Introduction à la gestion quantitative
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Introduction
à la gestion quantitative
Préface de Thaddée Tyl & Vincent Gleyze Introduction à la gestion quantitative
Achevé d’imprimer en avril 2009. Préface
100 fois sur le métier…
Lorsque nous avons commen-
cé à traiter sur les marchés
financiers au milieu des années
80, nous étions intimement
persuadés qu’une combinaison
naturelle de l’intuition et
de l’analyse fondamentale
constituerait l’outil le plus efficace pour maîtriser l’évolution des
actions, devises, matières premières et autres obligations.
La passion, l’enthousiasme étaient au cœur de notre démarche,
déjà. Et pourtant, les marchés et les faits sont extrêmement têtus :
à force d’aligner les chiffres rouges au bas de nos feuilles de trading,
ils nous ont rendu humbles et nous ont convaincu que, au fil des
Préface cycles économiques, ni l’analyse fondamentale ni l’intuition ne
correspondaient à notre culture des marchés et aux convictions que
nous nous étions forgées.
Nous avons donc progressivement développé, mis au point, remis en
cause et affiné nos propres méthodes de gestion quantitative, grâce,
notamment, à notre maîtrise des mathématiques et des statistiques.
Au fil du temps et de leur complexification, elles sont devenues un
vrai métier, notre métier.
Nous avons fait le constat que cette approche de la gestion
quantitative et systématique, générait néanmoins régulièrement de
nombreuses questions auprès de nos clients et investisseurs. Des
questions portant sur son mode de ...

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Ii à  i ii
Préface de Thaddée Tyl & Vincent Gleyze
Introduction à la gestion quantitative
Achevé d’imprimer en avril 2009.
Préface
Préface
100 fois sur le métier…
Lorsque nous avons commen-cé à traiter sur les marchés financiers au milieu des années 80, nous étions intimement persuadés qu une combinaison naturelle de l’intuition et de l’analyse fondamentale cons uera ou i pour maîtriser l’évolution des actions, devises, matières premières et autres obligations.
La passion, l’ nthousiasme étaient au cœur de notre démarche,  e déjà. Et pourtant, les marchés et les faits sont extrêmement têtus : à force d’aligner les chiffres rouges au bas de nos feuilles de trading, ils nous ont rendu humbles et nous ont convaincu que, au fil des cycles économiques, ni l’analyse fondamentale ni l’intuition ne correspondaient à notre culture des marchés et aux convictions que nous nous étions forgées.
Nous avons donc progressivement développé, mis au point, remis en cause et affiné nos propres méthodes de gestion quantitative, grâce, notamment, à notre maîtrise des mathématiques et des statistiques. Au fil du temps et de leur complexification, elles sont devenues un vrai métier, notre métier. Nous avons fait le constat que cette approche de la gestion quantitative et systématique, générait néanmoins régulièrement de nombreuses questions auprès de nos clients et investisseurs. Des questions portant sur son mode de fonctionnement, son vocabulaire si particulier, voire ésotérique, son positionnement dans l’univers de la gestion et le bénéfice que peut en attendre un i ti ’il nves sseur, qu soit institutionnel ou individuel pour la gestion de son portefeuille. Devenues récurrentes, ces interrogations nous ont incité à effectuer une démarche de pédagogie, visant à démystifier notre approche : tel est donc l’objectif de ce livret, une tentative d’explication utilisant
Introduction à la gestion quantitative
un langage simple, facile d’accès, qui reprend non seulement les grands principes de construction d’un portefeuille, éclaire le rôle du gérant, mais apporte également des définitions sur les stratégies communément utilisées et met en perspective notre conception de la gestion quantitative au sein de l’univers de la gestion.
Nous avons ainsi souhaité vous faire partager notre métier et décrypter des stratégies d’apparence « barbare », en vous en donnant les clés essentielles pour une meilleure compréhension de notre approche.
En vous faisant ainsi découvrir notre univers d’une manière simplifiée, nous formons le vœu de vous transmettre notre passion pour une philosophie et un style de gestion élaborés sur la rigueur et la meilleure objectivité possible.
