Odor di Femina (érotique)
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Odor di Femina (érotique) , livre ebook

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Description

Odor di Femina

Édouard Demarchin


Écrit en 1900. Extrait : Colette n’osait faire un mouvement, et restait là dans une indécence qui me comblait d’aise. Enfin, sur mon conseil, elle recula le long de la branche en s’aidant de ses mains, et m’offrant les plus aimables horizons, elle se laissa aller à terre, où je la reçus dans mes bras. La belle était toute interdite, et moi tout allumé par les excitantes nudités dont elle venait de régaler mes yeux.


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Informations

Publié par
Nombre de lectures 30
EAN13 9782363073846
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0015€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Odor di Femina
Édouard Demarchin
1900
Colette, l’aimable fermière Écœuré par les senteurs affadissantes qu’exhalent les femmes musquées et fardées de tous les mondes, véritables poupées de cire, qui se livrent à vos caresses, sans la moindre ombre de pudeur, je fus pris de la fantaisie d’essayer du piquant des amours naturalistes. Je quittai Paris, les derniers jours de mai, et vins m’installer pour six mois dans mes terres, en un coin du Midi où les femmes ne sont pas en carton-pâte, mais en belle chair fraîche, saine et colorée. Elles ont un libre langage, et sont en général faciles, sans être pour cela dévergondées. Elles entendent, froidement, les plaisanteries les plus raides, les mots les plus crus, répondant sur le même ton, sans cependant consentir trop vite à la bagatelle ; mais peu d’entre elles, filles ou femmes, résistent à l’appât d’un louis d’or, qui leur permet d’ajouter des colifichets à leur parure. Je me suis donc vautré, honni soit qui mal y pense, dans la nature jusqu’au cou ; fermières, faneuses, moissonneuses, vendangeuses, femmes et filles m’ont fourni des terrains d’expérience, et fait apprécier les chaudes senteurs de leur sexe, la véritableodor di femina. Si la première impression est un peu défavorable, on s’y fait vite, car on trouve dans ces bras robustes des étreintes vigoureuses, sur ces corps plantureux à la chair ferme un coussin élastique, tandis qu’on est voluptueusement logé dans les charnières satinées de lèvres fraîches et vermeilles. Les belles y vont de cœur à croupe que veux-tu, vous faisant sauter sur leur ventre, prenant une large part à votre plaisir, surtout quand ce sont des femmes mariées, qui n’ayant pas à redouter les suites, font le meilleur accueil à votre offrande. Avec les filles, je suis plus prudent, excepté quand je voyage dans la voie opposée, où l’on peut s’épancher sans danger. Je ne trouve guère de récalcitrantes dans ces belles encroupées, qui me prêtent volontiers leur superbe reposoir. Je dis belles encroupées, car elles en ont toutes une fameuse paire et des plus rebondies, qu’elles tirent de l’habitude des travaux qui les inclinent vers la terre. La première dont j’obtins les faveurs, un peu par force, ce fut Colette, la femme d’un de mes fermiers. Elle ignorait mon arrivée ; je la surpris juchée sur une branche de cerisier, cueillant des cerises dans son tablier. Je l’avais aperçue d’assez loin, et comme elle me tournait le dos, je m’approchai à pas de loup jusqu’à son arbre. Ce n’est pas la coutume, chez les femmes de la campagne, de porter des pantalons, aussi en levant le nez, j’eus sous les yeux des perspectives fort alléchantes, dans l’ombre des jupes, mais j’en voyais assez de la chair nue des jambes et des cuisses pour me rendre compte que la jeune femme était bien faite. À ce moment elle fit un mouvement et me vit le nez en l’air. Sa surprise faillit lui être fatale : elle glissa, je tendis les bras pour l’attraper au vol, mais après avoir lâché son tablier, laissant les cerises dégringoler, elle resta à califourchon sur la grosse branche, les jupes retroussées très haut, découvrant jusqu’aux fesses. Colette n’osait faire un mouvement, et restait là dans une indécence qui me comblait d’aise. Enfin, sur mon conseil, elle recula le long de la branche en s’aidant de ses mains, et m’offrant les plus aimables horizons, elle se laissa aller à terre, où je la reçus dans mes bras. La belle était toute interdite, et moi tout allumé par les excitantes nudités dont elle venait de régaler mes yeux. Je me demandais comment j’allais lui faire payer son larcin. Au lieu de m’amuser à la gronder, je la serrai contre moi, pressant sous mes mains une belle gorge sans corset, dont je sentais palpiter les gros seins à travers la légère toile, comme s’ils étaient nus, et l’embrassai fortement sur ses grosses lèvres rouges, la complimentant des charmes ravissants qu’elle venait de m’étaler si indécemment. Une rougeur pudique envahit ses joues. Je m’avisai de passer ma main sous ses jupes : elle ne fit pas la moindre résistance, mais serra énergiquement les cuisses, pour m’empêcher de gagner les hauteurs.
