TOUTES LES LANGUES ON EU LES MÊMES RACINES COMMUNES
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Le fulfulde peut être une langue d' Action et d'Application,parce que toutes les thèses et synthèses des théories philosophiques se trouvent en Fulfulde.

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Publié le 20 janvier 2018
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Langue Fulah

Extrait

«Mes chers frères et sœurs Peuls»
Le fulfulde peut devenir une langue d’Action et d’Application, parce que toutes les thèses et synthèses philosophiques se trouvent en Fulfulde.
Si nous voyons que la communication se faîte que par des signes, des graphiques, des symboles et en phonétiques,
C’est par ce que tout simplement toutes les langues ont eu une racine commune.
L’homme n’est rien sans la communication, car avant tout d’abord c’est le message qu’on doit comprendre.
Les échanges de communications sont vice-versa entre l’envoyeur et receveur ou l’expéditeur et destinataire.
Il n’y a pas de diérents signes en langues.
Toutes les langues jouissent de la même façon d’expliquer les messages.
Par ailleurs, toute langue comme les autres ont Des Philosophies, Des Citations, Des Proverbes, Des Contes et leurs Légendes, qui en tout ne reviennent qu’à la communication ou raisonnement, en vue de déterminer le monde, la nature ou la vie.
La diérence entre des personnes c’est ‘’le comportement’’.
Chaque peuple est une société composée également de sa culture.
Chez les Anciens Philosophes, comme Kant et les autres ont déïni certes la culture et de l’art.
C’est vrai aussi tous reconnaissent que chaque pays, chaque ethnie et religion a sa culture.
En eet, nous sommes très conscients que la culture peu y incarner ‘’le comportement’’.
Mais n’empêche pas encore qu’il y’ a la culture sans ‘’le comportement’’.
N’oublions pas que la peau est une couleur qui peut déïnir à la fois les races, disons donc les noires, les blanches, les jaunes, les rouges etc.
Et quoi qu’ils en soient ces peaux ou races ont leurs caractères physiques ou formes, qui ont spéciïquement besoin des traitements et des soins.
A noter ici : les soins et traitements ne sont souvent plus connus que dans l’expression scientiïque.
Cependant qu’on peut véhiculer les soins et traitements pour rectiïer, sinon corriger le langage, le comportement, la manière de
démarche, de voir envers son entourage (tout c’est le comportement).
Le comportement est un mode, une manière, une habitude ou une façon de vivre,
C’est pourquoi dans ces raisonnements, nous pouvons dire que le comportement ne peut pas être partagé, et par contre pour la culture on la partage.
La culture peut appartenir à la communauté, à la société, à un peuple ou aux mêmes ethnies.
Par conséquent, les fréquentations, les relations, les globalisations ou mondialisations, autrement comme les jumelages nous traduisent ensuite les métissages, les mixages et échanges culturels entre les populations.
En un mot, il n’existe pas une supériorité entre les langues.
Mais seulement une langue doit être émergée par ses ïls ou ïlles.
Dans ce cas l’homme est sensé de faire des recherches, aïn de la valoriser.
D’autres parlent de la culture et de l’art sans introduire le comportement.
Mais les deux, plus le comportement s’interrogent, pourquoi, par ce que ‘’l’art’’ est propriété de l’homme, de société ou des peuples.
Dès qu’on dit ‘’l’art’’ on pense à la fois aux couleurs, aux gouts, aux envies de la beauté.
Pour cela, toujours le comportement n’est pas loin de ces termes.
La plupart des philosophes justiïent la culture en deux déïnitions : premièrement dans le sens philosophique et son sens sociologique ou éthologique.
Et tous les deux sens sont aussi valables dans toutes les langues.
Il y’ a de la culture de l’homme cultivé, celui dont on dit qu’il a de la culture. On entend par là qu’il a reçu une éducation grâce à laquelle il a cultivé son esprit, acquis des connaissances et développée des aptitudes de qualité.
