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Description
ATTENTION ÉVÉNEMENT : Découvrez en exclusivité numérique la toute nouvelle collection CHRONIQUE D'UN JOUR !
Plus qu’une éphéméride, retrouvez la Chronique d’un jour sur toute l’histoire de l’humanité.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur votre jour de naissance ou sur une date clef qui a marqué l’Histoire.
Des ouvrages précis et élaborés par les meilleurs auteurs des Éditions Chronique, réputées pour leur sérieux depuis plus de 30 ans.
Une collection à prix découverte unique pour apprendre sans se ruiner.
Sujets
Informations
Publié par | Éditions Chronique |
Date de parution | 06 janvier 2014 |
Nombre de lectures | 5 |
EAN13 | 9782366024838 |
Langue | Français |
Extrait
Plus qu’une éphéméride, retrouvez la Chronique d’un jour sur toute l’histoire de l’humanité.
© Éditions Chronique, Paris 2013, pour la présente édition.
L'œuvre présente sur le fichier que vous venez d'acquérir est protégée par le droit d'auteur.
Toute copie ou utilisation autre que personnelle constituera une contrefaçon et sera susceptible d'entraîner des poursuites civiles et pénales.
Le Bureau enquêtes-accidents vient de révéler qu'une pièce métallique épaisse de 4 mm a été trouvée sur la piste. Elle aurait pu détruire le pneu avant droit. Une servovalve et des morceaux de pneu ont été aussi récupérés sur la piste. Ces blocs de nylon, dont certains pèsent 4 kg, ont déchiré les parois des réservoirs 5 et 6, situés à côté du logement du train. Des lambeaux de pneu ont aussi été avalés par les réacteurs, provoquant l'arrêt du moteur 2. Le carburant et le liquide hydraulique, jaillissant à haute pression, ont été enflammés par un court-circuit.
Le drame s'était produit le 25 juillet. Ce jour-là, il est 16 h 42 quand Christian Marty lâche les freins du F-BTSC, aligné sur la piste 26 droite de Roissy. Il assure le vol AF4590 à destination de New York. À pleine puissance et postcombustion allumée, les quatre réacteurs Olympus développent une poussée de 69 tonnes qui fait bondir le Concorde, lourd de 185,1 tonnes dont 95 de carburant. Tandis que Gilles Jardinaud garde les mains sur les manettes des moteurs, le copilote Jean Marcot surveille l'accélération. Il annonce V1 à 150 nœuds. À 197 nœuds, alors que le nez de Concorde pointe vers le ciel, la tour signale une flamme à l'arrière de l'appareil. En même temps, l'équipage note une panne du moteur 2 et une baisse de régime du moteur 1. Le train refuse de rentrer. Blessé à mort, incapable de prendre de la vitesse,...