Agent X 27 de Josef von Sternberg
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Fiche produite par le Centre de Documentation du Cinéma[s] Le France.
Site : abc-lefrance.com

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Publié le 08 décembre 2011
Nombre de lectures 36
Langue Français

Extrait

Agent X 27 Dishonored de Josef von St FICHE FILM Fiche technique
USA - 1931 - 1h31 N. & B.
RÈalisation et scÈnario : Josef von Sternberg
Musique : Les flots du Danube de Ianovici(leitmotiv du film), Sonate au clair de lune de Beethoven, et Composition originale deJosef von Sternberg
InterprËtes : MarlËne Dietrich (X 27) Victor McLaglen (Lieutenant Kranau) Lew Cody (Colonel Kovrin) Gustave von Seyffertitz (Chef des services secrets autrichiens) Warner Oland (GÈnÈral von Hindau) Barry Norton (Le jeune lieutenant)
L E
MarlËne Dietrich (X 27)
D O C U M E N T
Critique
Il brille comme un diamant noir. Il est l plus beau et de tous les films d Sternberg et de tous ceux interprÈtÈs pa MarlËne. Car jamais MarlËne ne fut ‡ c point insolente, dÈtachÈe, souveraine Car jamais metteur en scËne nÕosa, av cette superbe, magnifier le genre feuille tonnesque. Vienne, 1917. LÕarmÈe autrichienn essuie revers sur revers. Un traÓtre fai partie de lÕÈtat-major. Le chef des se vices secrets engage la jeune veuve dÕ capitaine (MarlËne Dietrich), que la mor de son mari a rÈduite ‡ la prostitution Elle nÕa plus rien ‡ perdre, ´Ni la mort n la vie ne me font peurª, dit-elle, et ell est prÍte ‡ tout risquer pour son pays ´Un pays qui se moque bien de vousª, lu avait pourtant dit, de faÁon prÈmonitoire le chef des services secrets. Peu lu importe: elle devient lÕagent X 27. AprËs cette ouverture rapide, drÙle, l film devient la succession des plu grands moments dÕun invraisemblabl feuilleton. Sans transition - sinon par le plus belles surimpressions de toute lÕhi toire du cinÈma - se succËdent un ba masquÈ, la scËne de sÈduction au cour de laquelle X 27 prouve la culpabilitÈ d suspect, la dÈcouverte dÕun espion rus (Victor McLaglen) dans une mystÈrieus salle de jeu, la revanche de lÕespion q lÕa suivie chez elle, IÕinvraisembla exploit dÕX 27 qui parvient, dÈguisÈe paysanne russe, ‡ sÕinfiltrer chez lÕen mi, comment elle est prise, comment ell sÕÈchappe, comment enfin, par amou elle favorisera la fuite de lÕespionÉ Mais rien ne nous semble invraisem blable. Par la beautÈ fulgurante de images de Sternberg, (qui exprimen lÕessence mÍme de chaque situation), p lÕinterprÈtation prodigieuse de MarlËn Dietrich, tout devient Èvident. Chaque sÈquence est un tableau superb dont MarlËne est le centre, chaque foi diffÈrente, toujours Èblouissante, chaqu fois vÍtue, coiffÈe diffÈremment, toujo
superbe dÕarrogance et dÕironie, dÕorg et dÕhumour, de courage... CarAgent X27(au titre original stupide Dishonored, imposÈ par la Paramount, e dÈpit des protestations de Sternberg) es un hymne au courage. X 27 sauve pa amour un bell‚tre qui ne le mÈrite mÍm pas puisquÕil sait bien quÕelle va payer sa vie la libertÈ quÕelle lui rend, mais ell ne se dÈshonore pas, elle ne trahit pas Simplement, elle choisit la vie dans u monde de mort. Et elle mourra de tell faÁon que sa mort mÍme est un dÈfi ‡ l mort. La derniËre sÈquence est inoubliable e on ne se lasse jamais de la revoir. X 2 va Ítre fusillÈe. Et MarlËne ajuste so chapeau en se mirant dans le sabre dÕu jeune lieutenant. MarlËne refuse le bandeau noir et sÕe sert pour essuyer les larmes du jeun homme. Celui-ci refuse alors de donne lÕordre de tirer et, tranquillemen MarlËne profite de ce rÈpit pour s remettre du rouge ‡ lËvre et remonte son bas... Le courage , oui, cÕest bien ce mÈpris d la mort, ce go˚t du panache, cette indif fÈrence - vraie ou feinte. Claude-Marie TrÈmoi TÈlÈrama du 22 au 28 janvier 198
