ARGU FLASH ÉCOLE LES SOCIALISTES RECALÉS Face à la crise scolaire, les socialistes préfèrent le nivellement par le bas à la promotion au mérite, une position idéologique au détriment d’une vision d’avenir ! Le bilan de François Hollande sur l’éducation est accablant et les dégâts malheureusement considérables. RYTHMES SCOLAIRES : UNE RÉFORME MANQUÉE Imposée aux collectîvîtés, aux amîlles, et aux enseîgnants,cette réorme ne répond pas au besoîn d’agencement des journées pour es écoîers. Seon une enquête pubîée récemment, 74 % des enseîgnants estîment que ’organîsatîon des rythmes scoaîres a un împact négatî sur es éèves. Seus 4 % des enseîgnants înterrogés airment que cette réorme a un împact posîtî. EN CHIFFRES l Nombre d’élèves pour la rentrée 2014 : 12 296 400 l Nombre de professeurs pour la rentrée 2014 : 839 700enseignants l Budget 2015 de l’Éducation nationale : 65,02milliards d’euros De nombreuses communes ont ace à des dîicultés financîères et pratîques pour mettre en place une réorme mal préparée, însuisamment concertée et sources d’înégalîtés dans l’organîsatîon du temps pérîscolaîre. LES VIEILLES RECETTES SOCIALISTES : TOUJOURS PLUS D’EMBAUCHES ! En 2013, a Cour des comptes précîsaît que ede l’Éducation nationale ne soufre pas « ministère d’un manque de moyens budgétaires ou d’un nombre trop Faible d’enseignants, mais d’une utilisation déFaillante des moyens existants ».
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Français
Extrait
ARGU FLASH
ÉCOLE LES SOCIALISTES RECALÉS
Face à la crise scolaire, les socialistes préfèrent le nivellement par le bas à la promotion au mérite, une position idéologique au détriment d’une vision d’avenir ! Le bilan de François Hollande sur l’éducation est accablantet les dégâts malheureusement considérables.
RYTHMES SCOLAIRES : UNE RÉFORME MANQUÉE Imposée aux collectîvîtés, aux amîlles, et aux enseîgnants,cette réorme ne répond pas au besoîn d’agencement des journées pour es écoîers.
Seon une enquête pubîée récemment, 74 % des enseîgnants estîmentque ’organîsatîon des rythmes scoaîres a un împact négatî sur es éèves. Seus 4 % des enseîgnants înterrogés airment que cette réorme a un împact posîtî.
EN CHIFFRES lNombre d’élèves pour la rentrée 2014 : 12 296 400 lNombre de professeurs pour la rentrée 2014 : 839 700enseignants lBudget 2015 de l’Éducation nationale : 65,02milliards d’euros
De nombreuses communes ont ace à des dîicultés financîères et pratîques pour mettre en place une réorme mal préparée, însuisamment concertée et sources d’înégalîtés dans l’organîsatîon du temps pérîscolaîre.
LES VIEILLES RECETTES SOCIALISTES : TOUJOURS PLUS D’EMBAUCHES ! En 2013, a Cour des comptes précîsaît que ede l’Éducation nationale ne soufre pas « ministère d’un manque de moyens budgétaires ou d’un nombre trop Faible d’enseignants, mais d’une utilisation déFaillantedes moyens existants ».Cea n’a en rîen empêché Françoîs Hoande de promettre acréatîon de 60000 postes dans l’Éducatîon natîonale.
Cettepolîtîque de recrutement efrénée est source de réelles înquîétudes sur le nîveau de sélectîonet seaîtaudétrîmentdesproesseurseux-mêmes,touchésparasuppressîondesheuressupplémentaîres.Legouvernementaaîtechoîxassuméd’uneormedepaupérîsatîonseonaormue«plusdeproesseurs,moîns payés »,aors que ’améîoratîon des condîtîons matérîees et moraes d’exercîce du métîer est nécessaîre.
LES PROGRAMMES ET LE COLLÈGE PRIS POUR CIBLE En prîvîégîant a mîse en pace de nouveaux enseîgnements înterdîscîpînaîres,le gouvernement se trompe de prîorîté.I aut, au contraîre, mettre ’accent sur ’apprentîssage dessavoîrs ondamentaux dès e prîmaîre putôt que dîsperser e travaî des jeunes dans une îusoîreécole ludîque où l’efort est bannîet dont a seue vocatîon – nous dît a mînîstre – est que ’enant ne s’y ennuîe pas.
L’aégement des programmes d’hîstoîre aura pour conséquence une moîns bonne maïtrîse par es éèves del’hîstoîrede France, de notre culture commune et de nos valeurs,ééments essentîes pour notre cohésîon natîonae.
Lesnouveaux programmesormués dans un jargon paroîs rîdîcue, comme e nouveau soce de compétence quî ne comporte pusaucune réérence à la natîon ou à l’autorîté,traduîsent e choîx du nîveement par e bas. En hîstoîre, certaîns thèmes, à ’îmage de ceux sur« les Lumières » ou« Les empires byzantin et carolingien entre Orient et Occident »seront aîssés à a dîscrétîon des enseîgnants. Ces choîx dévalorîsent l’hîstoîre de notre pays.
Le rempacement des optîons de grec et de atîn aînsî que a suppressîon des casses bîangues et des sectîons européennes sont es marqueurs d’unégalîtarîsme orcené.Maîs en détruîsant es fiîères d’exceence, ce sont, en réaîté, es pus aîbes qu’îs pénaîsent désormaîs, prîvés de pouvoîr réussîr par eurs taents et eur mérîte.Du 49.3 à la publîcatîon d’un décret dans la nuît, au lendemaîn d’une orte mobîlîsatîon des enseîgnants, le gouvernement de Manuel Valls a choîsî, au Parlement comme à l’école, le passage en orce.
I n’est pas étonnant que a réorme du coège suscîteune orte opposîtîon de la part des enseîgnants eux-mêmes.Is sont aînsî76 %à consîdérer que a réorme vanîveler par le bas le nîveau global des collégîens(Iop, 9 juîn 2015).
L’IDÉOLOGIE ÉGALITARISTE SANS LIMITE DES SOCIALISTES Les mesures prîses en aveur de a promotîon du mérîte répubîcaîn sous a présîdence de Nîcoas Sarkozy ont été supprîmées par a gauche ou vîdées de eur contenu.
Tout a été aît pour décourager le travaîl et le mérîte : attaques brutales contre les classes prépa-ratoîres, suppressîon des « înternats d’excellence », suppressîon des évaluatîons natîonales en CE1 et CM2, débat îdéologîque sur la fin des notes à l’école, attîtude îndîgne vîs-à-vîs des bourses au mérîte. Dans un premîer temps supprîmées,e gouvernement socîaîste – ace à ’enchaïnement des pétîtîons – a finaement décîdé de rétabîr es bourses au mérîte en esdîvîsant par deux! Ce ne sont pus 1800 euros annues que es éèves mérîtants recevront, maîs seuement 900.
Comme elle a finî par se résoudre au chômage de masse, la gauche au pouvoîr s’est égalementrésîgnée à l’échec scolaîre massî.Notre système scoaîre, abandonné par troîs mînîstres successîs dont un (Benoït Hamon) n’aura même pas aît une rentrée, est à bout de soule aors que es génératîons ont été sacrîfiées es unes après es autres dans une îndîférence et un sîence coupabes.
Il est urgent de renouveler la promesse républîcaîne que constîtue l’école pour chaque amîlle, pour chaque enant, et pour notre socîété tout entîère.