Mourir à Kaboul

Jean-François Sabourin

Description

Ce roman, au coeur de l'Afghanistan meurtri, est une fresque familiale dont l'héroïne, Djala, subit le sort des femmes afghanes. Une vie cruelle d'asservissement et de résignation, considérée comme normale par la société afghane, faute d'un autre modèle. La femme pleure sous son voile ; elle pleure d'être femme.

Sujets

• Romans
• Littérature
• Nouvelles
• Harmattan Littérature

Informations

• Publié par: L'Harmattan
• Date de parution: 01 février 2013
• Nombre de lectures: 21
• EAN13: 9782296517080
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 1 Mo

Extrait

Jean-François SABOURIN

Mourir à Kaboul Roman de Djala, femme afghane

Mourir à Kaboul

© L’Harmattan, 2013 5-7, rue de l’École-polytechnique ; 75005 Paris http://www.librairieharmattan.com [e-mail] [e-mail] ISBN : 978-2-336-29276-2 EAN : 9782336292762

Jean-François S ABOURIN

Mourir à Kaboul

Roman de Djala, femme afghane

•Fragments de vie (Roman)

Du même auteur :

•Rimes en voyage dans les entrailles de la Cordillère (Recueil bilingue de poésie publié aux éditions Société des écrivains - Publibook)

•Paroles d’ombre et de lumière (Recueil de poésie publié aux éditions Société des écrivains - Publibook)

•Souffle du monde (Recueil de poésie publié aux éditions Amalthée)

•Les morsures de la terre (Recueil de poésie publié aux éditions L’Harmattan)

•Cœurs d’Afrique (Recueil de poésie publié aux éditions L’Harmattan)

•Palestine, d’une rive à l’autre (Roman publié aux éditions L’Harmattan)

•Peuls, l’empreinte des rêves (Roman publié aux éditions L’Harmattan)

•Confidences (Roman publié aux éditions Amalthée)

Les yeux de la femme afghane se sont fermés ce qu’elle voyait lui faisait trop mal au cœur dans ce pays oublié par ses frères et ses sœurs. Elle meurt dans les montagnes et les vallées persécutée par le régime taliban la femme digne pleuraient les larmes cachées sous le voile des traditions d’un autre temps. Dictée par des hommes mauvais et démodés maintenant elle pleure son mari qu’on tue au cours d’une sale guerre qui continue celle que nous avions oubliée peu à peu. la femme afghane a connu bien trop de malheurs elle ne veut plus voir de nouvelles horreurs c’était bien trop pour elle elle a fermé les yeux. poème afghan

1ère partie

Kaboul