneur G odefroy parti en croisade en l’année 1098, c’était la première croisade. Celle-ci abouti t à la conquête de Jérusalem, grâce au seigneur Godefroy qui avait réussi à prendre la sai nte ville aux « in dèles » en 1099. Un temple fut rapidement construit sur le M ont Sion et un conclave s’était réuni et avait décidé d’attribuer le trône de roi à Godefroy de Bouillon, qui n’accepta que le titre de « défenseur du Saint Sépulcre ». Suite aux attaques répétées du te mple forteresse du M ont Sion par les M usulmans, Godefroy perdit la vie. Son frère Baudou in fut couronné à sa place, roi de Jérusalem l’année suivante, c’est à dire en 1100, s ous l’impulsion d’une organisation
puissante dans le conclave, qu’était « l’Ordre de S ion ». Quelques semaines après, beaucoup périrent massacrés dans des combats incessants. Tou s ces événements furent rapportés à er Philippe-1 le roi des Francs qui à sa grande stupéfaction avait préféré que ces évén ements se fussent produits loin de la terre de France. La pro tection répressive des templiers contre les M usulmans échoue, le temple est détruit et les croi sés massacrés, quelques-uns réussissent à er s’enfuir. La forteresse sera reprise à la troisième croisade en 1114. Baudouin-1 meurt en 1118. Un des templiers, dont le nom était Lazarius, anciennement cantonné dans les Pyrénées en tant que l’un des gardiens du Razès à Quéribus e st indemne. Il décide de rester sur une terre où ont toujours été ses racines, il fonde fam ille et sa descendance progresse jusqu’en cette année 1992 du mois de juillet. Des archives s ubsistent. Donc, moi Samuel Lazarius, je suis descendant direct de Lazarius du Razès. Vous d ire comment notre famille s’était retrouvée sous la protection de « l’Ordre des Lazar istes », je ne saurais pas vous le dire, mais lorsqu’ils avaient décidé de s’implanter sur la ter re sainte, nous y étions déjà. W illiam Lorren demande encore une précision : Tu as travaillé jusqu’à ta retraite à l’OSI, n’est- ce pas ? Et Sam répond : Oui, tu le sais bien, à l’organisation spatiale isr aélienne, je suis toujours consultant pour notre stratégie de développement de nos satell ites de télécommunication. W illiam Lorren résume : J’ai tout compris, tu es comme nous, tu es des nôtr es. Nous devons rester en contact, des événements que nous ne soupçonnons pas arrivero nt et nous sommes de ceux qui pourront justement éclairer la civilisation mondial e à venir, bien entendu ceux qui accepteront de nous entendre. Samuel répond : e que m’ont transmise mes parents,Ce que je vous ai raconté, est exactement l’histoir mes oncles et mes tantes. En fait nous avons la cha nce de connaître l’histoire de nos ancêtres. Quel âge as-tu Sam ? Demande W illiam. J’ai quarante neuf ans, pourquoi ? Demande Samuel et Orson apporte une précision troub lante : nclu à son tour :Nous aussi nous avons quarante neuf ans ! Samuel co rai toujours en contact malgré tousJe suis content de vous avoir retrouvés et je reste les événements qui secouent continuellement notre r égion de la terre sainte d’Israël. Avez-vous une religion ? Orson regarde W illiam et W illiam regarde Léonard qu i prend la parole : Oui si on veut, chacun a sa religion et nous nous r espectons. Nous en reparlerons plus tard, le principal est de respecter les convictions de chacun. La troisième journée est consacrée à rendre visite à des autorités religieuses de Jérusalem auprès desquelles Samuel avait pris rendez-vous ava nt l’arrivée de William, Orson et Léonard ; les autorités catholiques, hébraïques, or thodoxes, musulmanes, coptes et protestantes. Chacun des représentants religieux qu ’il fut archevêque, pasteur, imam, patriarche, grand prêtre, simple prêtre ou grand ra bbin, tous ont impressionné par leur mysticisme le groupe qui en gardera pour toujours, les explications brèves et percutantes. La soirée avait ni dans un restaurant de Jérusalem où les serveurs avaient été surpris qu’aucun des quatre clients ne se soucia du halal ou du cach er des mets choisis qui n’en demeuraient pas moins délicieux, ceux-ci ne comportaient pas de viande. Samuel prit le temps de con rmer les vols de retour d’Orson pour New-York p ar la compagnie El-Al prévu à 8heure30, celui de William par la British Airways à 10 heures et celui de Léonard à 10heure30. Quatre journées bien remplies qui rester ont pour chacun mémorables. Samuel Lazarius raccompagne ses amis de longue date retrou vés à l’aéroport Ben-Gourion de Tel-Aviv et rentre chez lui pour midi.
