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Description
ATTENTION ÉVÉNEMENT : Découvrez en exclusivité numérique la toute nouvelle collection CHRONIQUE D'UN JOUR !
Plus qu’une éphéméride, retrouvez la Chronique d’un jour sur toute l’histoire de l’humanité.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur votre jour de naissance ou sur une date clef qui a marqué l’Histoire.
Des ouvrages précis et élaborés par les meilleurs auteurs des Éditions Chronique, réputées pour leur sérieux depuis plus de 30 ans.
Une collection à prix découverte unique pour apprendre sans se ruiner.
Sujets
Informations
Publié par | Éditions Chronique |
Date de parution | 06 janvier 2014 |
Nombre de lectures | 4 |
EAN13 | 9782366020588 |
Langue | Français |
Extrait
Plus qu’une éphéméride, retrouvez la Chronique d’un jour sur toute l’histoire de l’humanité.
© Éditions Chronique, Paris 2013, pour la présente édition.
L'œuvre présente sur le fichier que vous venez d'acquérir est protégée par le droit d'auteur.
Toute copie ou utilisation autre que personnelle constituera une contrefaçon et sera susceptible d'entraîner des poursuites civiles et pénales.
Il était 5 h 32 hier matin (heure locale) lorsque les premiers Tomahawk sont tombés sur Bagdad. Lancés à partir de bâtiments croisant dans le Golfe ou en mer Rouge, ou depuis des bombardiers furtifs F-117 Nighthawk, ces missiles de croisière ont inauguré l’offensive des forces américaines et britanniques commandées par le général américain Tommy Franks, qui avait déjà dirigé les opérations en Afghanistan.
Un peu moins d’une heure après, le président Bush s’adressait à ses compatriotes et justifiait l’ouverture des hostilités par la nécessité de « désarmer l’Irak », de « libérer son peuple » et de « défendre le monde contre un grave danger ». Il n’a toutefois pas caché que l’opération, baptisée Liberté de l’Irak, pourrait être « plus longue et difficile » que certains le croient.
Toute la question est là, en effet. Outre des conditions climatiques peu favorables aux coalisés (hausse de la température, tempêtes de sable), la plus grande incertitude règne à ce jour quant aux capacités de résistance des Irakiens. Si l’armée régulière ne s’est jamais vraiment relevée de sa défaite de 1991, lors de la première guerre du Golfe, la garde républicaine et surtout la garde républicaine spéciale dévouée au raïs et à son fils Qoussaï pourraient se révéler redoutables dans l’hypothèse où les Irakiens refuseraient le combat en rase campagne et se retrancheraient dans les grandes villes : une stratégie de guérilla que viendraient appuyer les milices armées du parti Baas. D’autre part, on ignore...