Petites villes : un marché immobilier spécifique
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Petites villes : un marché immobilier spécifique Cunanimement onstat immuable partagé, unanimement l'immobilier français se scinde en 2 marchés distincts.

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Publié le 01 octobre 2011
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Langue Français

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Petites villes : un marché immobilier spécifique
Cunanimement onstat immuable partagé, unanimement l'immobilier français se scinde en 2 marchés distincts.
On observe une différence «structurelle fondamentale entre les marchés. Du fait de l'attractivité de-de leurs bassins économiques, Paris, l'Île-del'attractivité France ainsi que les grandes métropoles supportent un déséquilibre conséquent entre l'offre et la demande, ce qui impacte les prix à », la hausse explique Laurent Vimont, président de Century 21 France. Un état de fait qui s'inverse pour le marché des petites villes et des zones rurales, avec un excès d'offres de biens immobiliers et un gel relatif des prix comme caractéristiques majeures. « Au ème 44ème trimestre 2008, le prix au mètre carré des villes de moins de 20.000 habitants était de 1.751 euros. Au 2 trimestre 2011, il s'élève à 1.885 euros. ème 2ème Pour autant, certaines petites villes profitent du dynamisme et de l'attractivité des bassins d'emploi d'envergure situés à proximité. Ainsi, les petites villes du bassin parisien ont connu une hausse de plus de 400 euros du mètre carré sur la même période », reporte Frédéric Monssu, directeur général du réseau Guy Hoquet.
En dépit d'une offre de biens immobiliers plus étoffée, le marché des petites villes est tributaire des fluctuations conjoncturelles. « En région, l'augmentation continue des prix depuis dix-huit mois, couplée à celle des taux d'intérêt, a asséché le pouvoir d'achat des clients acquéreurs. Dès l'instant où le prix du marché dépasse le budget du client acquéreur, le volume de vente diminue », poursuit Laurent Vimont. Ainsi, les régions, où le prix de l'immobilier a augmenté de 3% au 1er semestre 2011, ont enregistré une diminution du volume des ventes d'au moins 15%. Enfin, certaines localités, telles que Guéret, subissent les contrecoups d'un marché longtemps dynamisé par des acquéreurs anglo-saxons. «Les prix ayant monté sous la pression des acheteurs anglais, les biens aujourd'hui en vente ne trouvent pas preneurs ». Un blocage qui gèle complètement le marché.
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