Devant cet obstacle, je m’avisai d’un stratagème qui réussit généralement ; je tournai par derrière, coulant ma main sous les fesses par la large sente qui offre un facile passage, et malgré l’énergique défense des cuisses, j’arrivai facilement au but. Comme si elle n’attendait que ça pour se déclarer vaincue, Colette écarta ses jambes, et je pus enfin la caresser tout à mon aise. Son con brûlant consentait lui aussi, car il s’ouvrait sous mes doigts comme pour les engager à entrer. Ses genoux ployaient, elle s’affaissait peu à peu, si bien qu’elle s’assit enfin, et s’étendit sur le gazon. Je portai mes doigts à mon nez, ils fleuraient assez la crevette, mais l’odeur en était très supportable, et la pensée de m’en tenir là, n’eut pas la durée d’un éclair. Je me dis que ce que j’allais mettre en ce conin odorant, aurait joliment tort de faire le dégoûté ; peut-être aurais-je hésité à y fourrer la langue, mais sire Jacques en avait vu bien d’autres, et n’avait pas toujours occupé des logis aussi avenants. Vive la nature, d’ailleurs ! Elle était trop engageante, l’offre que me faisait cette ouverture béante, pour que j’y restasse insensible, et je vins m’étendre sur le corps qui attendait le mien, bien que cette posture ne fut pas sans danger pour Colette. J’entrai dans une véritable fournaise, mais non sans difficulté, malgré la bonne volonté qu’y mettait la jeune femme, car j’ai un braquemart assez coquet. Je ne sais de qui Colette avait pris des leçons, mais elle jouait du croupion comme la plus habile praticienne que j’aie tenue sous moi. Elle me secouait sur son corps, et y allait de si bon cœur, qu’elle s’épancha deux fois, en me tirant des larmes. Je lui glissai une pièce d’or dans la main, qu’elle eut l’air de refuser, mais engloutit fort bien dans la poche de son tablier. Comme à ce moment elle était à genoux, penchée en avant, pour ramasser ses cerises, cette posture engageante m’invita à la prendre en levrette. Je vins par derrière et troussai ses jupes sur ses reins, découvrant le beau reposoir arrondi. Elle comprit ce que je lui voulais, connaissant sans doute la posture, car elle posa ses mains à terre, s’accrochant à l’herbe, pour recevoir le choc sans broncher. Elle avait une superbe paire de fesses ; je poussai sous cette belle arche de chair jusqu’au con encore humide de la récente escarmouche, et pénétrai plus facilement que la première fois, entre ses parois lubrifiées. Elle me devança, malgré le plaisir indicible que j’éprouvais à heurter ces belles fesses. Je l’inondai jusqu’au cœur. Nous nous en allâmes chacun de notre côté. Cet opulent fessier si ferme, si élastique, me hantait la cervelle depuis que je l’avais pressé sous mon ventre, pendant la fouille en levrette. Chaque fois que je rencontrais Colette seule chez elle, je profitais de l’occasion pour découvrir son cul charmant et le caresser, et je la baisais ainsi pour sentir ses grosses fesses blanches contre ma peau ; mais je n’avais pas eu encore le loisir de me loger dans l’arrière-train, opération délicate, à laquelle je la préparai de longue main. Et enfin un beau jour que nous avions tout notre temps, elle consentit à m’y recevoir. Elle se lavait maintenant, à grande eau ; je le lui avais demandé pour une surprise que je lui ménageais, et dont je ne me serais pas avisé à l’époque où elle ignorait les soins d’hygiène. Ce jour-là, je commençai par la surprise dont je lui avais parlé. Jamais femme étonnée comme celle-ci, quand elle me vit inaugurer le divertissement inconnu. Elle m’écartait de ses mains, reculait son derrière, comme honteuse de me voir agenouillé devant ce qui s’ouvre pour pisser, mais j’insistai si bien, que, trouvant la chose exquise, elle se laissa faire. M’avançant son con satiné, elle le frotta fortement sur mes lèvres qui la gamahuchaient, et pressant ma nuque de ses deux mains, trois fois de suite elle goûta une volupté ineffable. Je l’installai ensuite sur le bord du lit et par-dessous ses jupes retroussées, j’attaquai la place forte, après avoir contemplé et caressé le beau derrière bien propre et bien blanc. Elle ne fut pas moins surprise des caresses inédites que prodiguaient à ce coin délaissé du mari, mes lèvres et ma langue pour la préparer à y recevoir ma queue. Sur mon conseil, elle m’aida à percer l’huis, malgré la souffrance que lui causait l’élargissement de l’entrée par la grosse
