EXPLICATION DE L’ELLIPSE par Miles Mathis LE PROBLÈME Toutes les expériences et observations ont confirmé que les équations de Kepler sont correctes et que la forme de l’orbite est réellement une ellipse, comme Kepler nous le dit. La plupart des physiciens se sont contentés de laisser les choses en l’état. Si vous êtes un ingénieur et que vous avez des équations et un diagramme, vous avez tout ce dont vous avez vraiment besoin. Si vous êtes un professeur de physique et que vous avez des équations et un diagramme, vous êtes bien pré- paré : vous pouvez répondre à presque toute question qui pourrait être posée. Mais dans mon article sur la mécanique céleste, j’ai démontré que les accéléra- tions et les vitesses dans l’orbite elliptique étaient impossibles à expliquer avec le champ gravitationnel. Ce qui veut dire que nous avons les bonnes équations et la forme correcte, mais le mauvais mécanisme. Nous avons laissé les et le diagramme sans fondation depuis pratiquement quatre siècles ! Les cinématique et dynamique proposées et acceptées, étudiées de près, ne peuvent soutenir les mouvements dans le champ. La physique étant supposée être une explication mé- canique des phénomènes naturels, nous avons ici un réel problème. Nous avons intitulé cette partie de la physique « mécanique céleste » mais nous avons laissé tomber la mécanique presque entièrement. Ceci devrait inquiéter tous les vrais EXPLICATION DE L’ELLIPSE M.
Toutes les expriences et observations ont confirm que les quations de Kepler sont correctes et que la forme de l’orbite est rellement une ellipse, comme Kepler nous le dit. La plupart des physiciens se sont contents de laisser les choses en l’tat. Si vous tes un ingnieur et que vous avez des quations et un diagramme, vous avez tout ce dont vous avez vraiment besoin. Si vous tes un professeur de physique et que vous avez des quations et un diagramme, vous tes bien pr-par : vous pouvez rpondre Ā presque toute question qui pourrait tre pose. Mais dans mon article sur lamcanique cleste, j’ai dmontr que les acclra-tions et les vitesses dans l’orbite elliptique taient impossibles Ā expliquer avec le champ gravitationnel. Ce qui veut dire que nous avons les bonnes quations et la forme correcte, mais le mauvais mcanisme. Nous avons laiss les quations et le diagramme sans fondation depuis pratiquement quatre sicles! Les cinmatique et dynamique proposes et acceptes, tudies de prs, ne peuvent soutenir les mouvements dans le champ. La physique tant suppose tre une explication m-canique des phnomnes naturels, nous avons ici un rel problme. Nous avons intitul cette partie de la physique «mcanique cleste» mais nous avons laiss tomber la mcanique presque entirement. Ceci devrait inquiter tous les vrais
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M. Mathis
scientifiques et pas seulement les thoriciens ou les philosophes. Si votre champ n’explique pas vos quations ou vos diagrammes, vous n’avez pas un souci m-taphysique, vous avez un souci physique. Ce que nous avons actuellement est un ensemble d’quations qui ne sont accroches Ā rien du tout. Un ensemble d’qua-tions flottant dans le vent, ce n’est pas de la physique, c’est de l’heuristique.
Toutes les orbites, qu’elles soient elliptiques ou circulaires, sont supposes, par la thorie actuelle comme par la thorie historique, tre composes de deux mou-vements uniquement : une acclration centripte cause par la gravit et une vitesse dÛe au «mouvement inn» de l’orbiteur. Cette expression, «mouvement inn », fut utilise par Newton et elle n’a jamais t rvise. Elle est toujours consi-dre comme reprsentant la vitesse que l’orbiteur a apport avec lui dans l’orbite Ā partir de forces ou interactions pralables. Elle peut galement tre un mou-vement caus par la formation d’une nbuleuse ou du disque solaire, mais elle ne peut tre cause par le champ gravitationnel de l’orbite courante. Pourquoi? Parce qu’il n’existe aucun mcanisme qui puisse transmettre une vitesse tangen-tielle Ā partir d’un champ gravitationnel. Newton comme Einstein taient d’accord lĀ-dessus. Le calcul tensoriel d’Einstein montre de manire claire qu’il n’existe pas de force perpendiculaire au champ, et Einstein le dclara noir sur blanc. Comment pourrait-il y en avoir? Le champ de force est gnr au centre du champ, et il n’existe aucun moyen de gnrer une force perpendiculaire Ā partir du centre d’un champ gravitationnel sphrique ou elliptique.
