Petites histoires érotiques
45 pages
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Petites histoires érotiques

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Description

FRANCK LOZAC’H PETITES HISTOIRES EROTIQUES 1 Figure I Petit scénario Le jeune amant Tous les mercredis matins, Stephan visite son ami Paul. La façade de la maison est entourée de rosiers. De l'extérieur, l'on peut subrepticement essayer de voir ce qui se trame. Des ombres fugaces apparaissent ici et là, et laissent supposer une activité interne. Stephan comme à son habitude pousse le petit portail de bois et appuie sur la sonnette. Personne ne répond. Il sonne à nouveau. Personne n'ouvre. Il pousse la porte à moitié gêné - il avance toutefois. Il entre dans le corridor. Se dirige vers la chambre de Paul. Ce dernier est absent. D'un regard circulaire, il regarde la chambre. Il sort. Il tente de regagner le couloir. Figure II Dans le couloir. Il entend des bruits d'eau qui coule. Une porte est entrebâillée. Il regarde rapidement. Il voit la mère de Paul qui se lave. Elle est recouverte par la mousse de son savon liquide et l'on ne peut supposer quoi que ce soit de sa nudité. Géraldine est une très jolie femme d'une quarantaine d'années. 2 Rousse et sympathique, aux formes remarquablement dessinées. Il détourne les yeux et semble regagner la porte d'entrée. Figure III La mère de Paul, Géraldine a toutefois entendu quelque chose. Elle semble s'inquiéter, sort un peu de son bain, tourne les yeux à droite à gauche. - Y a-t-il quelqu'un ? Interroge-t-elle.

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Publié le 07 mars 2015
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Langue Français

