De plus en plus de consommateurs achètent des pièces détachées de réemploi. Ils ont trois bonnes raisons de le faire. Tout d'abord, beaucoup d'automobilistes se disent : « pourquoi poser une pièce neuve sur une voiture qui a 4 ans et plus ? » Le prix des pièces détachées neuves a bondi de 30 % en 5 ans alors que les pièces de réemploi sont deux à trois fois moins chères.
Ensuite, les pièces de réemploi sont aujourd'hui traçées, testées et garanties. Elles sont démontées dans des ateliers de désassemblage par des professionnels de l'automobile, elles sont au moins aussi récentes que les véhicules qui vont être réparés et disposent d'une traçabilité parfaite, ce qui est très précieux pour les assureurs, qui sont autorisés depuis trois ans à faire réparer les véhicules avec des pièces de réemploi.
Ces pièces recyclées participent enfin au développement durable : elles évitent de consommer du CO2 inutile et contribuent à une économie respectueuse de l'environnement. Voici pourquoi les nouvelles générations d'automobilistes et les non-bricoleurs fréquentent de plus en plus nos 80 centres de recyclage Caréco. Caréco est aujourd'hui le premier acteur du secteur du recyclage automobile avec mille collaborateurs, un million de m2 et 80 centres industriels. Nous retraitons l'équivalent de 10 Tour Eiffel par an de matières, et avons constitué un stock de 30 millions de « pièces vertes » de réparation automobile garanties. En 2012, nous allons créer 200 emplois nouveaux et construire 30 000 m2 d'activités industrielles ; nous travaillons déjà sur les ateliers du futur, qui permettront de recycler plus de 95 % du poids d'une voiture. Plus que jamais, Caréco entend jouer un rôle citoyen au service des consommateurs, avec trois maîtres-mots : pouvoir d'achat, environnement, fiabilité.