Nous vous souhaitons une bonne lecture,
Thaddée Tyl et Vincent Gleyze
Préface
II. Pour qs cep.? 4 1lleuP seofrenamrnoq autnalg seItPPrenez I. a 1p.0atIte Iv
sommaIre
Iv. Pour quelle Place dans un PortefeuIlle ? 4.1. Deux offres radicalement différentes 4.2. Portefeuille-type : l’autre approche
  2.1. Une gestion, des stratégies p. 15 2.2. Le rôle-clé du gérant p. 17 2.3. La distinction selon les stratégies suivies par les fonds p. 18
 1.1. Des caractéristiques méconnues p. 11 1.2. Des explications nécessaires face aux investisseurs p. 12
v. en résumé, la gestIon quantItatIve… 5.1. …En 7 points 5.2. Parlez-vous quantitatif ?
p. 40 p. 41 p. 42 
p. 34 p. 35 p. 36
p. 20 p. 21 p. 22 p. 25
III. Pour quels rIsques ? 3.1. La définition des risques 3.2. Les outils des gérants quantitatifs pour contrôler les risques 3.3. Les moyens des gérants quantitatifs pour limiter les risques
Sommaire
I. aPPrenez la gestIon quantItatIve
Apprenez la gestion quantitative
1.1. Des caractéristiques méconnues
La réaction est humaine. Et en cela, elle peut être comprise. Face à l’inconnu, la méfiance prime. Qui plus est lorsqu’on évolue dans un univers aussi particulier que celui de la gestion d’actifs et qu’il est question de traitement d’une multitude de paramètres, dont la compréhension est réservée à quelques initiés. « Encore une nouveauté qui sacre l’ordinateur roi, et relègue l’homme au second rang », railleront certains… C’est souvent dans cet état d’esprit que la plupart d’entre nous abordent la gestion quantitative. Pour peu qu’ils en aient déjà entendu parler ! Dans le cas contraire, le sujet est soigneusement évité… Résultat, la méconnaissance des grandes caractéristiques de cette gestion ou la difficulté à appréhender son fonctionnement, entretiennent à tort l’idée d’une « boîte noire » qui, c’est un euphémisme, n’a pas bonne presse par les temps qui courent… Attention aux conclusions à l’emporte-pièce ! Oui, la gestion quantitative est une gestion sophistiquée dans la mesure où elle a recours aux statistiques et aux mathématiques pour développer une approche basée sur une démarche rigoureuse, pas uniquement liée à l’intuition ou à la simple connaissance financière d’un homme, aussi talentueux soit-il. Oui, pour être opérationnelle, elle s’appuie sur la modélisation des évolutions de différents marchés au cours des années précédentes - qu’il s’agisse des marchés d’indices, d’actions, d’obligations, de taux, de change, de matières premières - ainsi que sur leurs corrélations ou décorrélations éventuelles. Pour autant, la gestion quantitative n’est pas une gestion opaque. Elle est même à mille lieux d’un « pilotage déshumanisé » puisqu’elle laisse à l’homme la place nécessaire pour contrôler et éventuellement ajuster l’ensemble. Enfin, parce que ses fondements remontent à la création des indices boursiers la gestion quantitative n’est pas unenouveauté,ausensnégatifduterme.Enrevanche,c’estune gestion résolument moderne, qui a su d’ores et déjà faire ses preuves.
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Introduction à la gestion quantitative
Au fil des pages de ce livret, vous pourrez également constater que les principes sur lesquels elle repose sont à la fois simples et rigoureux, et aisément transposables à la gestion d’un portefeuille de n’importe quel investisseur - qu’il s’agisse d’un institutionnel ou d’un particulier. Pour toutes ces raisons, il nous semblait intéressant de vous en présenter les grandes lignes, en vous exposant les moyens dont elle dispose, les objectifs qu’elle poursuit et la place qu’elle peut occuper dans un patrimoine financier. 1.2. Des explications nécessaires face aux investisseurs Expliquer les rouages d’une gestion pour le moins sophistiquée aux non-initiés n’est pas une tâche aisée, il s’en faut ! Un minimum de pédagogie s’impose. L’exercice est d’autant plus nécessaire qu’il y a gestion quantitative et… gestion quantitative ! Entre celle où les décisions d’investissement sont totalement automatisées et celles où l’intervention du gérant est régulière, il est clair que les différences sont réelles. Comme c’est également le cas lorsque l’on compare gestion quantitative « passive » et gestion quantitative « active ». Pour ne pas perdre notre lecteur, nous nous focaliserons plus particulièrement sur celle dont les caractéristiques sont les plus séduisantes, en se donnant pour objectif la réalisation de performances positives, tout en respectant une enveloppe de risque donnée. Ainsi, cette gestion se singularise par sa transparence et peut s’illustrer dans des contextes tourmentés. Pour y parvenir, elle s’appuie sur un ensemble de styles de gestion associés à des processus et stratégies d’investissement divers. Chaque équipe de gestion crée et développe des modèles originaux en fonction de ses compétences professionnelles et culturelles. Mais attention : ne s’improvise pas gérant adepte de ce type de gestion qui veut.
