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Publié par | le-foot-hebdo |
Publié le | 09 novembre 2011 |
Nombre de lectures | 9 |
Langue | Français |
Extrait
Belles nanas, jolies voitures, superbes maisons et coupes de cheveux... Derrière ces clichés se cachent un grand nombre de footballeurs. Bien sûr, ces "signes extérieurs d'appartenance au football professionnel" ne sont pas toujours cumulés par les pensionnaires de Ligue 1, Série A, Premier League, Liga, Bundesliga ou autres championnats à travers le monde. Les footballeurs ont leur mode que la raison ignore parfois. Comme l'invraisemblable coupe de cheveux de Roberto Baggio, star italienne des années quatre-vingts dix, les "couettes" de taribo west (en haut à droite) ou plus près de nous, la coupe "destroy" du joueur de Chelsea, Raul Mereilès, et le look "Irokwa-castor" de Jérémy Ménez... Heureusement, le modèle "footballeur professionnel" reste assez raisonnable, en Ligue 1 tout du moins, avec une coupe plus classique : dégagée sur les cotés et plus long sur le dessus du crane. Une coupe portée par David Beckham l'année dernière. D'ailleurs, les différentes coupes du "Spice Boy" au cours des 12 dernières années restent très instructives et significatives de l'évolution d'une certaine mode... "Changer de tête permet de restaurer l'image de soi si elle a été bousculée, explique le docteur Sylvie Consoli, dermatologue et psychanalyste, sur le site psychologie.com. Cette dernière précise qu'à travers leur coupe de cheveux, "les enfants se réapproprient leur corps et signifient ainsi leur autonomie par rapport aux parents". De là à penser que les joueurs de football veulent affirmer leur individualité par rapport au collectif...
Ils avaient osé !