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Publié par | le-journal-du-rugby |
Publié le | 21 juillet 2012 |
Nombre de lectures | 9 |
Langue | Français |
Extrait
Cédric Abellon, lanceur officiel du Pilou-Pilou, nous parle de cette institution à Mayol.
Comment en êtes-vous arrivé à être le lanceur officiel du Pilou-Pilou ? En jouant au rugby avec le club des Fadas.
J'avais déjà lancé un Pilou-Pilou lors d'un tournoi à Porquerolles. On m'a demandé de le faire à Mayol. C'est comme ça que ça a démarré.
Peut-on dire que le Pilou-Pilou est à Toulon ce que le Haka est aux Blacks ? C'est un peu cela, c'est un cri de guerre. Mais le Haka des Blacks se fait entre les joueurs. Là, c'est un stade qui montre qu'il est là. Après, en fonction des matches, on apporte une touche un peu plus hargneuse.
"Giteau et Van Niekerk ont dit qu'ils n'avaient jamais vu cela"
Mesurez-vous l'impact du Pilou-Pilou sur les joueurs ? Cela les motive. Ils se rendent compte qu'ils ne sont pas seuls. Ils sont suivis par un peuple.
Les adversaires du RCT sont-ils impressionnés ? Je le pense. Mayol est unique. Il est reconnu pour la ferveur des supporteurs. Quand on y met les pieds, on sait où on est.
Quels retours de joueurs toulonnais avez-vous obtenu ? Ce sont surtout les supporteurs qui me font des remarques. Mais Giteau a dit qu'il n'avait jamais vu cela. Van Niekerk non plus.