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La vitesse orbitale d’un orbiteur en tout point de l’orbite est le vecteur addition des deux mouvements indpendants; c’est-Ā-dire l’acclration centripte en ce point du champ et la vitesse perpendiculaire, qui est constante. Si vous tudiez le diagramme ci-dessous, vous constaterez que cela peut tre dmontr trs simple-ment. L’orbiteur doit garder son mouvement inn sur toute l’orbite, quelle que soit la forme de celle-ci. S’il ne le faisait pas, son mouvement inn se dissiperait. S’il se dissipait, l’orbite ne serait pas stable. Ds lors, l’orbiteur doit toujours garder son mouvement inn sur tout diffrentiel. Si nous prenons les deux diffrentiels les plus importants, celui au prihlie et celui Ā l’aphlie, et que nous les com-parons, nous trouvons quelque chose de stupfiant. Les vitessetangentiellesdÛes au mouvement inn sont gales, ce qui signifie que la vitesse tangente Ā l’ellipse est la mme en ces deux endroits. Mais les acclrations sont trs diffrentes, Ā cause du champ gravitationnel.Et pourtant, l’ellipse montre la mme courbure aux deux endroits. L’ellipse est une forme symÉtrique, exactement comme le cercle.
C’est physiquement impossible. En utilisant les mouvements donns, l’ellipse est impossible Ā expliquer. La cration logique d’une ellipse exige des forces Ā partir des deux foyers, mais un de nos foyers est vide. C’est un fantÔme. Toutes les expli-cations que j’ai vues de l’orbite elliptique, y comprise – sans doute la plus connue – l’explication de Feynman, utilisent la visualisation avec un fil et deux punaises (voir l’illustration sous le titre). Mais cette visualisation exige deux foyers. Je ne peux pas travailler avec une ellipse et seulement un foyer.
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M. Mathis
Je sais que beaucoup vont se hrisser et hurler que j’ai prtendu dans mes illus-trations quev1=v2. Ne suis-je pas au courant que la vitesse orbitale varie le long d’une orbite elliptique? Oui, je le sais. Une fois de plus, mes vitesses ne sont pas des vitesse orbitales, elles sont des vitesses tangentielles. Je renvoie le lecteur qui ne comprend pas ce que je veux dire Ā mon article sur lemouvement circulaire. Pour rsumer, la vitesse orbitale dcrit un arc, ou ligne courbe. Elle est le vecteur addition de la vitesse tangentielle et de l’acclration centripte sur le mme in-tervalle. Newton fut le premier Ā faire cette analyse, et je suis d’accord avec lui. Malheureusement, la physique contemporaine a oubli sa distinction. Elle confond habituellement la vitesse orbitale et la vitesse tangentielle. Mais la vitesse tangen-tielle ne courbe pas. Elle est un vecteur en ligne droite, avec sa queue situe Ā la tangente. Elle ne courbe pas, mme Ā la limite. Elle devient simplement trs petite Ā la limite. En allant Ā la limite ou vers l’intervalle ultime de Newton, nous ne courbons pas la vitesse tangentielle, nous redressons l’arc. Ce qui signifie que nous redressons la vitesse orbitale de manire Ā pouvoir lui appliquer une addition de vecteurs, pour la placer dans la mme quation que la vitesse tangentielle en ligne droite.
Suis-je en train d’affirmer que les corps clestes ne peuvent suivre des orbites elliptiques ?Non. J’affirme que ces orbites elliptiques ne peuvent pas tre expli-ques par la thorie actuelle. La thorie actuelle est un ensemble trs complexe d’quations visant Ā dterminer les orbites que nous observons dans la ralit. Ce processus est appel «heuristique ».La thorie sous-jacente Ā toutes ces maths, qui est appele « thorie du champ gravitationnel », ne peut pas expliquer les ma-thmatiques les plus basiques qu’elle contient. Depuis l’poque de Newton et de Kepler, la thorie fondamentale des ellipses a continu Ā exister avec un trou Ā l’intrieur. Et je parle d’un gigantesque trou thorique. Il est temps de remplir ce trou.
