Dossier N°12 "L eau et l amour"
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Dossier N°12 "L'eau et l'amour"

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Description

La sagesse est la connaissance du soi (et donc du mécanisme de l’égo). Cette recherche disciplinée et rigoureuse qui incombe à tout être humain est un préalable obligatoire pour vivre l’amour. Comment cela se traduit-il concrètement ? Par la vision du soi, la conscience se vide alors de sa totalité (pensées, images, peurs, représentations) et laisse place à la vacuité c’est-à-dire à la liberté à être (amour). Si la conscience demande à se vider c’est qu’elle s’est remplie tout comme nous pourrions le dire d’une carafe et de la matière liquide composée à 99% d’eau. Rares pourtant sont les personnes ayant encore fait le lien entre l’eau (99% d’un corps humain) et l’amour. C’est ce que nous vous proposons dans ce dossier N°12. Aussi merveilleux soit-il, là où l’eau remplit (arbre, animal, ruisseau, humain), l’amour s’exprime. Orienter son attention vers ce qui relie (eau) autant que ce qui différencie (informations du vivant) nous donne accès, de fait, à la matrice et la vision de la non-dualité, c’est-à-dire l’absence de conflit intérieur qui mène à la fin durable du conflit extérieur (guerre). Cela demande à voir les choses avec simplicité afin de passer du rêve à l’émerveillement de la réalité de notre quotidien pour que la beauté nous apparaisse telle qu’elle est c’est-à-dire omniprésente. Et qu’est-ce que la beauté sinon l’absence du soi. CE DOSSIER EST UN EXTRAIT DU LIVRE "L'EAU QUI NOUS RELIE" DISPONIBLE SUR AMAZON https://www.amazon.fr/dp/1720138060

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Publié le 09 septembre 2018
Nombre de lectures 302
Langue Français

Extrait

DOSSIER N°12  Juillet 2015
L’eau et l’amour
écrit par Rodolphe Forget
www.eau-dossier.com
Dossier N°12 : «L’eau et l’amour» par Rodolphe Forget.
Mot. Le mot n’est pas la chose.Dehors. Ce dossier a ainsi été écrit exclusivement dehors dans un jardin, afin de s’immerger physiquement dans l’amour (nature) dans le but de se maintenir à son contact et donc de sa lumière (soleil). L’amour n’est pas un concept ou une chimère, mais bien une réalité que notre égo nous fait confondre avec un rêve lointain et donc inaccessible. N’en déplaise aux sentimentales, qui sont à l’amour ce que les scientifiques sont à l’eau, c’est-à-dire des spécialistes de leur théorie analytique ou de leur fable. L’amour est une expérience de vie qui, de fait, sollicite toute notre attention, qu’elle soit intellectuelle, sensitive ou émotionnelle. Se mettre dehors implique que l’on doit faire en fonction des éléments (soleil, pluie, vent) et non de son mental. Autrement dit, se mettre dans l’inconfort des perturbations des éléments locaux qui sont en mouvement permanent avec ceux situés à des dizaines, centaines, milliers de kilomètres (continuum). Dans un bureau ou une habitation, ce n’est pas possible car c’est l’eau virtuelle qui domine ces espaces (comme en ville). Dehors, nous n’avons pas d’autres choix que l’adaptation, plutôt que la continuité planifiée si chère à notre mental. Ainsi, mon corps (eau) que je sollicite pour réfléchir (cerveau) est entièrement en contact avec l’humidité de l’air (eau), le parfum des plantes (eau), le toucher des insectes (eau) et le son du vent dans les feuillages (eau) avoisinants, etc. Tout ceci étant l’oeuvre de l’omniprésence de l’eau bien sûr. Avec cette vision de la matrice (eau), il n’y a donc pas de hiérarchie (amour). Dehors, le féminin (eau) inonde de sa seule présence (forme et énergie) et inspire à l’introspection du soi (dedans) afin de comprendre ce qui nous manque pour fluidifier (eau) notre relation totale à l’autre, autrement dit l’amour. Dehors, enfin, nous n’avons pas d’autre choix que d’être dans l’ouverture (eau) de ce que notre