Par la Science, comprendre l'Essence de la Voie du Bouddha , livre ebook

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Grâce à cet ouvrage, le lecteur comprend mieux les philosophies orientales, les lois de la nature découvertes par le Bouddha qui sont parfaitement impersonnelles, immuables dans l'espace temporel, infaillibles à toute épreuve, intégralement équitables.



D'une part, quatre chapitres exceptionnels sur les études spécifiques détaillées :



1. Le Sutra du Diamant – La logique rationnelle du Dharma



2. La métaphysique du fonctionnement du cerveau



3. Les résultats obtenus des grands Maîtres des méditations (Bouddhisme – 2.560 ans) et Raja Yoga (5.000 ans av. J.-C.)



4. La méthodologie des méditations et leurs applications sur la maladie d'Alzheimer



D'autre part, 2 annexes sur l'Algèbre de Boole et sur le Taoïsme - La codification binaire et le livre Yi–Kinh.

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Publié par

Date de parution

08 juin 2021

Nombre de lectures

7

EAN13

9782414484065

Langue

Français

Poids de l'ouvrage

1 Mo

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
Immeuble Le Cargo, 157 boulevard Mac Donald – 75019 Paris
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-48405-8

© Edilivre, 2021
Dédicace

A la mémoire de mes parents
A mon épouse qui m’a exhorté et m’a aidé à réaliser ce livre durant des années.
A mes enfants
A mes deux petits-enfants
Préface de l’auteur La Connaissance
« Aux yeux d’un Bouddha toutes les splendeurs des rois et de leurs ministres apparaissent pareilles à des crachats et à la poussière.
A ses yeux l’or, l’argent et tous les trésors apparaissent pareils à des cailloux ».
Sûtra en 42 articles
***
« Dans l’éternité du temps seul l’homme est capable de créer et de modifier la religion, aucune religion ne peut changer l’homme 1* . »
Adage vietnamien
***
Pour le Bouddha « Avoir souffert pour la connaissance est une vérité absolue », autrement dit « il n’y a pas de connaissance sans souffrance ».
Le Bouddha disait : « L’homme naît seul, vit seul, meurt seul » car les divinités n’interviennent pas dans les affaires de l’homme, Et « Plus grande que toutes les souillures, l’Ignorance est la pire des souillures. Ô disciples, rejetez cette souillure et soyez sans souillures ».
L’Enseignement du Bouddha pourrait se résumer en deux étapes : la compréhension de la souffrance et la délivrance de la souffrance.
Pour tout être vivant et sensible la connaissance est une nécessité absolue et incontournable. Les plus jeunes animaux avec l’aide de leurs mères commencent à chercher la connaissance pour trouver de la nourriture et pour éviter les dangers permanents de la jungle ; dans un troupeau d’éléphants, c’est la plus vieille femelle qui joue le rôle de guide et de chef pour la simple raison qu’elle possède la connaissance nécessaire et suffisante pour la survie du groupe.
Le but est donc clair et parfaitement défini par le Dharma : tout pratiquant bouddhiste devrait donc apprendre, apprendre encore et toujours apprendre… sans s’arrêter jamais jusqu’à la fin de sa vie
En quête de connaissance, conscients de l’importance capitale de ce facteur, les humains imaginent et utilisent des manières les plus diverses et variées, les plus nobles mais aussi les plus répugnantes. Depuis la nuit des temps les philosophes : Socrate – Platon – Aristote – Descartes…… – Kant… et ceux jusqu’à ce jour essayent de la disséquer, de l’analyser, de l’étudier pour arriver à définir et à reformuler le sens profond, réel de l’adéquation entre les caractéristiques du monde objectif, subjectif, phénoménal et les facteurs d’appropriations de l’homme (05 Skandha ), les conceptualisations de l’esprit.
Ainsi donc la connaissance , une science de l’esprit 2* , la plus importante de toutes les sciences, par sa constitution, est vraiment la base fondamentale de toutes les autres matières et de tous les métiers du monde. En Orient on a observé les mêmes exemples, représentés par les plus connues, les trois Voies de Bouddha, de Lao – Tseu et de Confucius, lesquelles pour ainsi dire et pour le domaine de la connaissance infirment ce que disait R. Kipling : « L’Occident et l’Orient ne se rencontrent jamais »
Depuis plus de 2.560 ans, selon le Bouddha les qualités les plus importantes et strictement humaines : Amour – Altruisme – Charité – Sagesse – Compassion… ne peuvent que résulter de la connaissance de son corps, de son esprit et des lois de la nature régissant la marche du monde ; plus tard c’est aussi l’idée de Kant : au sujet de la connaissance l’esprit doit se connaître lui-même. De ce fait il serait très regrettable pour nous, dans la recherche de la connaissance , de ne pas pouvoir et de ne pas vouloir faire la distinction fondamentale entre l’adéquation recherchée, vraie relation de l’observé à l’observateur, et l’apparence , œuvres des sens et de l’esprit ordinaire ( conditionné ) qui, issues du « moi » labile, changeant, constituent l’origine des significations contradictoires et la cause des jugements conflictuels.
Ainsi selon l’approche du Bouddhisme, dans ce monde conditionné tout change et tout est relatif, c’est pourquoi en dépit de notre orgueil, de notre vanité nous devons reconnaître que nous possédons aussi de la connaissance trompeuse venant de la liberté subjective , de la connaissance inutile ( des gadgets ), de la connaissance des apparences, et que nous n’osons pas aborder le sujet de la connaissance classée « inconnaissable » par certains principes du type : matérialisme mécaniste – béhaviorisme.
