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Publié par | stop-arnaques |
Publié le | 03 janvier 2013 |
Nombre de lectures | 28 |
Langue | Français |
Extrait
La pompe à chaleur permet de décupler les énergies fossiles (fioul ou gaz) ou l'énergie électrique. Ainsi, à partir de 1 kWh d'énergie électrique, elle restitue 3 à 4 kWh de chaleur gratuite. En outre, chaque kWh généré par une pompe à chaleur produit environ 4 fois moins de CO2 que 1 kWh émis par une chaudière à combustible. La pompe à chaleur limite aussi les émissions de gaz à effet de serre, oxydes d'azote (NOx) et dioxyde de soufre (SO2), notamment. Comment s'assurer d'acheter le bon modèle ?
Le principe de pompe à chaleur le plus répandu est celui du réfrigérateur, qui utilise l'air ambiant pour le transformer en air froid. Grâce à la pompe à chaleur, l'environnement extérieur (sol, air ou eau) est récupéré pour être restitué en chaleur dans votre habitation.
Toutes les pompes à chaleur électriques fonctionnent selon ce même principe. Elles contiennent un circuit fermé et étanche dans lequel circule un fluide frigorigène, liquide ou gazeux. Ce fluide traverse successivement un évaporateur, un compresseur, un condenseur et un détendeur. Il existe trois types de pompes à chaleur : celles qui puisent la chaleur dans l'air (pompe à chaleur aérothermique), dans le sol (pompe à chaleur géothermique) ou dans l'eau des nappes phréatiques du sous-sol (pompe à chaleur aquathermique). Selon leur fonctionnement, les pompes à chaleur sont nommées air/air, air/eau, sol/sol, sol/eau ou eau/eau. Dans ces appellations, le premier terme désigne l'origine de l'énergie prélevée et le second, la manière dont la chaleur est ensuite diffusée dans la maison (soufflerie, circuit d'eau chaude, plancher chauffant avec fluide frigorigène).
Des économies à partir de 1 seul kWh d'électricité (utile au fonctionnement de la pompe à chaleur), vous récupérez gratuitement, grâce à votre environnement naturel, 3 à 4 kWh. Selon votre projet, le type de pompe à chaleur installée et la zone géographique dans laquelle vous vous trouvez, votre chauffage proviendra en moyenne pour 2/3 de l'environnement (il sera donc gratuit) et pour 1/3 de l'énergie électrique nécessaire au fonctionnement de la pompe à chaleur.
Selon une étude de l'association française des pompes à chaleur, la pompe à chaleur permet en moyenne de réduire l'émission de CO2 de 4 tonnes/an par rapport au chauffage à combustible classique.
- Une bonne performance : elle peut fonctionner en autonomie sans chauffage d'appoint, même dans un climat froid. Mais le volume du local doit être supérieur à 25 m3 - Coût faible pour la pose et l'entretien. Mais la température ne doit jamais descendre en dessous de 5°C. - La PAC permet la déshumidification de la pièce. Mais ce système n'est pas compatible avec une VMC double flux.
- Moins de risque de détérioration car le système n'est pas en contact avec l'extérieur. Mais le système est bruyant.
- Elle est très souvent éligible aucrédit d'impôt. Mais la pompe à capteurs horizontaux nécessite une surface disponible dans votre jardin de 2 à 3 fois la surface habitable.
- Bonne rapidité de chauffe. Mais les pompes à capteurs verticaux nécessitent un forage et donc un surcoût.
- Les pompes à chaleur sol/sol ou sol/eau sont relativement simple et donc moins coûteuses. Mais elles nécessitent une qualité d'installation irréprochable. - Il n'y a pas besoin d'espace de stockage d'un combustible. Mais elle est compatible uniquement avec radiateur basse température et/ou plancher chauffant - Il n'y a pas de rejet, donc pas besoin d'un conduit d'évacuation. C'est une énergie fiable et stable dans le temps.
- Système simple d'utilisation et d'installation, ni chantier, ni autorisation administrative. Mais en dessous des 3°C à l'extérieur, le système devient moins efficace.
Elle est plutôt conseillée dans les zones à climat doux comme les zones côtières.
- Investissement réduit. Mais attention aux nuisances dues aux bruits développées par la pompe à chaleur.
- Système réversible : chauffe ou refroidit selon les besoins. Mais il est nécessaire de compléter par un chauffage d'appoint. - Adaptation possible à un réseau de chauffage central existant. Mais les pompes air ne sont pas toutes éligibles au crédit d'impôt.
- Elles peuvent fonctionner en autonomie, sans chauffage d'appoint, mais dans un climat froid. Mais il est impératif d'avoir un point d'eau ou une nappe à proximité.
- Elle est le plus souvent éligible au crédit d'impôt. Mais l'installation est onéreuse parce qu'il faut faire un forage en profondeur. - Très bonne rapidité de chauffe. Mais il faut faire des démarches administratives pour modifier les sous-sols, et le chantier doit être réalisé par une entreprise agréée. - Permet également de chauffer l'eau chaude sanitaire et de rafraîchir en été. Mais elle est compatible uniquement avec des radiateurs basse température et/ ou plancher chauffant.
- Les économies d'énergie sont supérieures à celles réalisée avec une pompe à air.
- Moins de consommation électrique qu'un chauffe-eau solaire utilisant une compensation par résistance électrique. Mais le volume du local doit être supérieur à 25 m3.
- Coût faible pour la pose et l'entretien. Mais la température ne
Les pompes à chaleur air/air de cette gamme offre un large choix de modèle (2,2 à 8 kW) pour oeuvrer dans les pièces de toutes tailles. Technologie Inverter de classe A pour économiser 45% d'énergie. Panasonic, gamme Ethera, à partir de 1.200 € environ.
Une énergie propre et renouvelable, des fonctionnalités simples et performantes, un encombrement minimum, un rapport qualité-prix attractif... Cette PAC assure un confort en toute saison et jusqu'à 70% d'économies. De Dietrich, PAC air/eau réversible Alezio.