Cette culture consiste aussi bien dans l’instruction que l’on reçoit, c’est-à-dire les connaissances apprises à l’école, les sciences, les lettres, les arts que la formation du jugement, du gout, des sentiments, de la sensibilité et du caractère.
Toutefois, cette éducation qui fait un homme dont on dit qu’il est cultivé, n’élève pas à elle seule et par elle-même jusqu’à l’honnêteté et probité.
Elle n’est pas forcément une bonne éducation, et un homme cultivé peut être un scélérat.
Il y’ a la culture au sens sociologique ; c’est celle de l’homme qui appartient à la culture, celle de l’homme qui est intégré dans une culture.
En ce sens, la culture est un mot qui désigne alors l’ensemble des savoirs, des croyances, des institutions, des pratiques et des valeurs qui règnent dans une société.
C’est-à-dire aussi dans un milieu social que dans tout un peuple.
C’est le mode de vie et de pensée qui caractérisent une société.
Tous les hommes ne sont pas cultivés, mais tous les hommes vivent dans une société qui a de la culture.
Dans tous les cas, ces raisons ont été bien connues et praticables en Fulfulde.
Ndeke leydi kala, leñol fof, ‘’Jookdu’’ fu ne mbaawi hawrude e Pinal gootal,
so neɗɗo wonii kumpitiiɗo ngoon walla ɗiin renndooji, wiyee ko o pinɗo, nde tawnoo omo runngii (humpito) fakko maɓɓe.
Pinal ko humpito, ko hakkillantaagal, ko feerto ɗowrungo Ganndal haa weeɓora faamnude renndoyankaagal.
Yimɓe noon mbaawi hoɗdude, jiidude e tawee potaani humpito walla Pinal ngoka mumen.
Dans ces explications, surtout de la culture, le Fulfulde détermine mieux que plusieurs langues, et tant donné que le Fulfulde a reconnu également que la culture peut être un don naturel qui reste en tête après avoir enlevé toutes les connaissances apprises.
Pinal ko huunde kadi heddotoonde e nder hoyre e tuma nde jangde walla ganndal yalti e mayre.
Nous allons vous citer les phrases ou citations qui sont valables partout et ailleurs, pour vous prouver que toutes les langues ont les mêmes contextes
Et même si on reconnait que les réalités ne sont pas pareilles, sachez que la diérence ne serait que dans le comportement.
Chacun a son comportement, et il est possible qu’on partage les mêmes peuples, les mêmes villages, mêmes familles et culture, mais le
comportement de chacun de nous est diérent de l’autre.
Sachez qu’il en existe plusieurs sociétés à cet égard, raison pour laquelle le monde a beaucoup de cultures diérentes entre ces sociétés.
Si on prend des exemples similaires en ressources humaines, il est évident que les peuples s’ajustent en raison de leurs besoins,
Par-là y’en aura une communication et des échanges, néanmoins ou au fur et à mesure se font le métissage, le jumelage de certains peuples en cultures.
Pour mieux comprendre, nous vous conseillons de lire les phrases suivantes en Français et Fulfulde.
La culture, l’art et le comportement :
Le sens est bien présent quand on suit les exemples de philosophe Kant, dans sa critique de la raison.
Mais l’usage a donné au mot de la culture surtout comme une autre signiïcation, qui est sans rapport à l’étymologie (origine) lorsque l’esthétique désigne la science du beau ou la philosophie de ‘’l’art’’.
Dans le langage courant l’adjectif ‘’esthétique’’ se rapproche de beau (gout de couleur), esthétique est une notion désignant des caractéristiques qui déterminent l’apparence d’une chose, des objets ou autres aspects qui est en relation avec les peuples ou sociétés.
Toujours Kant pour lui, chaque personne reconnait que le sentiment n’a de valeur que pour sa propre personne, et il n’est pas permis de contester le plaisir de l’autre : alors ici, plusieurs comparaisons ou des juxtapositions en exemples de Fulfulde :1 Muuseeki ko fotde tooseeki no ki waawi fotirde fof hay gooto goɗɗo anndataa, so wonaani oon toosiraaɗo.