Extrait

FRANCK LOZAC’H
 PETITES HISTOIRES EROTIQUES
1
Figure I
Petit scénario
Le jeune amant
Tous les mercredis matins, Stephan visite son ami Paul. La façade de la maison est entourée de rosiers. De l'extérieur, l'on peut subrepticement essayer de voir ce qui se trame. Des ombres fugaces apparaissent ici et là, et laissent supposer une activité interne.
Stephan comme à son habitude pousse le petit portail de bois et appuie sur la sonnette. Personne ne répond. Il sonne à nouveau. Personne n'ouvre. Il pousse la porte à moitié gêné - il avance toutefois. Il entre dans le corridor. Se dirige vers la chambre de Paul. Ce dernier est absent. D'un regard circulaire, il regarde la chambre. Il sort. Il tente de regagner le couloir.
Figure II
Dans le couloir. Il entend des bruits d'eau qui coule. Une porte est entrebâillée. Il regarde rapidement. Il voit la mère de Paul qui se lave. Elle est recouverte par la mousse de son savon liquide et l'on ne peut supposer quoi que ce soit de sa nudité.
Géraldine est une très jolie femme d'une quarantaine d'années.
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Rousse et sympathique, aux formes remarquablement dessinées. Il détourne les yeux et semble regagner la porte d'entrée.
Figure III
La mère de Paul, Géraldine a toutefois entendu quelque chose. Elle semble s'inquiéter, sort un peu de son bain, tourne les yeux à droite à gauche.
- Y a-t-il quelqu'un ? Interroge-t-elle. Puis se parlant à voix basse : J'ai bien entendu quelque chose… Fait-elle moitié inquiète, moitié surprise.
Stephan revient sur ses pas.
Stephan : Il s'agit de moi ! Je cherche Paul. Il m'a dit de passer. Et je
ne le vois pas.
Géraldine : Il s'est absenté. Il ne reviendra pas avant une heure. C'est une urgence. Il est parti chez le dentiste. Tu es toujours là, Stephan ?
Lui : Oui, Madame.
Géraldine : Peux-tu me rendre un petit service ? Viens. Approche. Pousse la porte.
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Stephan pousse délicatement la porte.
Géraldine, toujours dans son bain : Veux-tu , s'il te plaît, me donner le peignoir accroché à la porte d'entrée ? Prends-le. Tends-le moi.
Tandis qu'il le saisit - c'est un peignoir épais et blanc crème -Géraldine se dresse hors de la baignoire. On entend le bruissement de l'eau. Elle apparaît au jeune adolescent comme une déesse sortie des eaux. Ses sens en sont tout émoussés. Il feint de détourner les yeux en lui tendant maladroitement le peignoir. Il voit toutefois son dos, ses fesses, ses jambes et la beauté de sa chevelure blonde rouler ses épaules luisantes.
Figure IV
Elle sort un pied, puis l'autre.
- Merci Stephan. Tu ne peux savoir comme c'est agaçant de mettre de l'eau partout sur le sol. Tu l'as remarqué : nous avons un bain bulles. Tu ne peux pas imaginer comme c'est agréable !...Tu devrais l'essayer. Moi, je quitte la pièce. Essaie-le. Déshabille-toi. Tu vas voir, c'est très relaxant.
Lui, stupéfait, balbutiant quelques mots informes dans le genre : ...je ne sais si je dois, - non, mais pourquoi ?... stupide et nigaud.
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Elle sort de la salle d'eau. - Allez ! Déshabille-toi !
La porte se referme. Il s'interroge puis sous l'effet de l'impulsivité commence par retirer ses habits. Le voilà nu, son slip et ses chaussettes sur le sol. Il se glisse rapidement dans la baignoire pour éprouver le bien-être de la tiédeur de l'eau.
Il appuie sur le bouton pour accélérer la vitesse des bulles. Une sensation agréable l'envahit. Il regarde encore tout autour de lui.
Figure V
Géraldine est assise à sa coiffeuse, dans sa chambre. Elle se maquille et se prépare. Mais elle est nue sous sa robe de chambre légère.
Elle se lève rapidement, d'un pas autoritaire et va à la porte de la salle d'eau.
- Stephan, dépêche-toi, sors de l'eau. Vite. Prends une serviette, et viens me rejoindre dans la chambre.
Stephan, totalement sidéré s'exécute. Le voilà à moitié mouillé, pieds nus, serviette autour du corps à l'entrée de la chambre.
- Viens vite, lui dit-elle. Glisse-toi sous les draps et attends un peu.
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Il regarde le lit qui semble fort accueillant, mais ne comprend pas.
- Allez, te dis-je... Dépêche-toi.
Le voilà qui passe de l'entrebâillement de la porte à la fraîcheur des draps. Il est tapi et n'ose bouger.
Elle se rassoie à sa coiffeuse, se maquille et se pouponne. Il fait semblant de dormir. Elle éteint la lampe et va s'asseoir sur le bord du lit.
- Tu dors, Stephan ?
Il ne répond pas.
Elle se glisse sous les draps. Elle a mis ses bas, son soutien-gorge et rentre délicatement.
Il fait semblant de dormir.
Tout semble éteint. Lentement elle approche sa main droite et commence par le toucher. Elle accède à son petit sexe qu'elle branle doucement. Il ne dit mot et feint d'ignorer la caresse.
Elle le branle plus fortement. Le pénisdurcit. Elle accélère, s'arrête. Ses beaux ongles rougesse déplacent sur les testicules et la hampe de la
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verge.
Stephan est sous l'effet d'une excitation tendue. Enfin n'en pouvant plus, des saccades épaisses et blanches s'expulsent hors de son sexe lui procurant un bien-être extrême.
Il se repose remerciant des yeux sa superbe maîtresse. Le bonheur
est de courte durée.
