ÂRapport du Club.sénat.fr 30 juin 2003Président: Jean-Claude Carle, sénateur de Haute SavoieRapporteurs: Thomas Legrain, PDG, Coach’InvestMichel DalipagicProfesseur, Institut Supérieur de Technologie et Management¾« Comment nourrir l'envie d'entreprendre dans les secteurs nouveaux d'activité...et éviter une nouvelle bulle spéculative ? » »Cette étude implique la mise en évidence des facteurs susceptibles de favoriser l’émergence de futurs « Bill Gates », créateurs d’entreprises à fort potentiel de croissance (« gazelles »).¾Qu’en est-il de l’envie d’entreprendre en France?3 constats1. Il n’y a pas en France moins d’envie d’entreprendre que dans les autres pays développés. (27% de la population française, enquête IFOP/APCE, janvier 2003; chiffre en croissance constante depuis la première enquête réalisée en 1992)2. Le potentiel universitaire et les structures d’accompagnement à la création d’entreprises sont comparables, voire supérieures enFrance, comparés aux autres pays développés.3. Pourtant, il y a moins d’entrepreneurs en France que dans les autres pays développés.(3,2% de la population française, enquête Global Entrepreneurship Monitor, 2002)Le problème se situe au niveau du passage à l’acteOn compte en France 3,2% d’entrepreneurs contre environ 5,3% pour des pays comparables comme le Royaume-Uni et l’Allemagne …Source: Global Entrepreneurship Monitor 2002Pourcentage d’adultes (18-64 ans) dans les entreprises nouvelles et ...
Président: Jean-Claude Carle, sénateur de Haute Savoie
Rapporteurs: Thomas Legrain, PDG, CoachInvest
Michel Dalipagic Professeur, Institut Supérieur de Technologie et Management
«Comment nourrir l'envie d'entreprendre dans les secteurs nouveaux d'activité...et éviter une
nouvelle bulle spéculative ?»
¾
Cette étude implique la mise en évidence des facteurs susceptibles de favoriser lémergence de futurs « Bill Gates », créateurs dentreprises à fort potentiel de croissance (« gazelles »).
1. Ilny a pas en France moins denvie dentreprendre que dans les autres pays développés. (27% de la population française, enquête IFOP/APCE, janvier 2003; chiffre en croissance constante depuis la première enquête réalisée en 1992) 2. Le potentiel universitaire et les structures daccompagnement à la création dentreprises sont comparables, voire supérieures en France, comparés aux autres pays développés.
3. Pourtant, il y a moins dentrepreneurs en France que dans les autres pays développés. (3,2% de la population française, enquête Global Entrepreneurship Monitor, 2002)
¾Le problème se situe au niveau du passage à lacte
alors que nous produisons un grand nombre de docteurs en sciences et technologies
Entreprendre aujourdhui dans les secteurs nouveaux dactivité pour créer la richesse de demain Créationpourcréerlarciehsseeddedemain richesses Recherche Introduction aturité Déclin Nécessité dauejnturredprheunidreo ¾création dentreprises innovantes contribue pour prèsLa Temps de 30% à la croissance du PNB américain. Source: Digital economy 2002, dept. of Commerce
Un constat unanime: un potent« En recherche biomédicale et exploitésiam,eaunesoliditétuotàaftireélldsanslaétnaal,arFecn les dernières années sont « Le retard dans les nouvelles marquées par un déclin. » technologies est directement lié à notre effort très insuffisant enChristian Bréchot matière de R&D, à la fois dansDirecteur, INSERM le secteur public et dans le secteur privé, et aussi dans les passerelles entre les deux qui fonctionnent très mal. » Alain Etchegoyer Commissaire au Plan « La recherche française est cloisonnée, et renforce à chacun des recrutements son cloisonnement fétide. » UniversitéPAhiixlipepnePBroovnennacredSource: Le Figaro, 30/05/03 ¾Un système universitaire et de recherche déresponsabilisant, qui ne permet pas de libérer les énergies.
¾Un processus daccompagnement global contribuant à lémergence dentrepreneurs « rôle modèle » et destiné à assurer la pérennité des jeunes entreprises.