La thorie courante essaye de pltrer ce trou en faisant la somme du circuit ferm, que celui-ci soit circulaire ou elliptique, dmontrant par lĀ que tout est rsolu. Mais cela ne prouve rien, car la rsolution est obligatoire. Nous parlons d’un circuit ferm, par dfinition. Il serait trs surprenant que la somme ne rsolve pas. Ce dont je parle ici, c’est de diffrentiels. Exactement comme dans la thorie orbitale, les diffrentiels trahissent d’normes trous dans la thorie. Ces diffrentiels peuvent tre additionns, montrant ainsi un circuit, mais la variation qu’ils contiennent ne peut pas tre explique par le champ gravitationnel ou le mouvement inn.
Pour faire fonctionner l’ellipse, vous devez faire varier non seulement la vitesse or-bitale mais aussi la vitesse tangentielle.Pour obtenir la forme et la courbure cor-rectes de l’orbite, vous devez faire varier le mouvement innÉ de l’objet. Mais le mouvement inn de l’objet ne peut pas varier. L’objet n’est pas auto-propuls. Il ne peut causer de force sur lui-mme juste pour le confort des thoriciens ou la beaut des diagrammes. Les corps clestes possdent un mouvement inn, un seul, et il ne peut pas varier.
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Section ajoutÉe en mai 2008 : Certains n’ont toujours pas compris ce que je veux dire. J’ajoute donc un autre diagramme.
Sur ce diagramme, vous pouvez voir que les vecteurs donns par Newton et par Kepler exigent plus de courbure au prihlie qu’Ā l’aphlie. Lorsque l’orbiteur se trouve plus prs du soleil, son trac orbital doit montrer plus de courbure. Le vecteurvest une constante, par dfinition ou axiome, et donc la variation en adoit dterminer la courbure du trac en tout point. J’ai galement montr les vitesses orbitales,v0, pour montrer comment elles sont trouves en additionnant les deux autres vecteurs. Comme vous pouvez le constater, la vitesseorbitaleau prihlie est rellement plus grande qu’Ā l’aphlie, comme le montre la longueur de ce vecteur. Mais les vitesses tangentielles, ou perpendiculaires, doivent en tout point du trac orbital tre les mmes. Ds lors, nous devons dterminer les courbures comme je l’ai des-sin ici. Peut-tre que maintenant vous pouvez voir plus clairement que les deux « extrmits » de l’ellipse ne peuvent pas tre les mmes. Vous ne pouvez pas avoir une courbure plus importante au prihlie et une courbure moins importante Ā l’aphlie puis tracer une forme elliptique ferme. C’est la thse centrale de cet article. Je n’affirme pas que les maths de Newton ou de Kepler sont fausses. Je n’affirme pas que les plantes ne suivent pas des ellipses. Nous savons empirique-ment que les quations comme les formes orbitales sont correctes. Le problme se trouve dans le mcanisme sous-jacent. Le champ gravitationnel, tel qu’il est cou-ramment dfini, ne peut pas donner la forme ni les quations. Puisque la forme et les quations sont reconnues correctes Ā partir de l’exprience, nous devons crer un champ unifi qui les explique. C’est ce que je fais Ā la section suivante et dans mon article surle champ unifi.
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LA SOLUTION
M. Mathis
Heureusement, la solution est exactement aussi simple que le problme. Elle a t ignore depuis des sicles, mais cela ne signifie pas qu’elle doit tre sotrique. Cela signifie seulement que le problme est rest cach pendant longtemps. New-ton masqua le problme tellement astucieusement que personne ne l’a dtect depuis son poque.
La solution consiste Ā comprendre que le champ orbital est compos de deux forces. Il n’est pas simplement dtermin par la gravitation. Ds lors, toute or-bite doit montrer au minimum trois mouvements de base. Les deux ci-dessus et un autre. Cet autre est un mouvement dÛ aux champs lectromagntiques (E/M) combins de l’orbiteur et de l’objet autour duquel il tourne. Dans notre cas, le so-leil et la Terre. La force cre par les champs E/M est une force rpulsive, comme celle entre deux protons. Elle est ds lors un vecteur ngatif en comparaison du champ gravitationnel, qui est un champ attractif. Et ainsi, le champ total dcrit par la gravitation et le champ E/M est la soustraction des deux. á la fin, vous soustrayez l’acclration E/M de l’acclration dÛe Ā la gravit.
Ceci explique l’ellipse, parce que la force E/M rpulsive augmente quand les ob-jets s’approchent l’un de l’autre. Quand l’acclration gravitationnelle augmente, l’acclration rpulsive dÛe au champ E/M augmente galement.
