La lecture à portée de main
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Description
Informations
Publié par | Publishroom |
Date de parution | 18 janvier 2018 |
Nombre de lectures | 6 |
EAN13 | 9791023607666 |
Langue | Français |
Informations légales : prix de location à la page 0,0012€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.
Extrait
L'extraordinaire voyage
de Noir Nuage
Illustrations: Virginie Alonzi
Texte: David Broman
Novembre 2017
ISBN : 979-10-236-0766-6 (EAN 9791023607666)
Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction interdits sans autorisation de l'auteur et de l'illustratrice.
Pour commencer, il faut commencer...
Et on n'apprend pas à commencer.
Pour commencer, il faut simplement du courage.
(Vladimir Jankélévitch)
À mon fils Nathan.
À mes filles Josepha, Ann Michelle et Leslie, et au petit résident du deuxième arbre à gauche.
À mon petit-fils Matteo :-)
À mon amie Lou, et à tous les petits amis, Girafe compris.
À toi aussi évidemment, et que tu puisses vivre pleinement le bonheur de l'élévation chaque fois que tu oseras un extraordinaire voyage.
Il était une fois deux nuages. L'un était blanc et l'autre était noir.Le noir s'appelait Noir Nuage et le blanc s'appelait Nuage Blanc.
Ils habitaient tous deux dans le bout de ciel qui se trouvait juste au-dessus d'un petit bois que tout le monde appelait «La Forêt».
Nuage Blanc et Noir Nuage étaient amis.
Ils étaient même les plus grands amis du monde.
Tous les jours, ils jouaient ensemble dans le ciel.
À quoi jouaient-ils? Eh bien, à toutes sortes de jeux. Mais leur jeu préféré consistait à piéger les oiseaux dans leurs touffes nuageuses.
À ce jeu-là, parfois c'était Noir Nuage qui était le plus fort, parce que quand il réussissait à en piéger un, l'oiseau ne voyait plus rien du tout tellement il y faisait sombre et ne trouvait plus le chemin pour sortir.
Parfois le plus fort était Nuage Blanc, parce qu'il était le plus habile pour se cacher dans un coin du ciel et piéger les oiseaux par surprise.
Évidemment, aucun de ces deux nuages n'était méchant. Alors, après avoir bien ri à étourdir ainsi un oiseau, ils le laissaient repartir en prenant soin de bien lui indiquer le chemin de sa maison.