- Dépêche-toi. J'ai l'impression qu'ils vont arriver. Rhabille-toi. Reviens la semaine prochaine à la même heure. Je t'attendrai. Il se précipite dans la salle de bain, enfile ses affaires et quitte la maison.
Figure VI
Le mercredi suivant, Stephan est au rendez-vous. Bien à l'heure. Impeccable et propret. Il pousse à nouveau le petit portail de bois et appuie sur la sonnette.
- Entre, souffle-elle et va te glisser sous les draps.
Figure VII
La semaine écoulée, il s'est réellement demandé ce qui lui arrivait comprenant mal, très mal le comportement de la mère de son meilleur ami. Il a tenté de ressasser tout cela dans son esprit, mais n'a pu savoir ce
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qui se tramait dans la pensée de Géraldine. Il se laissait emporter par cette folie passagère ne sachant véritablement où cela allait le mener. Il avançait insouciant avec la légèreté de la jeunesse.
Figure VIII
Retour à la Figure VI
Stephan est sous les draps. Géraldine pousse la porte et va à la coiffeuse. Elle passe une brosse dans ses cheveux, puis se maquille. Elle porte un kimono noir et semble nue dessous. Elle entre dans son lit. Le jeune adolescent est pris de frayeurs.
- N'aie crainte. Il ne s'agit que de moi.
Géraldine lui retire rapidement son slip blanc, se penche sur son bas ventre et lui pratique une agréable fellation. Elle passe sa main sur ses testicules. Il est pétrifié et dans le même temps sous une tension prononcée.
Elle happe plus violemment le gland du pénis. Ne pouvant plus se retenir, Stephan fait s'écouler d'imposantes rasades de sperme. Géraldine boit goulûment et tire encore son le gland qui à présent semble fatigué.
Elle est satisfaite de sa pratique accomplie et se délecte encore des gouttes chaudes et blanches qui ont rempli sa gorge avide.
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Le jeune homme prend conscience de l'immense possibilité sexuelle et physique que représente la femme à travers Géraldine. Il découvre un outil de jouissance jusqu'alors inconnu.
Le voilà qui se met à fantasmer sur ses propres capacités se demandant s'il ne pourrait pas...
Géraldine, le réveillant d'un coup :
- Dépêche-toi ! L'heure a tourné.
Elle le presse hors du lit. Le voilà encore ébouriffé, quittant le doux coton et se rhabillant prestement.
- Reviens la semaine prochaine, à la même heure. Lui dit-elle.
Il s'exécute et quitte la pièce, prend à nouveau le couloir et referme la porte d'entrée derrière lui.
Figure IX
Géraldine, consciencieusement se nettoie la bouche avec du dentifrice pour retirer toute trace de sperme entre ses gencives. Discrète, légère et indifférente, elle essaie une panoplie sexuelle que lui avait offerte son mari. La voilà qui se ceinture d'un harnais rose tendre et glisse un godemiché dessus. Elle feint à des gestes secs et nerveux de
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pénétrations annales en se regardant dans la glace. - Tout cela pourrait lui plaire.., ce soir, suppute-t-elle. Moi qui n'ai jamais enculé un homme, cela me fera tout drôle de lui défoncer la rondelle.
- Comment puis-je parler de la sorte de mon mari ? Se dit-elle, puis
doucement elle se met à sourire.
Figure X
La veille, l'occasion de faire quelques achats s'était présenté à sa personne. Un nouveau magasin érotique exclusivement réservé aux femmes venait d'ouvrir ses portes. Intriguée, étonnée mais ravie, Géraldine vint y découvrir les dernières nouveautés." Si tu trouves un jour quelque chose d'intéressant, achète-le.", lui rappelait régulièrement son mari. Se promenant dans les différents rayons, ayant essayé quelques tenues vestimentaires, son choix s'arrêta sur ce délicieux petit harnais rose conçu pour y glisser un godemiché.
Figure XI
Le soir venu, après avoir échangé de douces caresses amoureuses, par jeu Géraldine bande les yeux de son mari qui mi-amusé mi-intrigué la laisse faire. Elle lui demande de se mettre à quatre pattes. Il obéit derechef. La voilà qui se dirige vers l'armoire et sort de dessous une pile de linges les fameux ustensiles achetés dans la journée même au magasin
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érotique. Rapidement elle enfile son harnais rose agrémenté d'un godemiché assez volumineux. Elle pointe délicatement l'anus de son mari avec l'aide d'une vaseline appropriée et commence par pénétrer le trou qui s'élargit facilement.
Maurice comprend très vite ce qui lui arrive et remercie sa femme d'avoir pensé à lui donner du plaisir de cette façon. Il couine de bien-être et déjà une forte érection accompagne le va-et-vient rectal. Elle s'engaillardit de plus belle et propose à présent un geste saccadé du bassin plus violent à présent.
Tout en poursuivant ce va-et-vient elle lui assène quelques coups de fouet sur les reins pour amplifier plus encore chez son époux la perception de la stimulation. Fouetté et enculé, il conserve sa main droite pour se masturber. Enfin dans un dernier râle d'épuisement, il laisse exploser son vit qui répand grand nombre de gouttes blanches sur le lit.
- Merci, lui dit-il. Tu as été formidable ! Comment cette idée t'est-elle venue à l'esprit ? Là, je t'avoue, tu m'étonnes.
Figure XII
Stephan comme à son habitude en cette belle matinée hivernale, léger et guilleret pousse le portail du jardin et va sonner prestement à la porte d'entrée. Géraldine lui indique la chambre et lui demande de se
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