Comportements sur Autoroute - rapport Sanef

Description

Comme chaque été, les routes verront bientôt des millions d’automobilistes partir vers leurs
destinations estivales. Le groupe Sanef publie à cette occasion les conclusions de son
Observatoire des Comportements sur Autoroute. Pour cette troisième édition, le groupe sanef
présente les résultats 2014 et un retour sur l’évolution des comportements sur une année,
ainsi qu’une nouvelle étude portant sur les comportements des automobilistes à l’approche
d’un chantier circulant sur une autoroute à 2 voies.

Sujets

• Société des autoroutes du Nord et de l'Est de la France
• Automobile
• Autoroute

Informations

• Publié par: Fil_actu
• Publié le: 01 juillet 2014
• Nombre de lectures: 48
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 5 Mo

Extrait

DOSSIER DE PRESSE L’Observatoire sanef des Comportements sur Autoroute Juillet 2014

SOMMAIRE

Présentation

Quelle évolution des comportements ?

Constat général : moins de morts sur les autoroutes  Lescomportements à risques toujours au cœur  desproblématiques de sécurité routière  Unemeilleure utilisation des clignotants  Lavitesse réglementaire encore mal respectée  parcertains conducteurs  Lepartage de l’autoroute : occupation des voies  Lerespect des distances de sécurité doit encore s’améliorer

L’Observatoire sanef « chantiers »

La vitesse dans la zone de chantier

Le changement de voie

Le respect des inter-distances

L’usage du clignotant

Conclusions

1

2

2

3 3

4 5 6

7 8 8 8 8

9

Rappel des consignes de sécurité sur autoroute10

À propos du groupe sanef

11

PRÉSENTATION

Comme chaque été, les routes verront bientôt des millions d’automobilistes partir vers leurs destinations estivales. Legroupe sanef publieà cette occasion les conclusions de son Observatoire des Comportements sur Autoroute. Pour cette troisième édition, legroupe sanef présente les résultats 2014 et un retour sur l’évolution des comportements sur une année, ainsi qu’une nouvelle étude portant sur les comportements des automobilistes à l’approche d’un chantier circulant sur une autoroute à 2 voies.

L’Observatoire sanef des Comportements sur Autoroute : une étude scientifique menée chaque année depuis 2012

En 2012, legroupe sanefcréait l’Observatoiresanefavec le concours du CEREMA (Centre d’Etudes et d’Expertise sur les Risques, l’Environnement, la Mobilité et l’Aménagement) ayant une expertise reconnue sur les problématiques liées aux déplacements. L’étude réalisée dans le cadre de cet observatoire avait permis d’obtenir des mesures scientifiques relatives aux comportements à risques sur autoroute.

Les comportements à risques demeurant un enjeu majeur de la sécurité routière, l’Observatoiresanefa progressivement complété ses études pour s’intéresser à des sujets précis : occupation des voies, usage du clignotant, vitesse comportements en zones de travaux. Ces résultats ont ainsi permis de mieux appréhender et comprendre ces conduites dangereuses, afin de mettre en œuvre des campagnes de sensibilisation ciblées.

En 2014, legroupe sanefchoisi de compléter ces recherches par un observatoire spécifique dédié aux a comportements des automobilistes, circulant sur une autoroute à 2 voies, à l’approche d’un chantier.

1 DOSSIER DE PRESSE Les Observatoires sanef e 3 édition juillet 2014

QUELLE ÉVOLUTION DES COMPORTEMENTS SUR AUTOROUTE ?

C O N S TATG É N É R A L: MO I N SD EM O R T SS U RL E SA U T O R O U T E S D UG R O U P ES A N E F

S É C U R I T ÉS U RA U T O R O U T E: QU E L Q U E SC H I F F R E SC L É S

Au niveau national : >L’autoroute est5 fois plus sûre que la route; >Lenombre de tués a été divisé par 2 en 10 ans sur autoroute.