environnement communique jusqu’à nous. Et l’ouverture conditionne notre relation à l’amour. Observation. À l’instar de l’eau, l’amour est vivant. Nous pouvons le voir simplement en retirant le u à «l’amour» cela nous donnerait «l’amor» et donc la mort. Nous pouvons ainsi émettre l’hypothèse que notre souffle de vie tient à notre connexion avec le U c’est-à-dire l’Univers (ou l'Unité). Dès que cette connexion verticale (âme, lumière) se retire c’est la mort (biologique). Que l’on peut d’ailleurs entendre de la manière suivante «l’âme-hors» (du corps) et même «l’âme-or». L’amour doit alors être observé, et non analysé, car seule une chose morte est analysable. On ne dissèque pas ce qui est vivant.Nu. Nous naissons nus. Le mot « nu » inversé nous donne un (unité) et « nus » donne « sun » qui en anglais signifie soleil. Comme le corps est composé principalement d’eau (99%), nous avons dès lors une base suffisante pour observer la relation étroite de l'eau et de l'amour. Silence. C’est évidemment le son commun de l’amour et de l’eau. Sous réserve que l’on ne réduit pas l’eau à sa présence au mélange liquide de nos robinets ou de nos rivières. Les processus biologiques se déroulent tous dans le silence, l’obscurité et la lenteur.Lenteur. C’est la vitesse de l’amour puisqu’il est lié à l’éternité. L’amour est ainsi le précepteur de notre mental généralement impatient.Rejet. Pour observer la relation de l’eau et de l’amour, il n’y a pas de meilleur révélateur que de remarquer le comportement de l’intellect humain qui rejette systématiquement toute proximité avec ces notions. Pourquoi ? Car l’eau et l’amour sous-entendent la vacuité, c’est-à-dire dans le langage du mental, n’être rien de toutes les identifications auxquelles il a consacré un temps précieux de son existence. C’est ce qui explique qu’il va préférer une constitution du corps humain à minima de 70% d’eau (masse) plutôt que 99% (nombre de molécules). Qu’il va chercher par tous les moyens à ne pas utiliser de mot trop spécifique sur l’eau qui nous compose (eau morphogénique), et qu’il fera tout pour ne pas faire preuve de rigueur élémentaire avec toute information qui aurait pour «défaut» de lui démontrer sa proximité fusionnelle avec l’eau et donc avec l’amour qui ne demande aucune action de sa part, juste de vivre en rythme avec la vie, débarrassé de l’agitation émotionnelle. Un mental non dompté se tient malignement «éloigné» de l’amour pour mieux garder l’individu sous son emprise.
Pour y parvenir, il tient prêt à sa disposition selon les contextes : l’argent, l’ambition, la possession, le verbal, la mémoire, la connaissance (savante), la peur, la famille et la religion.Voir. Seule la vision totale du mécanisme de l’égo nous rend possible de vivre l’amour.Sexe.Le sexe, le mariage, l’attachement, la jalousie, le sentiment, le désir, la souffrance, la sensation ne sont pas l’amour mais le désir (pensée) qui prend sa source dans le mental. Homme. Si l’amour était un être humain, il aurait un corps de femme et son comportement serait celui de l’homme. Ce qui nous permet de comprendre pourquoi l’amour est pénétrant, libre et radical. Toutes ces qualités le rendent insaisissable, sa beauté vient de cette caractéristique. L’homme est au service de l’autre car la vie n’a pas choisi son corps pour déposer la fusion des gamètes. L’homme (viril) ne se plaint pas (silence), et prend ses responsabilités avec sérieux permettant ainsi l’ordre divin d’agir dans le vivant et permettre la diffusion de l’amour. L’homme sécurise ce qui veut bien s’abandonner dans ses bras. Il est le rempart au désordre. Supprimer toute forme de virilité annonce des temps propices (et dramatiques) à la rupture existentielle de l’humanité, prélude à sa libération.Danse. La danse à deux nous donne un aperçu de l’amour. La danse est liée au corps c’est-à-dire à l’eau. Sur une piste de danse, les danseurs