A la sainte de la patrie, Jeanne d'Arc : pieux hommage de l'episcopat français pendant la grande guerre

Amédée Richardet

Description

WRTGIIT im'Ri5y, JOTTN LMOST. rii" iiiiB^ .1 ,iiiii !l,'il| I ft "É victoire. mai 1918.Paris, le 30 1^ ~/>J^^^^^i£r^ Ca^u/::^.^a-tf^ ^mz/l'^Ut. /':Z/U^ archevêque de Vienne aura lui-même une troupe et la ville vota des subsides pour renforcer l'armée de Jeanne d'Arc et répondre à l'appel de Charles VII, qui se dirigeait alors vers Reims pour le Sacre. Ajoutons qu'à l'assaut tenté contre Paris, les Dauphinois, sous la conduite de Louis de Poitiers, seigneur de Saint-Vallier, distinguèrentse entre tous, à la porte Saint-Honoré, (l) Pa^es écrites par le cardinal Mauriu, alors qu'il était encore évèque de Grenoble. (d). \J — Mais, pour enII. revenir à Jeanne elle-même, disons que non seulement elle comptait dans son escorte les meilleurs capitaines dauphinois, mais qu'elle eut toujours en Dauphiné les sympathies les plus généreuses. A peine connut-on ses premiers succès que nul ney douta de sa mission divine. Le clergé de Grenoble, entraîné par l'enthousiasme populaire, inséra dans sa liturgie des oraisons spéciales, où l'on invoquait Dieu qui avait voulu sauver le pays par les mains d'une femme.

Sujets

• Joan

Informations

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Extrait

J^^^^^i£r^ Ca^u/::^.^a-tf^ ^mz/l'^Ut. /':Z/U^ archevêque de Vienne aura lui-même une troupe et la ville vota des subsides pour renforcer l'armée de Jeanne d'Arc et répondre à l'appel de Charles VII, qui se dirigeait alors vers Reims pour le Sacre. Ajoutons qu'à l'assaut tenté contre Paris, les Dauphinois, sous la conduite de Louis de Poitiers, seigneur de Saint-Vallier, distinguèrentse entre tous, à la porte Saint-Honoré, (l) Pa^es écrites par le cardinal Mauriu, alors qu'il était encore évèque de Grenoble. (d). \J — Mais, pour enII. revenir à Jeanne elle-même, disons que non seulement elle comptait dans son escorte les meilleurs capitaines dauphinois, mais qu'elle eut toujours en Dauphiné les sympathies les plus généreuses. A peine connut-on ses premiers succès que nul ney douta de sa mission divine. Le clergé de Grenoble, entraîné par l'enthousiasme populaire, inséra dans sa liturgie des oraisons spéciales, où l'on invoquait Dieu qui avait voulu sauver le pays par les mains d'une femme." />