Abe

Mj Fields, Louis Bayeux

Description

Abraham O’Donnel, vingt-six ans, est le directeur financier de Steel Inc. Après avoir travaillé sans relâche pendant plus d’un an, il prend une semaine de vacances pour apprécier le sable, le surf, et les femmes en Bikini de Fort Lauderdale en Floride. Après tout, il l’a bien mérité. Quand un petit interlude avec une hôtesse de l’air tourne mal, Abe se rend dans une maison à louer avec une plage privée. Alors qu’il profite nu de la piscine, il apprend qu’une maison d’hôte dans la propriété est également occupée. Tant pis pour le repos et la détente. Toujours galant, Abe essaie de tirer profit de la situation et propose de cuisiner un dîner aux beautés qui résident sur la propriété.

C’est sa dernière année et Nikolette (Nikki) Basset est en retard de quelques jours pour ses dernières vacances d’été avec ses quatre meilleures amies. Lorsqu’elle arrive, le sujet de conversation préféré de ses amies est le voisin d’à côté. Quand Nikki l’aperçoit, elle comprend bien pourquoi. Sortant d’un après-midi passé à surfer, Nikki n’arrive pas à en croire ses yeux quand elle voit Abe approcher. La tension sexuelle et la taquinerie entre eux conduisent à du sexe torride sur la côte Atlantique. Ce n’est qu’une aventure de vacances, et Abe et Nikki sont assez intelligents pour ne pas transformer leur histoire en quelque chose de plus. Mais le sont-ils vraiment ?

Sujets

• Littérature
• Fiction
• Romance
• Époque contemporaine

Informations

• Publié par: Juno Publishing
• Nombre de lectures: 80
• EAN13: 9782376769859
• Langue: Français

Extrait

Publié par
JUNO PUBLISHING
2, rue Blanche alouette, 95550 Bessancourt
Tel : [phone]
Siret : 819 154 378 00015
Catégorie juridique 9220 Association déclarée
http://juno-publishing.com/
 
 
 
Abe
Copyright de l’édition française © 2021 Juno Publishing
Copyright de l’édition anglaise © 2014 MJ Fields
Titre original : Abe – Four in Hand
© 2014 MJ Fields
Traduit de l’anglais par Louis Bayeux
Relecture et correction par Valérie Cavaillès
 
Conception graphique : © K23 Designs
Tout droit réservé. Aucune partie de ce livre, que ce soit sur l'ebook ou le papier, ne peut être reproduite ou transférée d’aucune façon que ce soit ni par aucun moyen, électronique ou physique sans la permission écrite de l’éditeur, sauf dans les endroits où la loi le permet. Cela inclut les photocopies, les enregistrements et tout système de stockage et de retrait d’information. Pour demander une autorisation, et pour toute autre demande d’information, merci de contacter Juno Publishing :
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ISBN : 978-2-37676-985-9
Première édition française : janvier 2021
Première édition : décembre 2014
 
Édité en France métropolitaine
 
 
Table des matières
Avertissements
Dédicace
Remerciements
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Épilogue
À propos de l’Auteur
Résumé

 
 
 
 
Avertissements
 
 
 
 
 
Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, les personnages, les lieux et les faits décrits ne sont que le produit de l’imagination de l’auteur, ou utilisés de façon fictive. Toute ressemblance avec des personnes ayant réellement existées, vivantes ou décédées, des établissements commerciaux ou des événements ou des lieux ne serait que le fruit d’une coïncidence.
 
Ce livre contient des scènes sexuellement explicites et un langage adulte, ce qui peut être considéré comme offensant pour certains lecteurs. Il est destiné à la vente et au divertissement pour des adultes seulement, tels que définis par la loi du pays dans lequel vous avez effectué votre achat. Merci de stocker vos fichiers dans un endroit où ils ne seront pas accessibles à des mineurs.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Dédicace
 
 
Ce livre est dédié aux lecteurs qui ont aimé Men of Steel et voulaient plus d'Abe.
À la chance que nous prenons en abandonnant le contrôle dans l'espoir de gagner beaucoup plus.
Pour le F2 Crew, vous êtes les meilleurs.
 