doivent se muer dans un silence. Difficile de parler et de danser en même temps. Une musique ou une chanson se chargent de fournir aux danseurs le rythme et donc le mouvement sur lequel ils vont vibrer ensemble. De cette manière, ils font l’expérience de l’unité tout en étant dans des corps différents. Le désir est incompatible pour celui ou celle qui souhaite réellement danser car l’attention serait alors portée vers le soi et non sur l’association avec le (ou la) danseur(se). La danse demande donc d’être conscient sans choix. Le danseur est au service de la vibration musicale au point de se faire «disparaitre» afin d’être la musique (univers). La danseuse, quant à elle, par sa concentration vers l’intérieur de l’association qu’elle compose avec le danseur, est au service de la vibration des corps, au point de densifier les mouvements du danseur, dans le but de relier les deux corps à la Terre (la piste de danse). La danse est ainsi un échange entre l’homme et la femme, la musique et le sol, entre le silence et le corps, entre l’Univers et la Terre, entre l’amour et l’eau.Aimer. Aimer «amoureusement» n’est donc pas l’amour. Le sentiment d’aimer enclenche mécaniquement la sélection d’un être humain parmi toute l’humanité, alors que l’amour n’est pas sélectif puisqu’il est Un. À l’instar de l’eau, qui remplit minutieusement chaque corps humain sans distinction. Nous confondons ainsi le sentiment d’amour (affection, attirance, désir) avec l’amour. Cette confusion nous est dommageable car elle nous laisse dans une léthargie qui deviendra jour après jour notre prison ouverte, où nous passerons notre temps à souffrir de ne pas jouir de la félicité que l’eau de notre corps appelle de ses voeux. C’est d’ailleurs ce qui explique que dans la si sage langue française, il n’existe pas de verbe pour l’amour. Car celui-ci ne peut pas venir d’une action volontaire de notre part mais d’un lâcher-prise, inspiré justement de l’eau de notre corps. Aimer et le verbaliser, c’est nous extirper de la plénitude, c’est-à-dire du mélange que l’on appelle Vie. Nous ne sommes donc pas libre quand nous aimons. Nous sommes en proie d’ailleurs à de multiples concessions qui sans elles empêcheraient ce que nous appelons «couple». Aimer, à vrai dire, n’est qu’un fabuleux outil de géolocalisation fonctionnelle pour nous extirper de la masse émotionnelle de notre conscience consacré au désir. Aimer «amoureusement» est une réaction sensible à un stimuli extérieur (rencontre) que nous n’avons pas choisi, mais que le «hasard» a bien voulu daigner nous accorder, nous mettre sur notre chemin. Notre choix alors intervient seulement au moment crucial qu’est la séparation, après chaque rencontre, quand il va nous falloir sonder notre plaisir (mental) à rester ou pas près ou loin de l’autre. Aimer revient donc à rester proche de la personne «aimée» tel un aimant (pour le fer) et à la garder (possession) près de soi le plus longtemps possible (continuité). Ce qui explique que nous aimons généralement les personnes avec qui nous avons une multitude de points de vue similaires. Un autre soi, en quelque sorte, qui nous sécurise et pallie à notre
besoin affectif. Aimer intimement une personne, c’est se fermer aux autres.Sécurité. Nous recherchons sans cesse une sécurité affective, matérielle, psychologique car nous avons supprimé par nos identifications la sécurité que l’unité humaine nous procurait. Cette erreur nous isole et nous demande alors à nous sécuriser davantage. Nous tournons sur nous-même tels des escargots pour nous réfugier en un point qu’est l’égo (la consonne G du mot «ÉGO» nous le montre graphiquement). Repliés sur nous-mêmes nous fermons tout accès à l’amour. Prenez un chiffon et tordez-le suffisamment jusqu’à obtenir un noeud tendu au maximum, faites couler de la matière liquide composée d’eau et voyez combien il est impossible au liquide de pénétrer