1998 : Le voyage d’un Américain au centre de « la cité céleste » près d’Urumchi en Chine Lal, dans les mentalités des paysa Chine a bien encré maintenant son programme spati capitalistes et occidentaux, développés dans tous l es domaines scienti ques. Son industrie a pris un essor que le monde avait prévu depuis les a nnées soixante lorsque Alain Peyre tte avait publié son livre « Lorsque la Chine s’éveille ra, le monde tremblera ». Sa population grandit encore malgré le contrôle des naissances li mité à deux enfants par couple, alors que dans les campagnes les enfants sont plus nombreux e t que bien souvent encore au vingtième siècle les bébés lles sont sacri és. Chine ayant f ait face dans son immensité à tous les problèmes que le monde peut connaître, les diverses dictatures des temps anciens avec des empereurs portés au rang de dieu, des travaux dépas sant les pyramides, 8000 guerriers et leur chevaux en argile cuite dans d’énormes fours, enter rés pour garder le tombeau de l’empereur Qin Shihuangdi mort en l’an 210 après J.C., retrouv és lors de travaux et de fouilles dans les années 2000 par des archéologues pétri és d’étonnem ent. On dit que 700,000 hommes avaient travaillé sur le site. La grande muraille d e Chine longue de 7200 km bâtie sur ordre de l’empereur Wudi est terminée au cinquième siècle ap rès J.C. Tout pour la gloire de l’empereur ou le chef d’un clan d’une région rebell e pour qui des sacri ces humains n’étaient que coutume et tradition nécessaires comme au M exiq ue et au Guatemala, à croire que les atrocités dans le monde se rejoignent à travers le temps et l’espace, elles sont comme communes aux hommes en recherche trompeuse de spiri tualité. Ces atrocités perpétrées par l’être humain envers l’être humain n’ont jamais ces sé alors que le peuple de toutes les régions de Chine espérait encore une amélioration dans la c ondition humaine, M ao Tsé Dong avec sa poésie et son petit « livre rouge » a plus fait rou gir la terre de Chine de sang que jamais elle n’a été auparavant. La Chine au premier rang de tou tes les productions imaginables, se livre maintenant, dotée de tous les contrats du génie mon dial à l’exportation massive envahissant le globe terrestre en répartissant une partie importan te de sa population dans chaque pays des cinq continents. Son développement tend à devenir l e premier pays du monde dans tous les domaines et malgré les réticences des autorités env ers les Etats Unis d’Amérique Orson Trueman reçoit son visa rapidement et sans problème . Orson Trueman est astrophysicien et il fait partie de la Nesa. Orson Trueman est aussi dés igné par la Nesa pour siéger au sein du « Comité des Nations Unies pour l’utilisation paci que de l’espace extra-atmosphérique » à son âge un titre honori que. Trueman n’en est pas à son premier voyage en Chine sur le site de « la cité céleste ». Orson Trueman obtient un vi sa interne chinois pour se rendre à Urumchi dans le nord-ouest de la province du Sin-Kiang à 23 00 km de Beijing pour assister à une conférence et aussi rendre visite à son ami Tchang Wising. Tchang Wising avait étudié de 1958 à 1962 à l’université d’Oxford dans le domaine de la physique spatiale et de la chimie primaire. Certains astrophysiciens ont marqué son p arcours, mais il ne devait jamais en parler en Chine, cela ne se faisait pas. Une erreur d’appr éciation et Tchang Wising écopa de cinq années en camps de rééducation où il put réviser se s cours après son retour d’Angleterre, lorsqu’il avait connus Orson Trueman et William Lor ren parmi d’autres. Ces rencontres avaient eu lieu aussi à Bradcliff-on-sea. Tchang y avait été envoyé par un ami qui lui voulait du bien lors de son séjour à l’université. Orson Tr ueman vient voir Tchang à Urumchi pour deux raisons, l’une cachant la seconde. Il est envo yé en tant qu’observateur par le « Comité des Nations Unies pour l’espace » pour participer à la conférence d’Urumchi sur la déontologie spatiale au niveau mondial pour les gén érations futures. Des observateurs de nombreux pays "autorisés" sont présents, trois Amér icains, deux ou trois Canadiens, deux ou trois Français, deux Italiens, une dizaine de Russe s et des dizaines de Japonais. Orson vient rappeler aux membres du programme spatial de Chine qu’il serait souhaitable que la Chine participe aux différentes réunions du comité pour p rendre part à toutes les décisions et activités préconisées par les Nations Unies. L’un d es directeurs du site de Xichang répond : ppartient à tous les peuples.La Chine possède son propre programme et l’espace a Les traités et les résolutions sont pris en considé ration et s’inscrivent dans toutes les dispositions des Nations Unies sans que la Chine re ssente une obligation à signer ces mêmes résolutions qui sont en fait réputées « non-obligat oires » par le Comité des Nations Unies lui-même. Le programme des lanceurs, en l’occurrence la fusée « Longue M arche-3 » parmi les autres lanceurs, prendront en charge les satellites de communication chinois et aussi étrangers. « Longue M arche 4 et 5 » se préparent no tamment pour la conquête prochaine de la