Sur les autoroutes dugroupe 400 sanef, malgré une légère36 530 hausse des accidents matériels 300 (+ 4 %), le nombre d’accidents mortels suit la tendance de ces 200 dix dernières années et conti- 2783 nue à diminuer sensiblement : 100 - 10 % entre 2012 et 2013. Les accidents corporels suivent 0 la même tendance. 2011

30 496

2879

2012

A M É L I O R AT I O NC O N T I N U ED EL AS É C U R I T É

La sécurité sur autoroute s’est améliorée grâce : >Aux progrès réalisés sur nos infrastructures ; >Au développement de nos moyens d’information ; >À la meilleure sécurité tant passive qu’active des véhicules.

27 448

2983

Accidents matériels Accidents corporels Accidents mortels 2013

Cependant, un long chemin reste encore à parcourir afin de modifier durablement les comportements.

2 DOSSIER DE PRESSE Les Observatoires sanef e 3 édition juillet 2014

LES COMPORTEMENTS À RISQUES TOUJOURS AU CŒUR DES PROBLÉMATIQUES DE SÉCURITÉ ROUTIÈRE

L’Observatoiresanefà risques : le non-respect des distancespermet de faire le point sur certains comportements de sécurité, la non-utilisation du clignotant, les dépassements par la droite, etc. Cette année, les chiffres montrent une nette amélioration quant à l’utilisation du clignotant et au respect des distances de sécurité.

U N EM E I L L E U R EU T I L I S AT I O ND E SC L I G N O TA N T S

PA R TA G E RL’ A U T O R O U T E ,C ’ E S TN O NS E U L E M E N T:

>Respecter lesdistances de sécurité. >Rouler sur la voie de droitelorsqu’elle est libre. >Mais c’est aussisignaler aux autres conducteurs ses manœuvres de dépassement et de rabattement.

En 2012, l’Observatoiresanefpour la première fois d’évaluer le nombre de conducteurs utilisant permettait correctement le clignotant. Obligatoire, il est un élément de sécurité indispensable car il permet de signaler tout changement de file. Compte tenu des vitesses pratiquées sur autoroute, il est nécessaire pour assurer une meilleure sécurité.

Cette année, les études montrent une nette amélioration de l’usage du clignotant. Si en 2013,2/3 des automobilistes ne l’utilisaient pas pour se rabattre, ils sont désormaisplus de la moitié à le faire. Quant aux dépassements,3/4 des conducteurs se servent maintenant du clignotantpour entamer la manœuvre,contre seulement 59 % en 2013.

U S A G ED UC L I G N O TA N T2 0 1 22 0 1 32 0 1 4

 Dépassement35 %  Rabattement59 %

CLIG

EZ !

Indicate! Blinker!

 33%  61%

 28%  41%

Retrouvez la bonne pratique avec Margot Lafitte sur le dépassement et l’usage du clignotant : https://vimeo.com/98542963

Cette amélioration significative de l’utilisation du clignotant, à la fois pour dépasser mais surtout pour se rabattre, montre l’évolution des comportements des automobilistes. Ces résultats positifs peuvent en partie être attribués aux actions de sensibilisation menées par legroupe sanef. En 2014, et suite à l’Observatoire sanef2013, le groupe a en effet déployé une campagne sécurité sur ce sujet. 3 DOSSIER DE PRESSE Les Observatoires sanef e 3 édition juillet 2014

LA VITESSE RÉGLEMENTAIRE ENCORE MAL RESPECTÉE PAR CERTAINS CONDUCTEURS

Les vitesses moyennes et les taux de dépassement de la limite réglementaire demeurent un sujet important. L’Observatoiresanef permetde compléter les informations délivrées par l’ASFA (Association Française des Sociétés d’Autoroutes) qui réalise régulièrement des observations de même type.

V I T E S S E0 1 2 22 0 1 42 0 1 3

 Vitessemoyenne sur les 3 voies  >130 km/h  >150 km/h

Les résultats de la première étude de l’Observatoire sanef desComportements sur Autoroute avaient montré que la vitesse moyenne des véhicules légers s’établit à 127 km/h, très proche de la limite réglementaire. Depuis 3 ans, ce chiffre reste inchangé, et marque ainsi une stabilité des comportements en matière de vitesse sur autoroute.

