Saison féérique 2

Pierrette Lavallée

Description

Winter n’a presque aucun souvenir de son passé car elle a été internée une partie de sa vie dans un hôpital psychiatrique. La seule chose dont elle soit certaine c’est que son pouvoir en est la cause et qu’il est aussi responsable de son isolement.
Aussi, est-elle surprise lorsqu’elle pousse la porte du pub le Légendaire, de s’y sentir comme chez elle et de ressentir de l’attirance pour Galdor, le propriétaire des lieux.
Mais alors qu’elle se lie d’amitié avec les habitués qui l’accueillent comme si elle faisait partie des leurs, que son pouvoir s’amplifie et que les voix dans sa tête se font de plus en plus présentes, elle va devoir composer avec Galdor, qui est bien décidé quant à lui à garder ses distances avec cette sublime créature...

Sujets

• Légende (Wieniawski)
• Littératures de l'imaginaire
• Romance
• Malédiction
• Fiction
• Paranormal
• Légende
• Littérature

Informations

• Publié par: Éditions Sharon Kena
• Date de parution: 21 juillet 2021
• Nombre de lectures: 68
• EAN13: 9782819102472
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 1 Mo

Extrait

Souffle hivernal Tome 2 Saison féérique

Du même auteur aux Éditions Sharon Kena Au cœur de la volupté Les cow-boys lovers La malédiction tsigane tome 1 à 5 JAWD Sous le masque des apparences Défis entre amies l’intégrale Un rôle sur mesure Les Warriors tome 1 à 5 Lever de rideau Flics de mon cœur l’intégrale Une doublure imparfaite Représentation théâtrale Saison féérique 1 Let me die 1

Pierrette Lavallée Souffle hivernal Tome 2 Saison féérique

« Le Code de la propriété intellectuelle et artisti que n’autorisant, aux termes des alinéas 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, qu e les « copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective » et, d’autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d’exemple et d’illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale, ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ay ants droit ou ayants cause, est illicite » (alinéa 1er de l’article L. 122-4). « Ce tte représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal. » © 2017 Les Editions Sharon Kena www.leseditionssharonkena.com

Je vais commencer en remerciant de tout mon cœur Cy rielle, mon éditrice pour la confiance exceptionnelle qu’elle a dans mes romans, pour sa disponibilité et pour sa gentillesse.

Merci à ma famille : mes parents qui sont aussi ent housiastes que moi lorsqu’un de mes romans est édité. Mon mari Jipé, qui me soutien t à 1000 %, et qui m’emmène partout à la rencontre de mes lecteurs… Mes enfants , Aurélie, Nicolas et Théo… vous êtes ce que j’ai de plus cher au monde… Je vous aim e… Ma frangine et son chéri, merci d’être là pour moi, je vous adore.

Merci à mon Ange gardien, qui veille sur moi de là-haut…

Merci à toute l’équipe Sharon Kena… Les membres du comité de lecture, les correctrices, sans oublier l’exceptionnelle Feather Wenlock, notre illustratrice.

Merci à mes Bêtas lectrices, Nath, Bibi, Tiya…

Merci à mes amies, aux blogueurs, aux chroniqueurs…

Mais avant tout, merci à vous, lecteur, ce roman es t à vous…

PROLOGUE CHAPITRE 1 CHAPITRE 2 CHAPITRE 3 CHAPITRE 4 CHAPITRE 5 CHAPITRE 6 CHAPITRE 7 CHAPITRE 8 CHAPITRE 9 CHAPITRE 10 CHAPITRE 11 CHAPITRE 12 CHAPITRE 13 CHAPITRE 14 CHAPITRE 15 CHAPITRE 16 CHAPITRE 17 CHAPITRE 18 CHAPITRE 19 CHAPITRE 20 CHAPITRE 21 CHAPITRE 22 CHAPITRE 23 CHAPITRE 24 CHAPITRE 25 CHAPITRE 26 CHAPITRE 27 CHAPITRE 28 CHAPITRE 29 CHAPITRE 30 CHAPITRE 31 CHAPITRE 32 ÉPILOGUE