Apprenez la gestion quantitative
La conception des modèles informatiques sur laquelle elle se fonde exige non seulement des moyens importants mais aussi du temps. Parfois plusieurs années, ce qui en fait véritablement une gestion de spécialistes. Si le savoir-faire nécessaire en matière de modélisation est « facilement » transposable à des professionnels maîtrisant parfaitement les statistiques, il est impératif que ces derniers disposent simultanément d’une parfaite connaissance des marchés afin de maîtriser les principes et les objectifs de gestion. Car les modèles n’ont pas d’autre finalité que de gérer des actifs dans l’intérêt des investisseurs. Le cahier des charges est donc plus lourd qu’il n’y paraît. Un bon statisticien ne sera pas obligatoirement un bon gérant quantitatif. Alors que, justement, la gestion quantitative impose cette double compétence, surtout lorsque les gérants mènent une gestion « active », où l objectif est clairement de battre le marché avec des risques limités.
La gestion quantitative en bref… L’appui essentiel des modèles statistiques et mathématiques L’expertise de l’homme dans la conception des modèles L’automatisation totale ou partielle des décisions d’investissement Un objectif de performance absolue pour chaque fonds Un contrôle quotidien du risque de marché
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II. Pour quelles Performances ?
7000
6000
5000
4000
Pour quelles performances ?
2.1. Une gestion, des stratégies
A bien y regarder, la gestion quantitative est très loin de cette image de gestion du troisième type dont on veut souvent l’affubler. Dans le détail, afin de respecter un de ses principes de base -la diversification au sens large du terme - elle a recours à deux grandes stratégies pour réaliser ses performances.
l i ii L’objectif de ces stratégies est de tirer profit des principales tendances qui se dégagent des marchés financiers en prenant des positions à la hausse ou à la baisse sur les principaux indices de marchés (taux d’intérêt, actions, matières premières, ou changes). En règle générale, ces stratégies sont plus particulièrement menées sur les marchés les plus importants et les plus liquides. Forts de leurs compétences d analyse macroéconomique et/ou d’analyse technique, les gérants qui suivent ces stratégies vont chercher à anticiper ou suivre leurs évolutions.
z  pi  ii p   i  i ii
3000 Position acheteuse Position vendeuse 2000 12-00 12-01 12-02 12-03 12-04 12-05 12-06 12-07 12-08
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100 98 96 94
Introduction à la gestion quantitative
l i ’bi Les stratégies d’arbitrage s’intéressent de leur coté aux inefficiences des marchés. Elles tirent profit d’écarts de prix (spread) entre des instruments liés entre eux. La stratégie « long/short » par exemple est l’une de ces stratégies les plus connues. Elle consiste à acheter, au sein d’un même secteur ou d’une même zone géographique, des actifs sous-évalués pour vendre simultanément d’autres actifs surévalués. En se donnant l’ensemble des marchés pour terrain de jeu, la gestion quantitative profite de la puissance des traitements statistiques et informatiques pour modéliser toutes les données et repérer les « aberrations » de marché là où elles se trouvent. Exemple : les différences de prix entre un instrument dérivé et ses sous-jacents, les écarts de taux d’intérêts, de devises, les écarts de prix liés à une opération de fusion-acquisitions entre deux sociétés, etc.
z  pi  ii p   i  i ’bi   3 i e   3 i us 3 mois Euro 3 mois US
Spread négatif Spread positif Position acheteuse Position vendeuse 12-04 12-08 12-06 12-07 12-08
Pour quelles performances ?
2.2. Le rôle-clé du gérant Contrairement à une idée répandue, la machine n a pas la main en gestion quantitative. Elle est naturellement très présente dans le processus de gestion dans la mesure où sa puissance de traitement des données est essentielle à la qualité de la gestion. En revanche, il est faux d’imaginer qu’il n’y pas de « pilote dans l’avion ». Outre lors de la conception et l’élaboration du modèle, « l’homme » est présent à des moments clés : lorsqu’il faut contrôler l’ensemble ou prendre en compte des évènements exceptionnels comme les attentats du 11 septembre 2001 qui ont justifié une intervention et un arrêt du système dans un contexte de marché fragilisé. De la même façon, les modèles mathématiques de gestion quantitative ne sont pas toujours adaptés au traitement de certains risques tels que le risque de faible liquidité de certains marchés - comme celui des petites et moyennes capitalisations - ou les risques de crédit en général. Le gérant doit alors « accompagner » le processus de gestion. Pour le reste, s’en remettre aux capacités de l’ordinateur pour obtenir des informations objectives et indispensables à la gestion d’un portefeuille procure un avantage évident et rassurant. Il n’est plus question de s’en remettre à une seule personne et ’ aux isques de défaillance que de telles responsabilités s exposer r peuvent, tôt ou tard faire peser. Reste bien évidemment un point important à régler : « dénicher » un bon gérant quantitatif doté des moyens, de l’expérience et du talent nécessaire. A ce jeu, sans préjuger des résultats futurs, les performances passées offrent de bonnes indications… Enfin, l’expérience montre que la gestion quantitative n’est jamais mieux pratiquée que lorsqu’elle est développée dans des sociétés de taille moyenne. Ces dernières offrent en effet une réactivité réelle en matière de recherche, ce qui constitue un préalable indispensable pour une gestion de qualité. De plus, leur caractère souvent entrepreneurial assure à la fois une stabilité à long
