L’appel de la Terre
69 pages
Français

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

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Description

L'auteure vous invite à réaliser un voyage intérieur et à adopter un nouveau regard sur le monde.

La Terre n’a cessé d’être pillée de ses richesses alors que l’homme détruit et plan de guerre fait, les animaux, les minéraux et végétaux souffrent, non pas en silence. Nous les entendons appel faisant d’un SOS aux humains transmit en ce livre sous forme d’un lien d’énergie d’amour à voir entre chaque être vivant. Les élèmentaux sont ici mis en avant et la parole des Cieux montre l’urgence d’un retour à l’humanité pour l’homme et pour le bien-être de la Terre, de son sol privé de son énergie en trop de lieux. Prendre sans redonner, puiser puis jeter, tuer puis contaminer tant de maux qui sont ici lumière d’un appel à l’aide, d’une main à ouvrir.

Cet ouvrage nous questionne sur le sens de notre existence et de nos actes et nous rappelle de respecter le monde qui nous entoure. Attendez-vous à un voyage introspectif intensif, pour mieux vous connaitre !

EXTRAIT

De par la Terre, il y a quantité d’aides d’humains pour des multitudes d’Êtres Vivants mais lorsqu’il s’agit d’animaux certains mettent un veto comme pour accepter sans informer ou pire de montrer sans agir. Il ne suffit point de dire combien les animaux ont droit d’être vivants, il faut le montrer… pourquoi cela, nous ne comprenons pas. Pourquoi devoir prouver qu’une vache a droit de marcher, qu’un lion a droit de dominer, qu’une abeille a droit de passage, qu’une araignée a droit de tisser… pourquoi devoir lier des liens à ceux qui le sont déjà, liés à vous.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Médium, artiste et écrivain faisant des écrits, des dessins depuis son plus jeune âge, auteure du Journal d’un ange, Florence est un Messager ouvrant la parole des Cieux, de son ange et autres liens lumineux en des messages d’aide mais aussi avec les livres soufflés à son oreille par les Cieux.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 14 novembre 2019
Nombre de lectures 0
EAN13 9791037701206
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0020€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Messager Florence
 
 
 
 
 
 
 
 
L’appel de la Terre
Témoignage
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
© Lys Bleu Éditions – Messager Florence
ISBN : 979-10-377-0110-6
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle .

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
La voix des Anciens
 
 
La cause animale
 
 
 
 
 