Nous obtenons un quilibre des forces. Ceci explique non seulement la forme va-riable des orbites, du cercle Ā la parabole en passant par l’ellipse, mais ceci ex-plique galement la corrigibilit de l’orbite. Ceci explique pourquoi nous ne voyons pas d’orbiteur s’craser sur le corps central. Ceci explique pourquoi nous avions un fantÔme Ā l’autre foyer de l’ellipse : le fantÔme tait habit par le champ E/M.
Cette solution explique galement la cause de l’ellipse. Il n’a jamais t compris pourquoi certaines orbites sont elliptiques et d’autres sont presque circulaires. Di-verses explications ont t prsentes : spin initial, diverses perturbations, angle initial ou intersection avec le champ. Ma thorie expliquera l’ellipse comme le chemin suivi par des orbiteurs capturs en montrant simplement que l’orbiteur a coup le champ trop loin de son centre. L’orbiteur captur n’a pas Ā couper le champ juste Ā la bonne distance. Il peut tre captur sur un grand intervalle de distances, et s’il est captur trop loin, il sera juste lanc sur une orbite elliptique.
Ce qui fait de mon analyse l’oppos de l’analyse actuelle. J’ai montr dans mon article sur la mcanique cleste que l’analyse actuelle explique l’orbite circulaire par un orbiteur coupant le champ Ā une distance telle que les deux mouvements s’quilibrent. Selon cette thorie, l’ellipse devrait tre cause par un rayon ini-tial d’intersection qui taitplus petitque ce rayon d’quilibre. J’ai tabli un dia-gramme dans cet article qui dmontre ce fait. Si l’orbiteur est captur Ā l’aphlie, par exemple, il va commencer par se rapprocher du soleil Ā cause de la forme de
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l’ellipse. Ceci ne peut tre expliqu qu’en montrant que l’acclration centripte domine la vitesse tangentielle en cet endroit.
Mais mon orbite est l’quilibre entre trois mouvements, pas deux. Ds lors, l’orbite circulaire doit tre cause par un rayon d’intersection tel que les champs gravita-tionnel et E/M s’quilibrent. Donc, pour crer l’ellipse, vous devez aller plus loin, pas plus prs. Souvenez-vous que le champ E/M diminue plus rapidement que le 2 champ gravitationnel. La gravitation dcrot en1/tandis que le champ E/M d-R , 4 crot en1/R .Si vous vous loignez, la gravitation s’impose sur l’E/M et l’orbiteur commence immdiatement Ā se rapprocher du soleil.
Afin de le montrer, je vais illustrer la capture pour une orbite elliptique : 1. l’orbiteurcroise le champ trop loin pour crer une orbite circulaire – ce qui veut dire qu’il se trouve au-delĀ de l’quilibre entre les trois mouvements indpendants, mais qu’il se meut suffisamment lentement pour que l’accl-ration dÛe Ā la gravitation le capture; 2. dufait que l’acclration centripte est initialement plus forte que le champ E/M et que la vitesse tangentielle, l’orbiteur commence Ā tourner plus prs du centre; 3. maispendant qu’il fait cela, le champ E/M augmente, vitant que l’orbiteur ne s’crase; 4. l’orbiteur atteint une distance orbitale minimale oÙ le champ E/M et le champ gravitationnel s’quilibrent [presque]; 5. dufait que l’orbiteur en question est un corps trs gros et que le champ E/M est fait de trs petits corps, l’lan de l’orbiteur l’aura en ralit amen Ā une petite distanceÀ l’intÉrieur;du rayon d’quilibre 6. l’objetse trouvant lgrement en dessous du rayon oÙ les deux forces s’qui-librent, le champ E/M est, pendant un court moment, plus important que la force gravitationnelle; 7. cecicre un trs petit effet de fronde; 8. Ācause de cet effet, l’lan de l’orbiteur l’amne en dehors du rayon d’qui-libre ; 9. sil’angle initial d’intersection n’tait pas trop important – de faÇon que nous ne nous trouvions pas trop en dessous du rayon d’quilibre – alors nous nous retrouvons au point 1. Autrement, nous crons une parabole au lieu d’une ellipse, et l’objet chappe Ā une orbite semi-stable. La seule tape qui mrite un commentaire supplmentaire est, je pense, l’tape 5. Une autre manire de prsenter l’tape 5 est de rappeler que le champ E/M est un objet physique beaucoup plus fluide que la plante qu’il intersecte. La plante est un objet solide dont le propre champ E/M est assez rigide. Mais le champ E/M central contient plus d’espace et moins de structure et donc l’effet qu’il a sur un objet solide sera diffr dans ce cas.
