Rapport d'activité 2002 de l'Institut de recherche pour le développement

Institut De Recherche Pour Le Developpement

Description

Le rapport d'activité de l'IRD (Institut de recherche pour le développement) présente son activité pour l'année 2002 dans les domaines de la recherche, de la formation et de la valorisation des résultats des chercheurs de l'IRD. Il présente également les relations de l'IRD avec ses partenaires.

Sujets

• 2002
• Institut de recherche pour le développement
• Chercheur
• Répartition
• Recherche (homonymie)
• Coopération
• Aide au développement
• Transfert de technologie
• Budget
• Europe
• International
• Relations internationales

Informations

• Publié par: rapports-europe-international
• Publié le: 01 juillet 2003
• Nombre de lectures: 14
• Licence : En savoir +
  Paternité, pas d'utilisation commerciale, partage des conditions initiales à l'identique
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 1 Mo

Extrait

A M É R I Q U E L AT I N E - A F R I Q U E - A S I E - M É D I T E R R A N É E - D O M T O M

Sommsaire

Introduction
■Qui sommes-nous ?
■Éditorial

■Les faits marquants de l’année
■L’IRDdans le monde

Recherche, valorisation, formation et communication
■Comprendre et gérer l’environnement mondial
■Vers une exploitation durable des ressources
vivantes
■Des stratégies de développement humainement
viables
■Expertise et valorisation
■Soutien et formation
■Information et communication

Partenariat : un institut tourné vers l’extérieur
■Dans les pays du Sud
■Dans l’outre-mer tropical français
■En France métropolitaine
■Dans les pays du Nord
et avec les organisations multilatérales

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Ressources et pilotage de l’institut
■Les moyens financiers
■Les ressources humaines
■Les systèmes d’information
■L’évaluation
■La déontologie et l’éthique

Annexes
■Le conseil d’administration
■Le conseil scientifique et les commissions
■Le comité consultatif de déontologie et d’éthique
■L’organigramme de l’institut
■Les implantations de l’IRDdans le monde
■Les unités de recherche et de service

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Qui sqomumie s-snoous ?mmes-nous

l’IRD, un institut de recherche
au service du développement
Créé en 1944, l’institut de recherche
pour le développement est un établisse-
ment public à caractère scientifique
et technologique, placé sous la double
tutelle des ministères chargés de la
Recherche et de la Coopération.
Présent dans l’ensemble de la zone inter-
tropicale, l’IRDremplit trois missions fonda-
mentales : la recherche, l’expertise et la
formation.
Ses programmes de recherche sont centrés
sur les relations entre l’homme et son envi-
ronnement dans les pays du Sud, dans l’ob-
jectif de contribuer à leur développement.

une coopération internationale
active
L’IRDconduit toutes ses activités en liaison
avec des universités, des grandes écoles,
des établissements privés et publics de
recherche tant en France que dans les
pays en développement. Engagé dans de
nombreux programmes scientifiques
européens et internationaux, il entre-
prend ses recherches en étroite concer-
tation avec ses pays partenaires.

?

193,6 M€DE BUDGET TOTAL27,6 %et sant ovenecetde rudcton fdet geud bd i’ ttemeneoinnt prementissnves
(conventions de recherche et autres recettes)

2 098AGENTS

dont767chercheurs
787ingénieurs, techniciens et administratifs
544personnels locaux ou divers

992AGENTS HORS MÉTROPOLEdont740dans les39pays étrangers où l’IRDest présent

97UNITÉS DE RECHERCHE
ET UNITÉS DE SERVICE

400OTARTNSDOC

325BOURSES ATTRIBUÉES

PLUS DE400SGERAUVO

dont17unités mixtes avec d’autres organismes de recherche
français ou des universités

encadrés par des chercheurs de l’IRDdont58 %originaires
de pays du Sud

à des étudiants et équipes du Sud dont
181bourses de thèse
95bourses d’échange scientifique de courte durée
47bourses de formation continue

