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ETUDE SURLES CHANTIERSFRANCOPHONESA CONCORDIA1Été 2003 _ Benoit ROZEL2IntroductionCe travail a été réalisé à l'occasion de mon stage de première année de magistère à l'École NormaleSupérieure de Cachan effectué avec Concordia. L'objectif de ce stage était de contribuer à l'analyse et à l'évaluation des chantiers francophones.Mon évaluation portait plus précisément sur le chantier de Vimoutiers en Basse-Normandie quiservait de chantier échantillon parmis les 6 chantiers francophones organisés par Concordia en 2003(un projet francophone par délégation).Pour réaliser cette étude, je suis parti de la « Proposition embryonnaire pour l'analyse etl'évaluation des chantiers francophones ». J'ai été amené à élaborer et poser plusieurs questionnairesaux différents acteurs du chantier : les volontaires, les animateurs (technique et vie de groupe), lebailleur d'ouvrage (en l'occurrence la mairie de Vimoutiers), les délégations régionales et le siègenational de Concordia.Le plan de mon rapport est le suivant :Avertissement préliminaire p 3Explications générales sur le travail et les méthodes utilisées p 4Remplissage du chantier p 6Première évaluation des volontaires et des animateurs :Questionnaire p 7Réponses p 8Commentaires p13Évaluation finale des volontaires et des animateurs :Questionnaire p 15Réponses p 16Commentaires p 22Questionnaire pour le Bailleur d'ouvrage et réponses p 24Questionnaire pour les délégations régionales et le siège national p ...