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Introduction à la gestion quantitative
terme des équipes, et un vrai alignement des intérêts à long terme des gérants-entrepreneurs et des investisseurs, deux caractéristiques qui ne sont pas l’atout majeur des grandes structures. 2.3. La distinction selon les stratégies suivies par les fonds La valeur ajoutée de la gestion quantitative est surtout visible lorsqu’elle prend le marché en référence… pour faire mieux que lui ! Dans la pratique, il faut cependant distinguer deux types de gestion principale. l i ii pi La gestion quantitative passive consiste à reproduire l’indice d’un marché. Il s’agit ni plus ni moins d’une gestion indicielle de réplication pure. Dans ce cadre, la marge de manœuvre du gérant est nulle, son objectif étant de suivre au plus proche - aux frais de gestion près - les évolutions de sa référence - ou benchmark. Dans l’univers de la gestion, on dit que les fonds gérés de cette façon affiche un « tracking error » égal, autant que faire se peut, à zéro, à l’opposé de fonds gérés librement et dont la comparaison avec les indices des marchés sur lesquels ils interviennent font état d’une « tracking error » élevée (5, 8, 10, etc.). Limiter le rôle du gérant quantitatif au suivi de l’indice serait pour autant réducteur. A l’aide d’analyses mathématiques et via le recours à des produits synthétiques (futures, swaps, etc.), le « pilote » du fonds cherchera à reproduire l’indice en minorant, notamment, les coûts de frottement (achat et vente de titres) qui affecteront la performance du fonds.
Pour quelles performances ?
l i ii i Changement de décor avec la gestion quantitative active. Plus question de se caler sur un benchmark. La gestion est flexible et se caractérise par une recherche de performance absolue quelles que soient les conditions de marché. Le gérant dispose donc d’une plus grande latitude d’action dans le choix et la pondération des valeurs sélectionnées. Ce surcroît de liberté donné au « pilote » n’est pas incompatible avec le processus de décision d’investissement, qui se fonde toujours sur des modèles statistiques et mathématiques. Les risques sont analysés et quantifiés via les programmes informatiques que l’équipe de gestion a élaborés, afin d’éliminer les facteurs humains négatifs tels que le stress ou l’excès de confiance dans les décisions d’investissements. A noter que lorsqu’il y a recours aux modélisations, la puissance de traitement informatique peut intervenir à tous les stades. A commencer lors de la création du portefeuille et la mise en place de l’allocation d’actifs ou de l’allocation géographique ou sectorielle. C’est le « nec plus ultra » de la gestion quantitative dans la mesure où le savoir-faire du gérant s’exerce dans la conception, le développement et l’utilisation des modèles informatiques auxquels il a recours, puis dans ses choix de valeurs.
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III. Pour quels rIsques ?
Pour quels risques ?
3.1. La définition des risques
La gestion en général n’est pas, comme toute activité humaine, exempte de risques. Il en existe même une multitude. Pour s’en persuader, il suffit de feuilleter les prospectus simplifiés de n’importe quel fonds d’investissement dont chaque épargnant doit avoir pris connaissance avant de souscrire. Du simple risque en capital au risque de change en passant par le risque « action » ou de taux. A cela peuvent s’ajouter des risques de contrepartie, de crédit, voire de crise de marché, impliquant l’arrêt des cotations et donc la disparition de la liquidité. En fonction de leur univers d’investissement, les gérants -notamment quantitatifs - peuvent en éliminer certains. Exemple : en intervenant exclusivement sur des obligations d’Etat offrant a priori une sécurité totale, on annule de facto le risque de crédit. En outre, sans être totalement « insensible », la gestion quantitative dispose d’atouts pour anticiper la survenance de problèmes importants et poursuivre une politique d’investissement et d’allocation rationnelle et automatique adaptée. Le gérant peut aussi intervenir en cas d’évènements exogènes ou en présence de certains risques spécifiques comme le risque crédit - difficile à évaluer au sein de certains portefeuilles - ou encore de la faible liquidité d un marché. Néanmoins, les gérants quantitatifs excluent en général ce dernier risque dans la mesure où le critère de liquidité est une priorité à sa bonne réalisation. Autrement dit, ils ne « travaillent » pas des actifs peu ou pas liquides comme le « private equity » ou l’immobilier. Certes, dans un univers financier bouleversé comme c’est le cas actuellement, la pertinence d’un modèle sur des bases statistiques historiques n’est pas toujours vérifiée. Il implique donc que les développeurs des modèles en question apportent un regard critique permanent et adaptent leurs réalisations à l’évolution des
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