2 Ko weli e ko yooɗi alaa e ndaaran’ am.
Il faut bien décortiquer ces deux citations de Fulfulde qui ont tout résumé l’explication de philosophe Kant.
Chez Kant dans ces explications, en sentiments ici on dirait qu’il parle tout couramment de plaisir, il s’arrête presque de dire que le gout et des couleurs ne se disputent pas. Et quant à Fulfulde, nous avons vu que le plaisir et le mal senti sont inclus.
De toutes façons le contexte de Pulaar est en rapport quel que soit les idées de Kant.
Maintenant ‘’Ñeeñal walla Ŋeeñal, tous les deux corrects.
On parle aussi de ‘’l’art’’ : c’est une activité humaine, le produit de cette activité ou l’idée que l’on s’en fait s’adressant délibérément aux sens, aux émotions, aux intuitions et à l’intellect, on peut dire que ‘’l’art’’ est le propre de l’humain, et que cette activité n’ a pas de fonction pratique déïnie.
On considère le terme ‘’art’’ par opposition à la nature conçue, et la science conçue comme pure connaissance indépendante des applications.
Il semble toutefois que l’objet de l’art soit d’atteindre le beau (résultat).
En Pulaar disons : tafngo, saño, anndal walla ganndal ŋeeñɗungal ou Ñeeñɗungal.
Eectivement, selon un autre philosophe comme Marcel Mauss, les déïnitions de ce concept ou l’art varient largement selon les époques et les lieux, et nul entre les deux n’est universellement accepté.
Car l’objet de l’art est connu comme tel groupe.
C’est pourquoi les collections de productions artistiques peuvent être classées et appréciées diversement selon les cultures, les autres institutions et époques, là encore en Pulaar ou
Fulfulde : Ñeeñal comme Ŋeeñal fawii ko e nokku walla nokkuure, koɗki e Aada ɓeen nannduɓe neesu.
Ko sehetee, ɗatatee, sañetee, mahetee, fof heewi yahdude ko e nguurndam wonnduɓe, rennduɓe ko ïnaa-tawaa, ïjo e fakko.
Dans ce cas, cette réalité se consiste bien avec notre réalité (Pulaagu.
En référence avec nos Maabuɓe, Lawɓe, Wayluɓe, Sakkeeɓe hay wammbaaɓe, tous consevent les valeurs de ‘’Art’’, parce que nous sommes en sociétés, de même identité Pulagu.
Le métier d’art chez nous et ailleurs reste le secret professionnel entre le groupe pratiquant de ce métier.
Chers lecteurs, comme nous disons les liaisons des langues est une réalité absolue, voir les termes ou phrases ci-dessous : 1 So eɗen njiyloo muñal ko e nder hakkile e ɓernde tawoytee.
2 So eɗen ndaarta moƴƴere ko e nder ɓernde tan yiytoytee.
Ces deux phrases : 1 veut dire que c’est dans l’esprit qu’on peut avoir la patience, et en pouvoir supporter ‘’tout’’.
2 : la gentillesse se trouve que dans le cœur seulement.
3 Chacun a besoin de sa liberté, aïn de ne pas être privé…
En fulfulde: gooto fof ne yiɗi wellitaade e waasde hiiɗeede…
4 Le monde et la nature sont créés pour servir les êtres dans leurs existences.
En fulfulde : Aduna e taariindi tagiraa ko sabu woodnude nguurndameeje.
5 Union fait la force : ko dental woni doole.
6 Ce n’est pas la force qui donne l’argent, mais c’est le destin : wonaani doole ndokkata kaalis, soko ko hoddiro.
7 Le mouton broute là où il est attaché : Mbaalu ñaamata ko ɗo humii.
8 Le silence n’est pas un oubli : deƴƴere wonaani jejjitde.
9 Que mes rêves deviennent réalités : yo koyɗi am ngontu goonga.
10 Il y’a plus de peur que le mal : ko hulanoo ne ɓuri heewde e bonannde.
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