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Langue Français

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ETUDE SUR
LES CHANTIERS
FRANCOPHONES
A CONCORDIA
1Été 2003 _ Benoit ROZEL
2Introduction
Ce travail a été réalisé à l'occasion de mon stage de première année de magistère à l'École Normale
Supérieure de Cachan effectué avec Concordia.
L'objectif de ce stage était de contribuer à l'analyse et à l'évaluation des chantiers francophones.
Mon évaluation portait plus précisément sur le chantier de Vimoutiers en Basse-Normandie qui
servait de chantier échantillon parmis les 6 chantiers francophones organisés par Concordia en 2003
(un projet francophone par délégation).
Pour réaliser cette étude, je suis parti de la « Proposition embryonnaire pour l'analyse et
l'évaluation des chantiers francophones ». J'ai été amené à élaborer et poser plusieurs questionnaires
aux différents acteurs du chantier : les volontaires, les animateurs (technique et vie de groupe), le
bailleur d'ouvrage (en l'occurrence la mairie de Vimoutiers), les délégations régionales et le siège
national de Concordia.
Le plan de mon rapport est le suivant :
Avertissement préliminaire p 3
Explications générales sur le travail et les méthodes utilisées p 4
Remplissage du chantier p 6
Première évaluation des volontaires et des animateurs :
Questionnaire p 7
Réponses p 8
Commentaires p13
Évaluation finale des volontaires et des animateurs :
Questionnaire p 15
Réponses p 16
Commentaires p 22
Questionnaire pour le Bailleur d'ouvrage et réponses p 24
Questionnaire pour les délégations régionales et le siège national p 25
Réponses de la responsable du remplissage des chantiers p 26
Conclusion sur l'étude effectuée p 27
3Avertissement préliminaire
Les résultats de cette étude sont à relativiser pour trois raisons :
1.J'ai fait ce travail dans le cadre de mon stage de première année de magistère EEA (Électronique
- Électrotechnique - Automatique), c'est à dire une formation n'ayant pas de rapport direct avec ce
genre de travail. Cela veux dire que ce rapport n'est pas celui d'un cabinet d'audit spécialisé dans ce
genre d'étude mais le fruit du travail d'un étudiant n'ayant que très peu d'expérience dans ce
domaine, mais qui néanmoins a constamment essayé de faire de son mieux.
2.Pour l'étude des chantiers francophones, je me suis appuyé sur un chantier échantillon (celui de
Vimoutiers en Basse-Normandie). Mais ce chantier n'est pas forcément représentatif de ce que sont
tout les chantiers francophones. C'est à dire que dans tout ce qui a été observé, il faut distinguer ce
qui est présent sur tout les chantiers, ce qui est spécifique aux chantiers francophones, et ce qui n'a
lieu que sur le chantier Vimoutiers 2003. De part mon expérience des chantiers (3 à ce jour : 1 en
Allemagne avec IJGD et 2 avec Concordia), j'ai essayé de faire la part des choses, mais pour être
pleinement objectif, il faudrait analyser d'autres chantiers francophones. J'ai donc essayé d'être le
plus complet possible, quitte à parfois inclure dans ce rapport des éléments qui peuvent sembler
inutile, afin que, si une personne continue cette analyse sur un autre chantier francophone, elle
dispose de plus d'éléments que je n'en ai eu pour affiner cette analyse. Donc, il faut garder à l'esprit
que cette étude n'est basée que sur un chantier.
3.Troisième raison pour relativiser ces résultats : ma présence sur le chantier. En effet j'ai effectué
ce qui s'appelle en sociologie une « observation participative », et comme bien souvent en sciences
physique (aussi en sciences sociales, mais c'est moins mon domaine), la présence de
l'observateur perturbe la mesure. Qui plus est, par honnêteté, j'avais informé les « observés » de
mon observation. Rien que le fait de les interroger le premier week-end a rappelé aux volontaires et
animateurs qu'ils participaient à un chantier francophone. Ma présence même, tout au long du
chantier (les volontaire connaissait tous ma fonction pendant ce chantier) leur remémorait sans
cesse que la langue du chantier était le français. De même pour les animateurs, ils savaient qu'il
fallait parler français pendant le chantier car on avait parlé pendant les jours de préparation de
l'étude que je réaliserai sur ce chantier. Donc, il faut relativiser tous les résultats présentés dans ce
rapport à cause de ma présence tout du long du chantier. Néanmoins, la présence de l'observateur
était une condition indispensable pour avoir une évaluation sérieuse.
Si à la lecture de ce rapport, vous gardez ces trois éléments en tête, vous pouvez appréciez cette
étude à sa juste valeur, c'est-à-dire qu'elle n'est pas le nec plus ultra des analyses, mais elle a
cependant son intérêt pour l'analyse des chantiers francophones (c'est en tout cas mon avis !).
4Explications sur la méthode utilisée et
sur le déroulement de l'évaluation
I. Méthode
La méthode choisie pour les questionnaires est l’entretien individuel avec chaque volontaire.
En effet se contenter de distribuer les questionnaires et de ramasser les réponses n’aurait pas donné
les résultats attendus, car par écrit les réponses sont toujours plus brèves qu’à l’oral. Pour ceux dont le
français n’est pas la langue d’origine, cela m’a aussi permit de reformuler mes questions lorsqu’elles
n’étaient pas comprises. De plus cela a été aussi l’occasion d’expliquer à chacun mon travail. Certains
volontaires ont profité de ce temps, pour me poser des questions plus générales par rapport au chantier
et aussi d’exprimer ce qu’ils attendaient de celui-ci. La discussion étant assez libre, on a pu parler
d’autres choses qui leur tenait à cœur où qu’ils désiraient savoir.
II. Déroulement du premier questionnaire
Les volontaires étant arrivés dans leur presque totalité le vendredi soir, j’ai commencé à les
questionner le samedi matin. Il était impératif de les interroger le plus tôt possible afin qu’ils me
répondent ce qu’ils pensaient avant de venir et ceci sans être influencé par la manière dont se passe le
chantier. Cependant, je n’allais pas les interroger dès le vendredi soir car il fallait qu’ils se remettent
de leur voyage qui fut parfois très long et il leur fallait du temps pour « atterrir », les assaillir aussitôt
de questions ne les auraient pas aidé. Les entretiens ont duré de 5 à 20 minutes (en moyenne 10
minutes environ). J’ai interrogé au total les 17 personnes du chantier (15 volontaires et 2 animateurs).
Tout ceci a donc prit un certain temps et devait s’intégrer dans le planning du Week-end (en fait dans
les temps creux), j’ai fini ces entretiens lors de la journée du dimanche, sauf pour une volontaire qui
est arrivée dans la soirée du mercredi 9 juillet et que j’ai donc interrogée le jeudi.
Pour l’entretien en tant que tel ma méthode fut la suivante :
- Présentation de la démarche, de mon travail lors de ce chantier et de ma manière de procéder.
- Explication que le questionnaire est anonyme dans le sens où je ne mettrais pas l’auteur des
propos dans ma synthèse des réponses. Ceci afin de permettre aux questionnés de pouvoir répondre en
toute confiance et non pas de répondre comme ils pensent qu’on aimerait qu’ils répondent.
- Présentation des objectifs spécifiques à ce premier questionnaire afin qu’ils voient quelles
direction vont prendre mes questions et qu’ils ne s’inquiètent pas sur la nature des questions.
- Questionnement avec quelquefois reformulation.
- Remerciement pour avoir accepter de me consacrer un peu de temps et lors des premiers
entretiens, demande des impressions et des commentaires afin de voir si je pouvais améliorer mon
questionnaire.
5 III. Questionnaire pour le Bailleur d'ouvrage
J’ai aussi rédigé un questionnaire pour le Bailleur d’ouvrage qui a plus été un support pour la
discussion qu’un réel questionnaire. J’ai ainsi pu avoir l’avis sur la question du maire adjoint chargé
de la jeunesse et des sports et qui est notre principal lien avec la mairie de Vimoutiers et aussi l’avis
du responsable des services techniques de la ville qui suit l’avancée des travaux, ces deux personnes
étant nos interlocuteurs privilégiés étant donné que nous les rencontrons plusieurs fois par jour. Ces
entretiens ont été réalisés vers la fin de la deuxième semaine du chanti

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