Un Legardinier pas piqué des vers, qui fait du bien au mental par ces temps de désespéritude (le mot est de moi, pas de Ségolène, pour une fois). L’histoire, assez abracadabrante, ne se raconte pas, seuls les mots de l’auteur parvenant à la rendre crédible. Il y a de l’amour, il y a de l’action, un peu de tristesse aussi parfois, mais pas trop. La peur de vieillir, connais pas, dixit Legardinier. La peur de ne pas être aimé, d’ġtre ŵġŵe rejetĠ, est au cœur du roŵaŶ, par coŶtre, et l’auteur met en plein dans le mille. Rassurez-vous, tout finit par s’arranger. Je voterais bien pour lui à la prochaine présidentielle, s’il était candidat. Chiche…