La Terre est à tout moment peuplée et repeuplée d’âmes ne pouvant mots d’homme prononcer, mais cela ne veut pas dire pour autant qu’elles ne savent pas ressentir l’amour. Ainsi notre parole ici descend avec faiblesse d’eux pas, mais avec force de leurs maux d’amour vus et ressentis par des Êtres de Lumière vivant sur Terre, ces Êtres ne savant pas au commencement voir la Voie de la Terre lumineuse d’aide et d’amour mais accueillant chaque animal comme lien aux Dieux.
Nous sommes donc ici pour parler à tout Être Humain au nom des animaux, ce peuple aux grands cœurs qui peuple la Terre depuis longtemps sans demander autre droit que la liberté d’être. Voici leurs noms « les Anciens » ils étaient là avant vous, oui, avant toute civilisation et ne portaient pas en leurs peaux la marque des hommes, aucune blessure, aucune torture, ni tannage de peau, non, ils vivaient dans la grâce de Dieu et nourrissaient ceux qui en avaient besoin sans pour cela être cibles ou trophées.
Ainsi la Terre était paysage sans faim d’évasion, elle parsemait l’air de senteurs merveilleuses et l’amour y régnait sans loi ni peur, justesse des pluies était pour abreuver et arroser et nul homme à l’horizon, juste l’amour et ses multiples espèces animales se voyant en toute quiétude avec quantité d’herbe, d’eau et d’aliments comme au Paradis, oui, ce Paradis qui est tant chéri pour vous humains était là sous vos pieds au commencement de la Voie de la Planète. Mais qu’avez-vous fait de ce Paradis si ce n’est l’enfer des Anciens « les animaux » ? Vous devez voir comme il est simple de vivre sans croire au lendemain autre que le jour même pour comprendre à quel point un animal ne peut voir plus loin que la journée même. Certes ils ont des souvenirs et des liens savent reconnaître mais au commencement ils n’étaient pas aussi alertes, aussi éveillés face à vous car ils étaient libres, en paix et n’avaient nulle autre préoccupation que de manger, boire et s’accoupler. Le danger n’était point d’une main d’homme faussement humaine mais de la Terre et de ses plaies, voir à cela les volcans avec leur lave et la fumée se dégageant d’eux. L’homme arrivant, il vit la fumée appel et non danger, comprenez un animal a peur du feu car il est signe de douleur mais l’homme y vit sa force et petit à petit en fit place première en ses cavernes. L’homme à ces temps reculés n’était point de colères mais de parades qu’ils faisaient pour contrer les troupeaux ou les amener à tel ou tel endroit afin de pouvoir de quelques peaux se réchauffer et des armes avec leurs os créer, mais gâchis n’était point ni perte, tout était équilibre entre l’homme et l’animal… ainsi les plans de graines firent leurs apparitions et l’homme guetta l’animal afin de l’effrayer s’il prenait graine puis, la famine fit signe et quand la sécheresse fut du monde, la Terre perdit un soleil et l’homme se retrouva seul face à ses démons… la peur de l’inconnu.
Construire des barrières pour contrer un peuple est chose aisée de vos jours mais en ces temps, pluie et foudre n’étaient point banalisées mais respectées. L’on remerciait la Terre pour ses richesses et l’on craignait le Ciel pour sa colère.
L’eau asséchée, la Terre perdue un peuple d’homme mais des liens certains avaient vue aux animaux qui savaient chanter en quelques cris et bruits faisant, oui, ils chantaient comme eux, la vie ! Ces quelques Êtres de la Terre n’avaient pas vu lumière du ciel comme signe de fin des âges mais ils avaient compris qu’il fallait tout comme les Anciens se terrer et attendre. La Terre trembla, l’homme perdit en quantités d’âmes et gagna en qualité de vie car plus la Terre changeait, plus il évoluait et apprenait avec les Anciens à l’observer et à l’apprécier que ce soit pour ses bienfaits, d’eau, de fruits et de lumière mais aussi pour sa voix car les peuples plus reculés à vous étaient à l’écoute de Mère Nature, ils la voyaient comme Déesse et guérisseuse, la remerciaient pour ses richesses sachant manger à leur faim et non à opulence. Voyant cela les Anciens avaient chance, oui, chance d’être ainsi respectés par ces hommes qui ne les pourchassaient point à outrance mais juste par nécessité.
Qu’avez-vous fait de cela humain, de cette faculté de savoir la limite à ne point franchir ?
Comment acceptez-vous de continuer d’aliment prendre en abondance sans en avoir vraiment besoin et pourquoi tuer plus qu’il ne faut ?
Pourquoi ?
Silence la Terre ne fait pas face à vos abus, non elle tremble et se meure car plus l’homme a évolué plus il a acquis sa certitude d’être là chez lui.
 
Vous avez comme oublié qu’avant vous, l’aliment premier n’était pas de chair ni de sang mais d’essence d’herbes et de ses plans naturels.
 
Ne sentez-vous pas comme, un appel au retour à l’essentiel ? Non, vous pouvez comme vous réjouir de tuer pour parer vos corps de peaux mortes, pourquoi si ce n’est pour paraître et non être.
L’homme a ainsi avec les âges pris pour lui la Terre et ses habitants comme sujets même à des expériences, pourquoi si ce n’est par quête du pouvoir. Mais où est le pouvoir dans la mort ou la vie ?
Pourquoi vous faut-il emmagasiner autant d’aliments dans des quantités de magasins, de containers si ce n’est par peur de manquer ?
Mais de quoi avez-peur de manquer ?
Pourquoi ne regardez-vous pas là, sous vos pieds, les richesses de Mère Nature, elles sont toujours là certes moindres car appauvries par vos routes et constructions massives remplissant sa source de vie de goudron et de substances nocives.
Avez-vous conscience que sous ces routes il y a la vie ? Non, vous l’ignorez ou plutôt préférez ne pas voir, cela ne vous paraissant pas aisé ainsi de marcher sur des quantités de terres, de vies emplies qui crient et souffrent, car la terre est vie, ne l’omettez point, elle est vie la première vie, l’avez-vous oublié ? Non, des chercheurs dans de grandes infrastructures sont comme aveuglés devant des flacons, des échantillons de vies, de terre et même d’air qu’ils vont de par le monde chercher car devant leurs pieds ne voient plus la vie étant donné qu’il n’y a que mort et faim d’elle. Nous ne pouvons cautionner vos actes qui sont à cela stupide car détruire une terre pour ensuite essayer de la recréer en des éprouvettes voir même sous l’Océan est vraiment étrange voir même effrayant non ?
Vous avez au cours des âges appris tant de la Terre et de ses occupants qu’il nous paraît vraiment étrange que vous ayez si peu de connaissance sur vous-même, n’est-ce pas effrayant ?
Oui, nous a

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