La première connaissance nous permet de vivre notre vie animale au fur et à mesure que se développe notre intelligence, que s’accumulent nos besoins naturels, ensuite imaginés par nous-mêmes et enfin exigés par la collectivité, nous cherchons sans cesse la connaissance dans d’autres domaines de plus en plus larges, de plus en plus lointains, de plus en plus profonds et variés ; à chacun, suivant son niveau, en fonction de ses désirs, de ses convoitises la connaissance peut s’apprécier différemment entre : le sage et l’idiot – l’intellectuel et le politicien – le général et le soldat – l’ingénieur et l’ouvrier – le travailleur et le voleur.
Ce faisant grâce à la connaissance l’Homme se rapproche de l’Humanité mais malheureusement par la connaissance certains veulent acquérir le pouvoir de l’homme sur l’homme ; c’est ainsi que les plus nobles objectifs de la connaissance peuvent générer des méthodes très peu louables et parfois engendrer les plus méprisables moyens : la connaissance vraie et fausse dans les conflits armés – la connaissance détournée ou la propagande avec ses inévitables mensonges en politique – la connaissance achetée et volée en industrie – la connaissance endoctrinée des idéologies politiques – la connaissance dogmatique et contraignante de la foi religieuse…
Du plus humble des paysans aux savants les plus honorables en passant par des milliers de professions différentes, sans aucune exception tout le monde veut la connaissance qui permet au paysan d’assurer une bonne récolte, au commerçant d’augmenter son profit, à l’ingénieur de réaliser son projet puis d’améliorer sa carrière…… d’où la naissance de l’idée « le savoir c’est le pouvoir ».
Sans la connaissance nous ne sommes rien .
Conscient et inconscient du problème, l’Homme, depuis la nuit des temps, utilise toute son énergie mentale et physique à améliorer ses conditions de vie, à trouver le bonheur, la béatitude et à éviter la souffrance par la connaissance de soi-même, de l’environnement, des techniques et technologiques de plus en plus sophistiquées. Suivant la sémantique du langage la connaissance embrasse un ensemble très vaste d’éléments : les savoirs – les informations – les données de toute nature – les facteurs d’appropriation des cinq skandha – les mouvements physiques – les phénomènes cognitifs……… de tous les domaines de la vie courante et de la science
Pour le Bouddha la Connaissance est l’objectif le plus noble, le plus digne de l’espèce humaine, la profonde raison du développement des plus belles valeurs spécifiquement humaines et enfin la cause principale de notre délivrance de toute souffrance. D’après le Dharma l’homme seul ( même pas les dieux ) ait la possibilité d’être capable de s’en libérer et de devenir le Bouddha. Ernest Hello (1828-1885), écrivain et critique littéraire français, écrivait sur l’insupportable souffrance de la condition humaine :
« Qu’est-ce que l’homme en vérité ? Il naît dans le sang et pleure avant de voir. Il donne la douleur avant de naître et quelquefois la mort en naissant. Il gémit avant d’ouvrir les yeux…… » .
Elle se subdivise en différents domaines de la nature et de l’être humain et en différents niveaux ; l’acquisition de cette Connaissance passe par la connaissance des lois de la nature , par la connaissance de l’être, surtout par la connaissance de son esprit, par la connaissance de la méthode de sa maîtrise qui pourrait être réalisable par la connaissance de l’Enseignement du Bouddha.
Selon l’Idéal du Bouddhisme, quel que soit le prix de la souffrance à payer, le temps à endurer, la connaissance ainsi acquise servira à la partager et à l’inculquer aux autres pour leur bonheur sans attendre aucune forme de retour et de récompense .
Après avoir abandonné la richesse exceptionnelle de sa fortune, la grandeur de son nom, le pouvoir de son rang et après avoir beaucoup souffert , durant des années, pour la Connaissance , enfin une nuit la lumière de la Connaissance , en déchirant complètement les voiles de l’obscurité de ses yeux – sa vue mentale –, libère ainsi son esprit de tout attachement, de toute illusion, de toute impureté. Dans l’extase le Bouddha a obtenu, par lui-même sans intervention divine, la Connaissance de toutes les lois de la Nature qui régissent la marche du monde : ce fut ce qu’on appelle l’Éveil.
Réellement conscient de la puérilité mentale des interlocuteurs, du stoïque effort pour la compréhension de son enseignement en son intégralité, et malgré leur tendance absurde vers leurs inclinations pour les fables obscures et pour les superstitions oiseuses, le Bouddha consacre toute sa vie et jusqu’au dernier soupir à divulguer cette Connaissance, à l’enseigner aux autres sans aucune condition, sans aucune préférence et sans espoir d’aucune récompense : nobles et roturiers – femmes et hommes – sages et ignorants – riches et pauvres.
Qu’on doive souligner qu’en refusant d’entrer dans le Nirvana, domaine de la Non Souffrance, du Bonheur ineffable, il endurait tous les sacrifices d’une vie de mendiant dépourvue de tout, uniquement par Amour, et animé par des Sentiments nobles, pour pouvoir partager aux êtres sensibles le plus grand et le plus précieux de son unique patrimoine : la Connaissance .
A mon avis dans la traduction en français,

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