La reprise dÕX 27tournÈ en 1931 pa Josef von Sternberg avec MarlËn Dietrich invite ‡ une nouvelle cÈlÈbratio du mythe. Un jour de pluie, sur un pan de trottoir deux jambes de femme stationnent pieds campÈs dans des chaussures talons hauts prËs dÕun rÈverbËre. LÕ des bas a glissÈ, faisant une poche sur l genou. La femme remonte sa jupe e rajuste le bas. La camÈra dÈcouvre, alors MarlËne Dietrich, une voilette sur le visa ge et drapÈe dans un manteau dont l garniture de fourrure ressemble au pela ge dÕun chien mouillÈ. Nous sommes Vienne, en 1915. Veuve dÕun officier mo au champ dÕhonneur, MarlËne se prost
SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 R…PONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.25.11.83
le deuxiËme film amÈricain (aprËs Morocco) quÕelle tourna, en 1931, sous la direction de Josef von Sternberg. Contre la volontÈ du cinÈaste, la Paramount lÕavait titrÈDishonored. Dans un film franÁais des annÈes 30, une telle situation - il y en eut - aurait paru ´naturalisteª, un peu graveleuse. On peut dire que la mise en scËne de Sternberg donne une certaine dignitÈ ‡ cette appa-rition dÕune bourgeoise tombÈe au trot-toir. Mais aussi, tel est le mythe de MarlËne que la fascination joue. DÕautant que, dans le plan suivant, refu-sant lÕÈmotion de badauds assistant au dÈpart pour la morgue dÕune autre prosti-tuÈe qui vient de se suicider au gaz, la veuve du capitaine Koligrand dÈclare, avec une indiffÈrence hautaine: ´Je nÕai pas peur de la mort, je nÕai pas peur de la vieEt si on en profitait, sans nier son pou-voir, sa prÈsence, pour le laisser un peu de cÙtÈ, ce mythe, pour voir o˘ en Ètait, ‡ ce point de sa carriËre de star hollywoo-dienne, une actrice nommÈe MarlËne Dietrich jouant ici - sur un scÈnario ima-ginÈ par Sternberg, - une prostituÈe recrutÈe par les services secrets autri-chiens, dÈsignÈe sous le code X 27 et chargÈe de dÈmasquer un officier russe, espion infiltrÈ. MarlËne a encore les joues rondes, le nez retroussÈ, les hanches un peu larges de Lola-Lola, la chanteuse delÕAnge bleudont elle retrouve les maniËres, le dÈshabillÈ et les mules ornÈes de cygnes, la faÁon de sÕasseoir. La sophisti-cation du maquillage nÕa pas effacÈ le visage naturel, le corps Èpanoui nÕa pas cÈdÈ, semble-t-il, aux cures dÕamaigris-sement. Mais, aprËs deux films avec Sternberg, dont le premier, ‡ Berlin, lui a permis de voler la vedette ‡ lÕÈnorme cabotin Emil Jannings, MarlËne, actrice dÈj‡ expÈrimentÈe, a appris ‡ se servir de son charme Èrotique en y ajoutant lÕinsolence. Voyez-la marcher, dans les interminables couloirs du quartier gÈnÈral du service de