La connaissance de la position des radars fixes, le progrès des équipements embarqués, l’utilisation d’un régulateur de vitesse, d’un localisateur GPS qui signale les zones à risques et les dépassements de la vitesse autorisée peuvent en partie expliquer ces résultats.

Depuis 2002, l’ASFA a observé unebaisse régulière des vitesses moyennes de 5 à 6 % sur les autoroutes concédées : c’est le résultat de la politique globale de sécurité routière menée par l’État avec la mise en place de dispositifs contrôle sanction. En termes de sécurité routière, l’enjeu de la vitesse sur autoroute est moins fort qu’il y a 10 ans.En effet, en 2014, la vitesse exces- sive est relevée dans 13% des accidents mortels alors que ce facteur était la cause d’un accident mortel sur 3 en 2002.

DES EXCÈS DE VITESSE EN LÉGÈRE DIMINUTION, MAIS ENCORE TROP NOMBREUX

L’Observatoiresanefun niveau d’infraction en révèle légère baisse cette année : 36 % contre 39 % en 2013. De plus, 3% des automobilistes circulent même à une vitesse supérieure à 150 km/h.

127 km/h127 km/h  37% 39%  3% 3%

127 km/h  36%  3%

Retrouvez la bonne pratique avec Margot Lafitte sur la vitesse : https://vimeo.com/98542963

4 DOSSIER DE PRESSE Les Observatoires sanef e 3 édition juillet 2014

L EPA R TA G ED EL’ A U T O R O U T E: OC C U PAT I O ND E SV O I E S

R A P P E LD EQ U E L Q U E SR È G L E SÀ RE S P E C T E R:

>Les conducteurs doiventrouler sur la voie de droitelorsque celle-ci est libre ; >L’occupation de la voie centrale peut induire pour les autres conducteurs des comportements dangereuxet des manœuvres de dépassement plus délicates ; >Sur les autoroutes à 3 voies,déboîter sur deux voies présente des risquesen raison des problèmes de visibilité et d’angles morts.

Depuis 2012, l’Observatoiresanefmontre queplus d’1 véhicule sur 3 circule sur la voie du milieualors que celle de droite est libre. Cette proportion élevée et inchangée marque une absence de modification des comportements.

N O NR A B AT T E M E N T  Utilisationabusive de la voie du milieu

 20 1 22 0 1 3  36% 36%

 2 0 1 4  37%

Même si rester sur la voie du milieu peut sembler plus confortable aux conducteurs, cette attitude reste inadaptée et peut induire des comportements dangereux de la part des autres automobilistes. C’est pourquoi, le bon usage des voies de circulation a été l’objet de la campagne sécurité dugroupe sanefentre octobre 2013 et mars 2014.

Les observations montrent que les conducteurs qui roulent sur la voie centrale auraient pu se rabattre sur la voie de droite en toute sécurité.

L’Observatoiresanefainsi que le positionnement montre des véhicules sur une autoroute à 3 voies est très fréquemment inadapté, et ce phénomène est encore plus accentué la nuit.

Retrouvez la bonne pratique avec Margot Lafitte sur l'occupation des voies : https://vimeo.com/98542963

5 DOSSIER DE PRESSE Les Observatoires sanef e 3 édition juillet 2014

L ER E S P E C TD E SD I S TA N C E SD ES É C U R I T ÉD O I TE N C O R ES ’ A M É L I O R E R

Les conducteurs respectent les inter-distances s’ils laissent une distance d’au moins 2 secondes, soit une centaine de mètres, avec le véhicule qui les précède.

Dès 2012, l’Observatoiresanefavait révélé qu’1 conducteur sur 4 roulait trop près du véhicule le précédant. Ce comportement est particulièrement dangereux, car si un événement imprévu survient dans ces conditions, il est quasiment impossible d’éviter l’accident. Oren 2013, 60 % des accidents mortels impliquait plus d’un véhicule.