l’intérieur du noeud, pourtant nous savons que sans le noeud, le liquide se diffuserait sans peine.Haine. La haine n’est pas l’inverse de l’amour, mais celui de l’affection. À l’instar de l’eau qui n’a pas d’ennemi. Ainsi c’est l’action d’ «aimer» et de «haïr» qui s’oppose. L’amour est indivisible, il englobe donc autant l’affection (aimer) que la haine c’est-à-dire la désaffection. Dans cette unité très vaste que constitue l’humanité, nous devons nous diriger. Nous allons par conséquent vers des êtres (aimer) ou restons à distance d’autres (haïr) afin de créer des réseaux relationnels systémiques, où nous utilisons des espaces vacants que nous créons en fonction d’un contexte donné. La haine est utile dans le fonctionnement social de l’être humain. Combattre la haine est donc vain, et nous condamne à ne jamais créer l’espace en nous fondamental à la pénétration de l’amour dans notre quotidien.Mouvement. Rien n’est figé, tout est en mouvement. Les haines d’aujourd’hui ne seront pas les haines de demain. Cette absence de permanence a la vertu de remettre en cause l’acquis et de se rappeler que nous sommes ce mouvement perpétuel. Si nous l’oublions, l’eau de notre corps s’en souvient pour nous. C’est notre destin de nous mouvoir en rythme avec l’Univers car seul le mouvement rend visible l’amour. Se figer sur nos positions amène à voir la laideur de notre égo, ce qui a pour conséquence heureuse de chercher encore plus en soi l'amour relié à l’eau de notre corps.Parasite. L’amour se comporte comme un parasite vis-à-vis de l’égo récalcitrant à évoluer vers la liberté qui est le destin de l’humanité. Cela se traduit par un changement involontaire du comportement de l’égo (hôte) qui est bloqué dans la matière du corps (eau). L’amour avec la complicité de l’eau amène alors l’égo vers le «suicide» c’est-à-dire vers un arrêt de son agitation émotionnelle (pensées) afin de se laisser dissoudre dans le corps (eau) à tous les niveaux énergétiques par une augmentation à être (eau) ce qui se traduit par une perception du mécanisme de l’égo et donc une focalisation vers ce qui relie à l’autre. L’eau amène ainsi l’égo malgré lui à l’amour.Dissoudre. On ne supprime donc pas un égo mais on le dissout; ce qui nous rappelle l’action de la matière liquide composée à 99% d’eau (que l’on appelle abusivement «eau» car transparente). L’homéopathie fonctionne ainsi où il est possible de n’avoir que les effets curatifs d’un médicament et non les mauvais effets secondaires, comme cela se produit avec les médicaments allopathiques. Dans une dissolution, tout se ressemble; seule l’information (invisible) rend unique.Liberté. L’amour est possible dès que l'on se libère de toutes ses peurs. Cette liberté est la seule véritable car elle ne souffre d'aucune dépendance que ce soit vis-à-vis de quelqu'un ou de quelque chose. La liberté mène logiquement à l’autonomie, que celle-ci soit matérielle (cueillette, jardinage, nomadisme) ou spirituelle (sagesse). L’argent ne donne pas de liberté, sinon à huiler la mécanique d’un quotidien qui se complexifie en fonction de la quantité d’argent que nous possédons et dépensons. Notre existence est alors ce chiffon précédemment expliqué auquel nous faisons un noeud. Si bien que l’argent nous asservit plus qu’il ne nous libère, alors que nous sommes des «chercheurs d’or». L’or, qui est un métal précieux (près des cieux) est à comprendre dans le sens du mot hébraïque «HOR» qui signifie «lumière». Observez combien il est plus simple d’être généreux quand nous ne possédons rien, car ce que l’on donne serait tellement cher - et donc précieux - que nous le donnons gratuitement.Adaptation. Si nous sommes vivants aujourd’hui c’est que nous avons tous trouvé un moyen d’adaptation pour vivre. La vie est ainsi depuis la nuit des