Lune après les années 2010. Puis suivront nos glori eux lanceurs « Longue M arche-6,7 et plus d’ici une trentaine d’années ». Les observateurs étrangers ne sont pas les bienvenu s en Chine en matière de technologies avancées ni dans le domaine spatial. La Chine écout e mais ne veut pas se faire prendre à écouter des conseils de la Nesa. Il s’agit de compé tition et non de coopération. Autrement dit les Chinois n’accepteront plus jamais des projets q ui entrainent des situations à « perdre la face ». Dit encore le directeur de Xichang. Tchang Wising quant à lui a travaillé toute la journée dans les laboratoires d’Urumchi et en n de journée vient rejoindre Orson au terme de la conférence. Tchang emmène son ami chez lui où ce lui-ci est confortablement installé. Sa femme et la grand-mère de celle-ci ont préparé le r epas du soir. Après les politesses d’usage, Tchang et Orson prennent le thé dans le salon d’à c oté. Orson dit à Tchang qu’il faudra essayer de voyager un peu plus à l’avenir. Tchang W ising lui répond que c’est tout à fait possible et même nécessaire pour le poste tout auss i honori que qu’il occupe au laboratoire. La « cité céleste » a un budget spécial pour lui. T chang doit en effet, très souvent trouver des alternatives pour de nombreuses pièces techniques p our les engins spatiaux, les fusées, les rampes de lancement, des pièces de modules spéci qu es que la Chine ne possède pas toujours. La Chine se proclame autosuf sante mais p arfois l’importation de divers matériels est inévitable – le résultat de toute façon sera to ujours « sinisé ». De grandes quantités de brevets parmi les plus intéressants et les plus che rs sont achetés, d’autres sous sous-traités et la Chine avance à grande vitesse. Tchang dit à Orso n : nois sont très discrets sur leursC’est sûr, et tu l’as bien vu par toi même, les Chi technologies, bien que les règles de base soient le s mêmes pour tous. La poussée d’une fusée (F) est exprimée en newtons et l’équation de base e st la même pour tous, les Chinois ne vont pas la renier : La poussée est égale au produit de la masseqgaz de combustion qui des sortent des tuyères de la fusée en une seconde, par leur vitesse d’éjection Ve, c’est à dire : F =q x conde. Il y a la phase intermédiaire enVe c’est la réaction qui se fait en une seule se continu et la phase nale que nous connaissons, et bien tout cela n’a aucune raison d’être camouflé, ce sont des lois universelles, quant à to ut les reste… Orson répond : Que veux tu dire par « tout le reste » tu veux parl er du carburant que vous utilisez, vous en cachez la composition qui n’est que du carb urant L ou LL ou LLL ou S comme pour tout le monde. Tchang continue : t que ce quelque chose, nous neEs-tu certain que nous n’ajoutons pas autre chose e voulons pas le dévoiler. Je vais te mettre sur la v oie de notre génie. Ecoute ! Ce sont bien les Chinois qui ont inventé la poudre n’est ce pas ? Et je ne t’en dirai pas plus, je tiens à ma peau. Bois ton thé et mange les petits gâteaux de g rand-mère, tu veux du saké ? Oui, tiens donne-moi un petit coup de ton alcool de riz parfumé, mais trouve un verre plus grand que ce que vous avez la fâcheuse habitud e de mettre sur la table pour vos invités. Répond Orson. Tchang va chercher le acon ciselé et sert son vieil ami dans un verre à cognac, sans oublier de remplir le sien. Dis donc Orson, la fusée, il faut la lancer en dire ction de l’est pour qu’elle pro te de la vitesse de la rotation de la Terre V’ = V + (450 + cos f). Cos f étant le cosinus de la latitude en degrés du lieu d’où est effectué le lancement et V’ la vitesse maximale à l’équateur, où cos f = 1. Non ne me dis pas de servir grand-mère, elle ne prend jamais d’alcool devant les invités ! Ajoute Tchang et Orson répond : Oui, oui tout le monde le sait et comme tu dis, là il n’y rien à cacher. M ais tu vois même les Russes coopèrent avec les Américains de la Nesa tandis que vous, vous avez décidé de vous placer en compétition. Les Américain s ont conquis la Lune, les Russes ont construit et envoyé du matériel spatial en grandes quantités, ces deux puissances ont arrêté la compétition, ils préfèrent la coopération en matièr e spatiale. Vous, vous voulez maintenant fouler le sol lunaire, allez-y personne ne vous ret ient… Tchang esquive et Orson s’intéresse grandement à son propos, et Tchang explique : s « Longue marche-5 et 6 ». JeOui nous le ferons en 2012 ou 2013 avec nos lanceur ne te l’avais jamais dit que j’ai des ancêtres d’Eu rope, même de France ? W illiam le sait lui. Raconte ! S’exclame Orson. Dans notre famille, de mon coté pas celui de ma fem me, le soir quand j’étais petit les grands-parents racontaient cela. Il y a très, très longtemps à l’époque des conquêtes de Gengis Khan, un de vos papes avait envoyé une délégation a utour d’un prélat catholique. C’était une
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