Table des matières

PROLOGUE

Le souffle de la légère brise remuait les feuilles des arbres et le jeune homme ne put s’empêcher de frémir. Depuis plusieurs jours, il était en proie à une fébrilité grandissante, mais heureusement, ses potes étaient là pour lui ch anger les idées, même si son frère jrop à cœur et ne s’amusait même plus, seouait les rabat-joie. Il prenait son rôle un peu t contentant d’observer vers les territoires du Nord, attendant une menace qui ne semblait pourtant pas vouloir s’abattre sur eux. Un éclat de rire retentit sous les fenêtres du chât eau et il reconnut celui d’Idaea. Il savait qu’elle le cherchait alors qu’elle n’avait p as le droit de déambuler à cet endroit, même si l’aube était proche, mais la jolie nymphe é tait comme ça, libre, fougueuse et surtout très charmeuse. Cette douce ensorceleuse avait été on ne peut plus directe dans sa proposition. C’était lui qu’elle avait choisi, mais s’il ne la r ejoignait pas sur la colline, c’est à un autre qu’elle offrirait ce qu’elle lui réservait. Un sour ire étira ses lèvres. Pour un moment, il désirait juste oublier les responsabilités qui pesa ient sur ses épaules depuis le décès de son père. La douleur due à son absence se fit plus vive, plus intrusive. Il lui manquait, tout comme il manquait à sa mère, qui ne quittait pratiq uement plus sa chambre, et à sa sœur qui, malgré son cœur en berne, s’entraînait encore plus durement qu’avant. Mais celui qui ne parvenait pas à se remettre de la mort de ce t imposant guerrier, c’était son aîné qui, depuis, restait sur ses gardes, veillant sur l e Prince et ses amis comme une poule sur sa couvée. Lui, refusait tout ça. Il ne souhaitait pas cette c harge qui lui incombait à présent, car être un combattant ne lui agréait pas. Se battre n’ était pas son passe-temps préféré. Lui, ce qu’il aimait, c’était la musique, celle qui fait danser les corps, valser les cœurs et qui enchante l’âme. Qu’on lui donne un violon et il était certain de po uvoir cesser la guerre. Pourtant, à part une ou deux agressions de temps en temps, ils étaie nt en sécurité, même si une attaque pernicieuse avait été lancée contre la reine Tabyth a quelques semaines plus tôt. C’est lors de ce combat que son père avait perdu la vie, parce qu’il s’était posté devant la reine, recevant le coup mortel à la place de celle qui était pour lui une véritable sœur. L’homme secoua la tête. Il ne fallait pas qu’il pen se à ça… Les elfes protégeaient Fairysia et la sorcière maléfique étant retenue pri sonnière par les trolls, dans les geôles des Mountfog, depuis plusieurs années à présent, il était certain de ne courir aucun risque en retrouvant la jolie Idaea. Le Prince lança son cri de ralliement qui se réperc uta dans tout le château. Un sourire étira les lèvres du jeune insouciant qui sauta d’un bond souple par-dessus la rambarde, mais avant d’avoir pu mettre un pied dehors, il fut rattrapé sèchement par le col de sa tunique. Où crois-tu aller comme ça ? gronda une voix sévère.  Bon sang, tu m’as fait peur ! Nous allons sur la c olline, le Prince nous a invités à l’accompagner afin de recevoir les hommages de son… peuple, ironisa Galdor.  C’est toi qui l’as convaincu de sortir et ne me di s pas le contraire ! Je te connais suffisamment pour savoir que tu préfères t’amuser p lutôt que veiller à la sécurité de notre futur souverain.  Nous sommes amis ! se récria-t-il. Et ne perds pas de vue que c’est toi qui as été