Si le moral va... tout va

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• Publié par: Entreprendre-
• Publié le: 28 janvier 2012
• Nombre de lectures: 4
• Langue: Français

Extrait

Si le moral va... tout va

Le lundi 5 décembre H dernier, le tour de ^^M France Rivalis faisait étape à Amiens et réunissait 26 conseeillers de la région Nord et ceux de la région Île-de-France pour élire leurs préésidents respectifs. Vincent Cordonnier a ainsi pris la têtte de la région Nord. Outre sonn rôle de conseiller auprès des TPE, il est formateuur terrain. Il intervient à la fin du cycle de formation initiale dees nouveaux conseillers Rivalis et les accompaagne dans leurs premierss pas sur le terrain. Cet hommme possède une vue globale des préoccupations actuelless des dirigeants de TPE : «Ellles sont doubles et souvent liées : les problèmes de trésorrerie et les délais de paiemment. De nos jours, peeu d'entreprises ou au patron respectent les délais légaux de paiement (45 d'organismes jours fin de mois). En résulte pour une entreprise qui a effectuéé, à date, les travaux demandés, une problématique de paiement qui la met en difficulté alors qu'elle a une pprévision de chantiers à veenirr»». En ce début 22012, il témoigne de l'attitude prudente qui prédomine. «Jusqu'aux éllections, les dirigeants de TPE vont attendre les ppromesses des candidats : la TVA sociale, la création de nouvelles aidees... Néanmoins, il y aura toujours du travail pour les TPE, elles font partie des besoins quotidiens : coiffeurs, électriciens, plombiers, plââtriers... L'important, pour les entrepreneurss, c'est de prendre conscience qu'ils ont besoin d'être accompagnés au quotidien et surtout d'avoir uune vision en temps réel de la situation de leur entreprise». Dans le rôle du copilote, comme tous les conseillers Rivalis, assume la tâche de remonter le moral des troupees, dont la confiance en l'avvenir agit comme levier sur l''économie du pays, mais aussi sur l'emploi. «Les diriggeants ne sont pas contre le fait d'embaucher de nouveaux salariés, simplement il existe des freins qui résultent de la peur de ne paas avoir assez de chantiers pour rentabiliser la charge d'une nouvelle personne». On en revient à la confiannce et au climat de morosité ambiante qu'affrontent au quotidien les TPE.