La maîtresse de Knight
222 pages
Français

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La maîtresse de Knight , livre ebook

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Description

Katherine Hart est ravie d’avoir été embauchée par les Entreprises Knight, la plus prestigieuse société de capital de risque au monde. Enfin… jusqu’à ce qu’elle fasse la connaissance du tristement célèbre pdg de la société, Dominic Knight.
À 32 ans, Dominic est un milliardaire qui a réussi par ses propres moyens et dont l’effroyable ambition n’a d’égale que son mauvais caractère. Il est aussi terriblement séduisant et dangereusement charmant quand il le veut. Aux yeux de Kate, Dominic représente le parfait prédateur, et elle est résolue à demeurer sur ses gardes malgré leur évidente attirance réciproque en se disant qu’elle peut toujours partir si Dominic devient trop exigeant.
Ce qu’elle ignore, c’est que la décision ne lui appartient pas... Dominic Knight a trouvé un nouveau jouet, et monsieur Knight obtient toujours ce qu’il veut.

Informations

Publié par
Date de parution 15 juillet 2015
Nombre de lectures 170
EAN13 9782897525668
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0045€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Copyright © 2012 C C Gibbs
Titre original anglais : Knight’s Mistress
Copyright © 2015 Éditions AdA Inc. pour la traduction française.
Cette publication est publiée en accord avec Grand Central Publishing.
Édition originale publiée en 2012 par Quercus, 55 Baker Street, 7 th floor, South Block, London, W1U 8EW.
Tous droits réservés. Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite sous quelque forme que ce soit sans la permission écrite de l’éditeur, sauf dans le cas d’une critique littéraire.

Éditeur : François Doucet
Traduction : Guy Rivest
Révision linguistique : Féminin pluriel
Correction d’épreuves : Nancy Coulombe, Carine Paradis
Montage de la couverture : Matthieu Fortin
Photo de la couverture : © Thinkstock
Mise en pages : Sébastien Michaud
ISBN papier 978-2-89752-564-4
ISBN PDF numérique 978-2-89752-565-1
ISBN ePub 978-2-89752-566-8
Première impression : 2015
Dépôt légal : 2015
Bibliothèque et Archives nationales du Québec
Bibliothèque Nationale du Canada

Éditions AdA Inc.
1385, boul. Lionel-Boulet
Varennes, Québec, Canada, J3X 1P7
Téléphone : 450-929-0296
Télécopieur : 450-929-0220
www.ada-inc.com
info@ada-inc.com

Diffusion
Canada : Éditions AdA Inc.
France : D.G. Diffusion
Z.I. des Bogues
31750 Escalquens — France
Téléphone : 05.61.00.09.99
Suisse : Transat — 23.42.77.40
Belgique : D.G. Diffusion — 05.61.00.09.99

Imprimé au Canada



Participation de la SODEC.
Nous reconnaissons l’aide financière du gouvernement du Canada par l’entremise du Fonds du livre du Canada (FLC) pour nos activités d’édition.
Gouvernement du Québec — Programme de crédit d’impôt pour l’édition de livres — Gestion SODEC.

Catalogage avant publication de Bibliothèque et Archives nationales du Québec et Bibliothèque et Archives Canada

Gibbs, C. C.

[Knight’s Mistress. Français]
La maîtresse de Knight
(La trilogie Tout ou rien ; 1)
Traduction de : Knight’s Mistress.
ISBN 978-2-89752-564-4
I. Rivest, Guy. II. Titre. III. Titre : Knight’s Mistress. Français.