DISTANCES DE SÉCURITÉ < 2 SECONDES2 0 1 22 0 1 32 0 1 4

 Voiede droite18 %17 %16 %  Voiedu milieu32 %28 %28 %  Voiede gauche30 %18 %21 %

Suite aux résultats de l’Observatoire 2012 sur le non respect des inter-distances, legroupe sanef avait décidé de mener une campagne de sensibilisation ciblée sur cette problématique.

2013 a montré une nette amélioration du respect des distances de sécurité, et ce toutes voies confon- dues.Cette année les résultats sont stables. L’Observatoiresanef2015 montrera s’il s’agit là d’une tendance pérenne.

Retrouvez la bonne pratique avec Margot Lafitte sur le respect des distances de sécurité : https://vimeo.com/98624684

Modifier les comportements est un travail de longue haleine. Le groupe sanef poursuit cet objectif en mettant en place de nouvelles actions de sensibilisation.

6 DOSSIER DE PRESSE Les Observatoires sanef e 3 édition juillet 2014

L’OBSERVATOIRE SANEF « CHANTIERS » POUR ŒUVRER À LA SÉCURITÉ DES ÉQUIPES INTERVENANT AUX ABORDS DES AUTOROUTES

Parce qu’une zone de chantier, est une zone « particulière » pour les automobilistes mais aussi pour le personnel intervenant dans ces espaces, legroupe sanefa jugé nécessaire d’obtenir des observations fiables sur le comportement des conducteurs à leur approche.

En effet,46 % des accidents impliquant des personnels autoroutierssurviennent lorsque les agentsposent des balisageset qu’ils sont exposés à la circulation.

Durant l’année 2013, les 800 hommes et femmes du groupe sanef qui travaillent pour la sécurité des conducteurs ont réalisé plus de 25 000 interventions dont 12 000 poses de balisages pour les chantiers

Cette année, l’Observatoiresanef «chantiers » a étudié plus spécifiquement les comportements des automobilistes sur une autoroute à 2 voies à l’approche d’une zone de travaux, c’est à dire une zone présentant un balisage classique avec voie de droite neutralisée.

Les indicateurs retenus pour cette étude sont : >La vitesse à l’approche de la zone de travaux ; >La manœuvre de déboitement : l’usage du clignotant et le changement de voie ; >L’inter-distance entre les véhicules.

Legroupe sanefs’est ainsi doté de moyens techniques de mesure adaptés : >Une station de mesure du trafic ; >Une caméra fixe positionnée sur un pont pour filmer les véhicules en approche ; >Un compteur analyseur de trafic.

Caméra vidéo en rapprochement

Station de mesure de trafic

BAU

Retrouvez la bonne pratique avec Margot Lafitte sur la sécurité des équipes intervenant sur autoroute : https://vimeo.com/98624685

En 2013 : 105 encore accidents, soit 2 par semaine* dont 1 mort* *sur le réseau autoroutier concédé

7 DOSSIER DE PRESSE Les Observatoires sanef e 3 édition juillet 2014

L AV I T E S S ED A N SL AZ O N ED EC H A N T I E R

La suppression d’une voie entraine une réduction de vitesse à 90 km/h sur une autoroute à 2 voies, au lieu des 130 km/h réglementaires en temps normal.

Mais les automobilistes respectent peu la limitation de vitesse dans les zones de chantier :37 % roulent au dessus de 90 km/h, et 6 % dépassent même les 120 km/h.

C H A N G E M E N TD EV O I E

Les conducteurs sont avertis de la présence d’un chantier par une série de panneaux disposés en amont dont 2 signalant la réduction de voie à 600 m et 200 m.

L’Observatoiresanef« chantiers » 2014 montre que : >92 % des automobilistes changent de voie à moins de 200 m du balisage, tout comme 58 % des poids-lourds; >3 conducteurs sur 4 le font à moins de 100 m, et c’est le cas de1/3 des poids-lourds; >34 % des véhicules légers et 14 % des poids-lourds changent de voie au début du balisage.