machine qui s’enfourna péniblement dans les parois dilatées, jusqu’aux profondeurs de l’anus. De mes doigts glissés sous sa toison noire, je la fis jouir en même temps que je lui en mettais plein dans ses entrailles. Je lui montrai aussi à emboucher la trompette. Elle s’y révéla très vite experte, avalant toute la décharge jusqu’à la dernière goutte, sans éprouver le moindre haut-le-cœur. Cette obstination à téter mon sucre d’orge, n’était pas pour me déplaire. C’était en échange de la rosée que je lampais dans sa fontaine d’amour, me dit-elle en s’essuyant les lèvres.
Madelon me pose un lapin
Comme je ne pouvais avoir tous les jours ma jolie fermière sous la main, je reluquais les jolies faneuses occupées alors aux foins.
C’étaient toutes des jeunes filles et des jeunes femmes. Le bataillon en était fort gai. Il y avait surtout, dans le nombre, une belle brune piquante, très délurée, d’un entrain du diable, par ce soleil de plomb qui cuisait les faneuses, malgré le large chapeau de grosse paille abritant leur figure.
Elle poussait ses compagnes, les culbutant sur le foin épandu, où elles roulaient tête sur cul, montrant d’adorables coins de chairs nues. Quand l’une tombait malencontreusement, les jupes renversées, comme on ne porte pas de pantalon aux champs, elle montrait tout : les jambes, les cuisses, les fesses, que leurs compagnes s’amusaient à venir pincer au vif, à la grande hilarité des hommes qui fauchaient plus loin, et qui se haussaient pour mieux voir ; tout cela en ma présence, car j’encourageais du regard ces jeux qui ne manquaient pas de piquant avec l’imprévu des découvertes. Les culbutées se relevaient, rouges de confusion, lançant des regards furibonds à la vigoureuse fille qui se tenait sur ses gardes pour éviter la réciproque.
Une après-midi, je leur fis signe de se mettre à plusieurs, pour rendre fèves pour pois à la robuste Madelon. Tout à coup, pendant qu’elle surveillait du coin de l’œil ses voisines, quatre faneuses, par derrière, se précipitent sur elle, et dans une poussée véhémente, l’envoient rouler à mes pieds, les jupes sens dessus dessous, montrant son gros derrière, brun comme sa figure. Les faneuses tombèrent en arrêt sur l’objet en montre ; les unes maintenaient la fille renversée, les autres se vengeaient sur ses grosses fesses et ses cuisses, qu’elles claquaient et pinçaient au sang, en chantant :
Tiens donc bon, belle Madeleine,
Tiens donc bon, belle Madelon.
Une autre même, plus enragée que ses compagnes, s’attaquant à la perruque, lui en arracha quelques poils.
Aussitôt debout, la Madelon, voyant une grosse fille rousse qui enroulait ces poils autour de son doigt, bondit sur elle, l’empoigna à bras le corps* la renversa sur son bras gauche, lui passa brutalement la main sous les jupes qui remontèrent jusqu’à mi-cuisses, et tandis que la fille se débattait, elle lui secoua vivement la toison, en arrachant une touffe de poils roux, qu’elle brandit en s’écriant :
— Je les voulais pour remplacer ceux qu’elle m’a volés, mais ça n’irait pas avec mes poils noirs, cette queue de vache qu’elle a sur le ventre.
Toute la galerie de rire, et moi aussi, après quoi j’intervins pour ramener le calme.
Je me demandai cependant comment je pourrais tenir dans un coin cette belle faneuse si délurée, qui certainement avait vu le loup. C’était une fille d’un village voisin, en service chez un de mes fermiers, pour se faire une petite dot.
Elle était la promise d’un valet de ferme, qui venait la faire danser le dimanche. Ils attendaient d’avoir amassé chacun de leur côté le petit pécule nécessaire pour s’établir. En attendant ils prenaient des acomptes sur l’avenir, disait-on. C’était assez commun dans le pays.
La vue des belles fesses de Madelon m’avait donné envie d’elle, et quand, à la tombée de la nuit, les ouvrières rentrèrent de leur travail, je 3’abordai, lui parlant de son futur mariage. Comme elle réglait son pas sur le mien, et que ses compagnes avaient pris de l’avance, j’en profitai pour lui déclarer, à brûle-pourpoint, mes intentions.
— Sais-tu, belle Madelon, que tu as là une fière beauté, lui dis-je, en palpant son gros cul par-dessus le jupon.
— Parguienne, comme toutes les filles, répondit-elle, sans s’émouvoir du compliment non plus que du contact.
— Et cependant, ma fille, je paierais cher pour la revoir sans témoins, cette merveille, et la caresser, comme l’on fait tantôt...
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