temps. La liberté, c’est justement la capacité à l’adaptation totale dans le seul but de vivre. L’amour étant un mouvement permanent soumis au présent et non au passé, cela amène de fait à adopter un mode de vie adaptatif (présent) plutôt qu’une continuité reproductive (passé). Notre corps est majoritairement composé d’eau, et l’une des vertus principales connues de l’eau, c’est son haut niveau d’adaptation. Il n’y a qu’à nous regarder et admirer toutes les formes de corps possibles pour comprendre ce qui se dit là.Émerveillement. Le rêve nous rend inaccessible à l’amour alors que l’émerveillement nous prépare à le recevoir. L’enfant est dans l’émerveillement, c’est l’adulte qui lui apprend ensuite à rêver. Mais rêver n’est pas l’émerveillement. De la même manière que l’analyse mène à la paralysie, le rêve ne mène à rien. Nous le voyons dans le mot lui-même puisque si nous le retournons cela donne toujours le même mot «rever» on peut même lire revers (échec), ce qui n’est pas anodin. Le rêve est lié à l’argent et l’or à l’émerveillement. Le monde du rêve, c’est celui de ceux qui voient les choses de façon dissociée entre ce que l’on appelle «rêve» et «réalité». Dans la réalité, le rêve c’est pendant le sommeil. Une société qui met ainsi le rêve comme priorité est donc une société qui veut dormir (ou se divertir). L’émerveillement est alors pour ceux qui veulent ou qui sont éveillés. La réalité, c’est l’émerveillement de voir l’unité (eau, amour). Les besoins du quotidien sont alors portés sur l’essentiel puisque l’émerveillement est une énergie qui rend lucide (lumière). Indifférenciation. Chez les animaux et les végétaux, l’eau et l’amour se confondent. Ces êtres sont généralement silencieux, verticalisés et désintéressés. Ils sont la vie et ne s’identifient à rien d’autre.Égo. Chez l’être humain, l’égo est l’interface entre l’eau et l’amour qui, selon les cas, deviendra un point de rupture (le soi) ou une renaissance (l’amour) parmi les vivants. Quand l’égo n’est pas dissout, il rend alors invisible l’omniprésence de l’eau notre matrice car notre attention se focalise sur lui et donc sur tout ce qui va nous différencier de l’autre. Donner de l’importance à cette différenciation à l’âge adulte compromet par conséquent toute chance d’être embrassé par l’amour. Cela fait donc de nous des explorateurs de l’égo (ténèbres), nous travaillons à la diffusion de la lumière et donc de l’amour. Car l’eau qui nous compose à 99% a comme fonction principale la diffusion.Synonymes. Les synonymes au mot «amour» sont : la vérité, la lumière, le bonheur, l’émerveillement, l’autonomie, la nature, la beauté, la liberté, l’éternité, le tout, l’unité, l’indicible. Cette liste de mots n’est pas exhaustive.Eau. Elle est le reflet torsadé de l’amour. Un tissu que l’amour confectionnera en fonction de sa trame. Comme lui, l’eau est omniprésente et pourtant invisible car toujours mélangée à des substrats. Elle est, pour nous les êtres humains, ce paradoxe d’être palpable tout en ne l’étant pas. À l’instar de l’amour, l’eau est insaisissable car son existence ne tient qu’à son aptitude à s’associer. Une telle qualité demande une totale ouverture vers ce qui n’est pas elle. Ce qui revient à dire que l’eau n’existe pas (sans l’autre).Lumière. Tout ce qui est vivant est animé d’une lumière. En tant qu’êtres humains, nous avons alors à percer (nos ténèbres) pour voir la lumière qui n’éblouit pas. Autrement dit, ne plus chercher à briller (orgueil, vanité, ambition) mais à éclairer (amour). Seule la lumière est éternelle.Définition. L’amour est indéfinissable à l’instar de l’eau.Amour.est l’essence de l’Univers. Sa Il lumière.I.Le texte que vous venez de lire n'est pas séparé en paragraphes intentionnellement afin de former un tout, à l'instar de l'amour. Cela nous fait apparaître un I (ou un trait) qui représente graphiquement un rayon de soleil dans le but de vous pénétrer d’amour, sa source.
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