L ER E S P E C TD E SI N T E R - D I S TA N C E S

Le respect des distances de sécurité sur autoroute est primordial, que ce soit en situation de circulation normale, comme à l’abord des zones de travaux. Le non respect de ces distances amplifie l’effet de masquage et les déboitements tardifs qui peuvent avoir de graves conséquences.

En zone de travaux sur une autoroute à 2 voies, le non respect des distances de sécurité est amplifié : >Véhicules légers :58 % des véhicules contre 33 %en temps normal (sans chantier) ; >Poids-lourds :30 % contre 22 %en temps normal.

L’ U S A G ED UC L I G N O TA N T

Le clignotant demeure l’accessoire indispensable pour informer les autres conducteurs de ses changements de voie, et ce en toutes situations. Cela est également le cas lorsque l’on approche une zone de travaux balisés, et que le déboitement devient obligatoire.

Or seuls 25 % des automobilistes signalent leur manœuvre au moment du changement de file, alors que le clignotant est majoritairement utilisé par les poids-lourds (81 %).

90 HANTIER RAPPEL NATURE DU CHANTIER

BA

90

110

100 m mini

100 m mini

150 m

100 m

100 m 200 m

600 m

800 m

200 m

200 m

200 m

Avecbalisages mis en place en 2013,12 000 ces comportements peuvent avoir desconsé- quences considérables. Les changements de voie tardifs del’ensemble des conducteurs constituent notamment undanger réel pour le personnel en intervention. Afin de sensibiliser ses clients, legroupe sanef mettracette année en œuvre une nouvelle campagne sécurité qui les invitera à anticiper leur changement de voie et à réduire leur vitesse avant les zones de chantier.

8 DOSSIER DE PRESSE Les Observatoires sanef e 3 édition juillet 2014

CONCLUSIONS

Les comportements à risques sur l’autoroute mettent en danger l’ensemble des conducteurs : mauvaise occupation des voies de circulation, non-usage du clignotant, distances de sécurité mal respectées, etc. Par distraction, méconnaissance ou imprudence, ils demeurent très fréquents et très dangereux. Or la répression ne peut que difficilement s’appliquer pour lutter contre ces comportements. C’est donc à la sensibilisation et à la prévention qu’il faut œuvrer.

En créant l’Observatoire des Comportements sur Autoroute en 2012, legroupe sanef asouhaité mesurer les comportements relatifs au partage de l’autoroute et suivre leur évolution d’une année sur l’autre. Pour la première fois en France, une étude s’appuyant sur des données tangibles et statistiques, et non sur des éléments déclaratifs des utilisateurs de l’autoroute, a révélé l’importance et la fréquence de certains comportements dits « à risques ». Jusque là, seules la vitesse et les distances de sécurité avaient été observées de cette manière.

L’objectif premier de l’Observatoiresanefde comprendre ces attitudes afin de mettre en place des actions est de sensibilisation ciblées destinées à ses clients. En 2013, la seule amélioration notable relevée par l’Observatoire sanefle respect des distances de sécurité. Ces observations faisaient suite à la campagne dédiée concernait menée par legroupe sanefsuite aux résultats de l’Observatoire 2012, confortant ainsi le groupe dans le bienfondé de sa démarche.

Cette année, les résultats montrent que le clignotant est désormais bien mieux utilisé par les conducteurs, et que le respect des distances de sécurité continue à s’améliorer. Ces changements notables de comportement peuvent en partie être portés au crédit des campagnes sécurité « CLIGNOTEZ ! » et « GARDEZ VOS DISTANCES ! » menées par le groupe sanef.

En choisissant de mettre en œuvre des campagnes de sensibilisation adaptées et ciblées, définies grâce aux résultats scientifiques obtenus chaque année par l’Observatoiresanef, legroupe sanefcontribue à rendre l’autoroute plus agréable et plus sûre.

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