a*-{• 1 / l^Cv^v-^Q^ /ll^C4A.'i^4.C H/\ / RECHERCHES RÉCENTES SUR ACTUELSLES GLACIERS GLACIAIREET LA PÉRIODE PAR CHARLES MARTINS Professeur d'histoire naturelle a,ssé deux 187/i, loin la et soulevé par une banquise de glace ayant 12 mètresde côte dura 125 jours, régnant sans dis-d'épaisseur. La nuit hibernale février. Le froid atteignit 50 degréscontinuité du 2g octobre au 24 les glaciers remplissaient toutesau-dessous de zéro. Dans ces îles, longueurles vallées et bordaient quelquefois la mer sur une de 100 neige, glace oukilomètres. L'œil attristé n'apercevait que névé; ordinairementles escarpemens même des rochers qui en sont dé- dessinait exactementpourvus étaient recouverts d'un verglas qui en les contours. Quelques herbes rabougries, derniers représentans de la flore polaire, végétaient misérablement entre les pierres, mais ne :voilaient jamais la nudité du sol. La vie animale persistait seule l'ours polaire, les phoques, les morses, les renards bleus et les lièvres blancs résistent à ces affreux hivers. Ces animaux ont été le salut des intrépides explorateurs, et la chair de 67 ours tués sur la glace les a préservés des atteintes mortelles du scorbut.