PS3607.I2254K5414 2015 813’.6 C2015-940520-3
Conversion au format ePub par: www.laburbain.com
Chapitre 1
Elle avait fait sa recherche comme elle le faisait toujours avant une entrevue, alors elle le connaissait. Trente-deux ans, diplômé de Stanford, voyageur aventurier, et milliardaire qui avait réussi plus ou moins par ses propres moyens et avait depuis longtemps cessé de compter les zéros. Excentrique également, mais il y en avait tant dans le monde des entreprises en développement. Peut-être même un peu plus qu’excentrique depuis la mort de sa femme. Mais ces rumeurs se limitaient à d’obscurs blogues dans le cyber­espace, et il était impossible de les confirmer.
Non pas qu’elle se soit souciée des excentricités de l’homme dans le cadre de sa vie privée. Elle était ici parce que son entreprise l’avait recrutée au mit 1 et le fait de travailler pour les Entreprises Knight, la société de capitaux à risque la plus innovatrice du monde, représenterait la réalisation d’un rêve.
Arrivée la veille de la côte est, elle s’attendait à rencontrer l’un des lieutenants de Dominic Knight au siège de l’entreprise à Santa Cruz, mais elle avait reçu, tôt le matin, de nouvelles directives par courrier électronique. Et c’est ainsi qu’elle se trouvait maintenant sur une tranquille rue résidentielle bordée d’arbres à Palo Alto.
Le chauffeur de taxi s’arrêta, puis fit un geste de la main.
— C’est là.
Elle regarda par la fenêtre, parcourant en esprit les sou­ve nirs de son cours d’Art 101 et décida qu’il s’agissait d’une des rar es demeures du tournant du siècle de Greene and Greene. La structure était entourée d’un magnifique aménagement paysager de style japonais d’un siècle plus tôt, précisément adapté au design d e l’imm euble. C’était un endroit inhabituel pour une entrevue, mais on ne lui avait donné aucune explication à propos du changement de lieu. Toutefois, compte tenu de la possibilité de se voir offrir l’emploi de ses rêves, qui était-elle pour en remettre les raisons en question ?
Elle resta un moment sur le trottoir pendant que le taxi s’éloignait, observant le petit édifice en séquoia. Au cours de sa première année d’université, elle avait habité dans un village de montagne au Japon, dans une auberge-temple très semblable à cette demeure pendant ce qui n’aurait dû être qu’une longue fin de semaine, mais elle avait été tellement enchantée par son isolement paisible qu’elle y était demeurée une semaine. Étrange qu’une rue si proche d’un important quartier métropolitain soit si tranquille ; elle regarda autour d’elle, ne sachant trop pendant un moment si e lle rêvait tellement ses souvenirs étaient intenses.
Puis, une tondeuse à pelouse démarra quelque part derrière elle. Elle sortit de sa rêverie et se mit à marcher d’un pas léger vers l’entrée du 630, Indigo Way.
On avait installé au centre du hall d’entrée un bureau de réception. Une secrétaire qui était en train de lire déposa son livre et leva les yeux. Il aurait pu s’agir d’une adolescente prenant une journée de congé scolaire : queue de cheval, jeans, t-shirt court et tongs. Elle ressemblait étonnamment aux photos de Dominic Knight bien que, d’après sa biographie, il n’avait pas d’enfant.
Intéressant.
La jeune fille sourit.
— Vous devez être la personne avec qui Dominic a rendez-vous à 16 h. Il n’est pas encore arrivé, mais il m’a dit de vous faire entrer.
Elle pointa un doigt dans la direction générale d’un corridor et retourna à son livre.
« Dominic plutôt que M. Knight. Encore plus intéressant », pensa-t-elle.
Comme si cela avait de l’importance, se rappela-t-elle, puis elle s’éclaircit la gorge pour capter l’attention de la fille.
— En fait, j’ai rendez-vous avec Max Roche. Je m’appelle Katherine Hart.
Kate demeura immobile pendant un moment, quelque peu mal à l’aise pendant que la fille terminait apparemment sa phrase avant de lever les yeux de nouveau.
— Je pense que c’est Dominic que vous allez rencontrer. Laissez-moi vérifier.
Elle glissa un crayon dans le livre en guise de signet, puis cliqua sur une souris d’ordinateur. L’écran d’un moniteur aux lignes pures s’éclaira et elle le parcourut brièvement des yeux.
— Non, pas Max. Dominic, fit-elle avant de pointer de nouveau un doigt. Le long du corridor, dernière porte. Je suis censée vous demander si vous désirez un café.
Puis, elle sourit et reprit sa lecture.
Il n’était pas nécessaire d’être télépathe pour savoir que le caf é n’était pas une option, alors Kate suivit le chemin désigné. Le corridor était éclairé par des fenêtres à claire-voie, la splendide lumière illuminant une galerie de photos représentant des voiliers ; certaines grandes, d’autres plus petites, toutes représentant de magnifiques voiliers de course en pleine action, voiles gonflées, filant dans le vent. Elle s’arrêta un moment et se pencha vers une photo de deux voiliers ensemble. Tous deux étaient complète­m ent gréé s, l’un gîtant tellement à tribord que les vagues effleuraient presque la rambarde. Et, penché à quelques centimètres au-dessus de l’eau, une main sur la rambarde, l’autre tirant un câble, ruisselant d’embruns, se trouvait le président et chef de la direction des Entreprises Knight, plus jeune, complètement trempé, un grand sourire exultant sur son beau visage.
— C’était une Coupe du monde au large de la Nouvelle-Zélande. Désolé de vous avoir fait attendre. C’était inévitable.
La voix riche et profonde s’était fait entendre près de son oreille. Se redressant brusquement, elle se retourna, bouche bée, en murmurant « merde », puis rougit. Dominic Knight se trouvait devant elle dans toute sa beauté sombre et sensuelle, tout près, son regard vif l’évaluant de la tête aux pieds d’une manière si nonchalante qu’elle aurait dû s’en trouver offusquée plutôt que d’éprouver un profond sentiment de plaisir. Elle faillit retenir son souffle, mais se rattrapa à temp

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