disponibles au catalogue

Les chiffres clés de 2002

Éditoériallaotirid

entendre au Moyen-Orient ou en Côte le développement. Partenariat avec le Sud bien sûr, ren-
d’Ivoire, l’année 2002 pourrait apparaître à forcé, renouvelé voire repensé, pour que la demande et
ALORSfait tse’s laidnom eltmutue lueqs sec ve acela p-inu 79
l’IRD comme une année dynamique, tournée l’offre, ensemble, permettent des projets ambitieux et
vers l’avenir, une année régulière : le disposi- conformes à notre statut d’EPSTet à nos missions de
tif de recherche est en recherche, de formation et d’expertise au service du
tés dont 17 sont des unités mixtes de recherche, aux- développement. Partenariat avec le Nord, en particulier
quelles il faut ajouter quelques créations. L’activité, si dans le cadre européen, communautaire et bilatéral.
l’on en juge par le nombre de publications, est à la hau- Mais l’effort est insuffisant et l’Europe de la recherche
teur des autres organismes. Bien des résultats ont attiré pour le développement reste à faire. Partenariat en
l’attention et ce rapport en rend fidèlement compte. La France avec nos collègues des autres organismes de
modernisation de notre administration, au travers de son recherche et des universités. Ici, nous devons, dans le
projet de service, s’est poursuivie. Les premières étapes champ de notre finalité pour le développement, jouer un
de la mise en place du schéma directeur du système d’in- rôle fédérateur au service de toute la collectivité de la
formation ont respecté le calendrier prévu. recherche publique comme nous l’avons fait dans le
Par voie de conséquence probablement, et il faut le cadre de la préparation du Sommet de Johannesbourg.
constater, l’image de l’IRDpartenariats multiples dans lesquels nous devons Enfin,s’est sensiblement améliorée,
y compris l’idée que nous nous faisons de nous-mêmes. favoriser des rapprochements “Sud-Sud”, donnant toute
C’est le résultat de l’effort constant de la collectivité des sa place au Sud dans la mondialisation de la recherche et
“irdiens” pour se faire reconnaître par leur pairs mais nous évitant d’avoir à choisir entre notre collaboration
aussi par la société à travers la presse généraliste. Ce der- avec les pays en développement et celle avec les pays
nier aspect de nos efforts ne contribue pas seulement à émergents. Le large éventail des disciplines scientifiques
l’image de l’institut mais aussi à l’image de la Science, représentées à l’IRDet notre présence sur trois continents
qu’il faut séculariser si nous voulons éviter des débats et dans les départements et territoires français d’outre-
polémiques où la peur l’emporte sur la raison. mer constituent des atouts essentiels pour faire face à
Même si nous ne sommes pas encore assez offensifs, tous ces partenariats.
selon le mot de l’un de nos administrateurs, nous nous Cette présence géographique ne saurait pourtant
ouvrons à une pratique du partenariat systématique. rester immuable. La priorité donnée à l’ensemble
Cette démarche, indispensable en recherche, est une Euro-Méditerranée-Afrique s’impose pour des raisons

les inflexions seront lentes. Elles ont commencé avec la
reprise, en 2002, de relations institutionnelles avec le
Maroc. Suivront l’Algérie et peut-être un pays africain
lusophone afin que notre relation avec l’Afrique prenne
une dimension continentale et s’inscrive dans l’esprit du
NEPAD. Cependant, affirmer une priorité ici ne signifie
pas un repli ailleurs si nous savons mieux utiliser et conju-
guer les différents moyens dont nous disposons, expa-
triations, missions de longue ou de courte durée. Si le
partenariat s’appuie sur la confiance et le respect au ser-
vice de projets scientifiques ambitieux, l’institut sera en
mesure de servir sa cause, la première cause du XXIe
siècle : le développement.

Jean-François GIRARD
Président

Serge CALABRE
Directeur général

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Lesffaaitistmsar quamntsaderl’qannuéeants

sommet mondial du développement
durable, Johannesbourg
Sous l’égide du ministère chargé de la recherche, l’institut
s’implique fortement dans la préparation de ce sommet
en coordonnant la participation et le rapport des orga-
nismes de recherche français. A cette occasion, l’institut
publie l’ouvrage de synthèse“Développement durable ?”.

programme de lutte contre l’onchocercose
(OCP): le succès de 28 ans de lutte
en Afrique de l’Ouest
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