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M. Mathis
Une visualisation utile serait de comparer la plante croisant le champ E/M Ā une lourde boule de bois jete dans une eau profonde. Du fait que la boule est en bois, nous savons qu’elle flottera sur l’eau – c’est-Ā-dire que l’eau la repoussera. Mais si vous donnez Ā la boule suffisamment de vitesse initiale, elle plongera dans l’eau jusqu’Ā une certaine profondeur avant que l’eau ne commence Ā la repousser. Une plante est comme une boule en boistrÈslourde, et le champ E/M est comme une eautrÈspeu dense. Ainsi, la plante plonge jusqu’Ā une grande profondeur avant que le champ E/M ne finisse par avoir le dessus sur l’lan initial. La plante peut se retrouver « sous l’eau » pendant des mois. Mais finalement le champ E/M la fera flotter Ā nouveau.
La flottabilit de la boule en bois dtermine la force de rejet par l’eau, et le champ E/M de la plante dtermine la force de rejet par le champ central. Son champ E/M est dtermin par sa masse et sa densit.
Cette visualisation est galement analogue d’une autre manire. Lorsque l’eau finit par rejeter la boule en bois, la balle saute hors de l’eau, souvent Ā une hauteur mesurable. Vous avez sans doute djĀ expriment cet effet dans une piscine. Si vous maintenez sous l’eau une balle de plastic remplie d’air et que vous la lchez, elle saute littralement hors de l’eau et atteint une hauteur de quelques dizaines de centimtres dans l’air. Le champ E/M du soleil finit par rejeter la plante de la mme faÇon. C’est l’effet de fronde.
La thorie actuelle utilise ce mme effet de fronde, mais elle n’explique pas ses mcanismes fondamentaux. La thorie actuelle tente de btir le mme champ ds-quilibr que le mien, de telle sorte que l’orbiteur passe par une sorte de « puits » gravitationnel. Mais ce dsquilibre ne peut tre cr par un simple champ. Toute analyse serre fait exploser la thorie entire. La thorie actuelle a les bons effets et les bonnes ides; elle a juste les mauvaises forces. Le champ gravitationnel ne peut par lui-mme crer les forces requises pour causer les effets, les courbures et les diffrentiels exigs. Pour pouvoir crer les forces dsquilibres, les effets de fronde et les orbites corrigibles, vous devez avoir deux champs majeurs qui se croisent. Le mouvement inn n’est pas un champ, c’est juste une simple vitesse. Il est donc une constante. Il ne peut crer tous les effets que la thorie actuelle dsire donner Ā l’orbite.
IMPLICATIONS
La plus importante implication de tout ceci est que l’quation gravitationnelle fon-2 damentale de Newton doit tre reconsidre. La force dans l’quation F=GMm/r ne peut plus tre considre comme l’expression d’un champ unique. L’quation fonctionne toujours mais F doit maintenant tre comprise comme la diffrence entre le champ gravitationnel et le champ E/M. Nous avons un champ compos.
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Toutes les acclrations que nous mesurons sont le rsultat des deux champs tra-vaillant simultanment pour produire une force totale et une acclration totale. Cette acclration totale est l’addition vectorielle des deux acclrations consti-tuantes.
Une implication moins importante est que l’on peut maintenant dmontrer que les comtes ne se consument pas simplement Ā cause des radiations solaires mais aussi Ā cause du champ E/M. Ce qui signifie que les queues des comtes sont produites principalement par des effets lectriques. La comte est lectriquement en feu. On pourrait voir ceci comme un coupage de cheveux en quatre, mais ce n’est pas le cas. Les radiations solaires ne sont pas perÇues comme tant des radiations du champ E/M. elles sont perÇues comme tant composes d’ions crs par les sous-produits d’une fusion nuclaire. Mais les champs E/M sont crs indpendamment de la fusion nuclaire. Le soleil aurait un champ E/M puissant mme s’il n’tait pas un racteur nuclaire gant. Ds lors, il se peut que le champ E/M soit la cause principale des effets spectaculaires que l’on constate avec les comtes.
Vous pouvez ds maintenant prendre connaissance de l’application des simples quations de champ unifi au problme des trois corps (soleil, Terre, lune) dans mon article sur lespoints de Lagrange. En utilisant le champ de charge, je suis Ā mme de dmontrer que la lune atteint en ralit ces points d’quilibre des champs. Cela prouve mes affirmations dans cet article-ci.