 
 
Remerciements
 
 
Tout d'abord, merci au propriétaire de cet exemplaire d'Abe.
Merci à mon agent, Marisa Corvisiero, l'ambassadrice de Crazytown et membre honoraire du conseil d'administration de Steel Inc. Elle porte chaque chapeau avec classe, un sourire dans sa voix et un professionnalisme qui me stupéfie. Tu as cru en moi et je t'en suis éternellement reconnaissante.
À Bobbie, Jamie, Mary, Mary, Renee, KA, Lucy, Christa, Ashley, Laurie, Gloria, Brandi, Michelle, Ellie, Jen et Stephanie, un million de remerciements ne suffit pas, mais vous les avez.
À la F2 Crew, aux ninjas BR, aux blogs et aux blogueurs qui partagent constamment mon travail avec les autres via les réseaux sociaux et le bouche à oreille, je vous envoie un million de câlins et d'éloges virtuels. Sans vous pour #partagerlamour, je ne serais pas là où je suis aujourd'hui. Je vous <3 tous !
À ma famille dont le soutien et les encouragements ne passent pas inaperçus, même si mon nez est enterré dans l'ordinateur, ou si je suis au téléphone en train de parler de mes livres, vous êtes toujours ma priorité. Ne doutez jamais de cela.
Pour Ally B., quand tu liras ces livres dans dix ans (ou vingt… s'il te plaît), essaie de voir au-delà du « sexy », il y a une histoire de croissance et d'amour. Chaque femme mérite d'être aimée par un homme qui la protège, elle et son cœur. Un homme qui sait qu'elle est un privilège. Et elle a besoin de ressentir la même chose. Choisis autrement et maman lui bottera les fesses.
 
 
Abe
 
Ties of Steel #1
 
 
 
 

 
 
 
 
 
MJ Fields
 

 
Chapitre 1
Break
 
ABE
 
 
Le Spring Break à Fort Lauderdale m’appelait. J’y étais déjà allé quelques fois lorsque j’étudiais à l’université de New York pour mon Master de finance et commerce, mais je n’y étais pas retourné depuis plusieurs années. J’avais besoin d’une pause. Je n’avais pas eu le temps de prendre des vacances depuis que j’avais pris mon poste de directeur financier de Steel Inc. , dont les propriétaires, mes frères d’adoption, me maintenaient occupé.
Jase, mon meilleur ami et PDG de Steel , était redevenu l’homme que je savais qu’il allait être un jour. Il était marié et avait un enfant, ainsi qu’un deuxième en route. Il était toujours casse-couilles, mais sa femme, ma cousine, le contenait bien de ce point de vue, du moins dans la mesure où il était possible de le contenir. Les autres étaient casés aussi. Dieu merci !
D’habitude j’emmenais un copain avec moi, mais pas cette fois. J’allais poser mon cul sur le sable, admirer le paysage, boire, et ramener la première personne prête à subir la frustration sexuelle que je réprimais.
Du sexe aviné, décérébré et sans retenue. Il y avait déjà pas mal de temps que je n’avais pas eu l’occasion de coucher avec quelqu’un, juste comme ça. Parce que j’aimais son cul, son sourire, ou le petit tressaillement de mon sexe quand je voyais quelque chose que je voulais pénétrer.
Mes relations sexuelles devaient désormais être planifiées. Travaille-t-elle chez nous ? Chez quelqu’un qui travaille avec nous ? Est-ce que ce sera seulement physique, ou bien deviendra-t-elle accro ? Finis les coups d’un soir avec des filles que je pouvais simplement ramener à la maison et mettre au lit avant de voir jusqu’où cela allait mener. J’avais désormais d’importantes responsabilités et je n’allais pas tout foutre en l’air. On ne me le pardonnerait pas. J’avais dû, à plusieurs reprises, donner ces foutues leçons de prévention du harcèlement sexuel aux gars. Ça n’était pas dans la description du poste, mais il fallait le faire pour empêcher l’empire de s’effondrer.
L’année précédente, j’avais loué des escorts, et je n’en ai pas honte. Pas de faux-semblants, c’était gagnant-gagnant. J’avais quelques favorites et je faisais une rotation. Je prenais soin de ne pas prendre deux fois la même en moins de deux semaines. Je ne voulais pas que l’on sache que j’étais assez exigeant au lit.
Plus j’étais stressé, plus je devenais exigeant. Dans mon travail, le stress se transmettait comme un virus contagieux sur la main courante d’une barre de métro. Je l’attrapais chaque fois. J’avoue volontiers être un peu à cran. J’avais tendance à micro-manager, mais j’essayais d’en décrocher petit à petit. Je ne voulais pas échouer. Un tel poste avec un simple diplôme universitaire… Ajoutez à cela le fait que la direction de l’entreprise était de ma famille. Du stress à la pelle.
Dans la file d’embarquement, juste avant de monter dans l’avion, le stress me dominait. Mais comme l’avait dit ma cousine Carly en me déposant à l’aéroport, « La vie, ce n’est pas que le travail, Abe. Tu mérites mieux que ça ».
C’était après qu’elle m’eut débarrassé de l’ordinateur portable et tablette que j’avais dans mon bagage à main. Quand j’avais essayé de le récupérer, elle m’avait répondu :
— Je te prévien