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la tÍte, elle avance dÕun pas assurÈ, sol de, elle affirme, dans la composition d ce personnage qui va passer de la prosti tution ‡ ´lÕignoble mÈtierª dÕespion IÕÈnergie prussienne quÕelle tient de s origines, de son Èducation. MarlËne Dietrich emprunte ici au conceptions de Sternberg ce qui peut lui permettre, dans la discipline des studio hollywoodiens, de rÈaliser sa personnali tÈ. LÕaigreur et la mÈchancetÈ do Sternberg, dans ses mÈmoires, fit preuv ‡ son Ègard, montre bien qu ´Pygmalionª eut affaire ‡ forte partie. L scÈnario dÕ X 27 exige que lÕespion tombe amoureuse de celui quÕell dÈmasque et fait capturer. Dans le jeu du plus rusÈ quÕelle mËn avec Victor McLaglen, elle trouve en so partenaire (plus connu par ses rÙles che John Ford) une insolence Ègale ‡ la sien ne. Curieux duel o˘ lÕactrice, parfait ment consciente de ses possibilitÈs, sui son propre chemin, se plie aux nÈcessi tÈs de la mise en scËne pour mieux le dominer. HabillÈe par Travis Banton, u styliste remodelant la mode de 1915 su celle de 1930, elle surgit, dans un bal masquÈ de la Saint-Sylvestre, coiffÈ dÕun heaume, dÈgageant juste son sour re, et ornÈ dÕune immense criniËre d cheval. Elle porte une robe noire et cour te, ‡ paillettes. Elle Èvoque ainsi les tra vestis masculins des opÈras de Rossini TancrËde et Semiramis. Elle accompli les gestes de la sÈduction la plus raco leuse quand il le faut, reste une femm libre et lucide, de dÈguisement en dÈgui sement. Quand MarlËne sourit, en lais sant tomber comme une invite, un peu d cendre de cigarette, quand elle joue l Sonate au clair de lunesur un piano queue, se transforme en paysanne boniche ‡ lÕÈtat-major russe, ou revÍ une combinaison dÕaviateur, comment n pas admirer, avant tout, le travail dÕactr ce ? Le matin de cette exÈcution, en sa cellu le, MarlËne, vÍtue de son ancien costu me de demi-mondaine, plaque sur u piano, ‡ en rompre les touches, les note
dÕune valse qui nÕa pas la langue romantique duBeau Danube bleu. Pou bien placer sa voilette, elle se mire dans la lame du sabre du jeune lieutenant qui doit commander le peloton. Dans la cou enneigÈe, il craque, et elle essuie ses larmes avec le bandeau quÕelle refuse d mettre sur ses yeux pour mourir fusillÈe. Pendant la confusion qui suit, elle passe son b‚ton de rouge sur sa lËvre et rajus te, comme au dÈbut, son bas. ScËne cÈlËbres, citÈes avec dÈvotion par les cinÈphiles. Sternberg les a inventÈes e filmÈes. Mais il nÕa pu inventer cett intelligence et cette dÈtermination quÕavait son interprËte ‡ Ítre, pour l monde entier, MarlËne Dietrich, cÕest-dire elle-mÍme. Le mythe est venu, si lÕon peut dire, en plus. Jacques Siclie Le monde, le 30 janvier 198
SÕil nÕy avait que le scÈnario deAgent 27pour assurer la rÈputation de ce film, il y a bien longtemps quÕon nÕen parler plus. Car il ne sÕagit que dÕune histoi fort conventionnelle au cours de laquell une belle espionne refuse soudain d faire son mÈtier tandis quÕun officier q lÕaime refuse de procÈder ‡ son exÈc tion. En somme, un mÈli-mÈlo, une de ces his toires b‚tardes et invraisemblables qu quelquefois Hollywood nous assÈna. Seulement, il y a un mais, il y en a mÍme deux. Il y a Josef von Sternberg, il y a MarlËne Dietrich. CÕest un couple, mais un couple sulf reux. Lui aime et hait tout ‡ la fois la sublime star quÕil dÈcouvre ‡ Berlin. Ell en retour, Èprouve les mÍmes senti ments. A eux deux ils sont diaboliques dans la vie et dans leur film. Et dÕabord, ils sont artistes exprima fondamentalement lÕart baroque. Peu Ítre pour la premiËre fois le cinÈma se mesure-t-il aux dimensions de cet art qui est le plus mystÈrieux et le plus singulier du monde. Alors ‡eux deuxils inventent unela-
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nËte, un univers. Cela donneLÕimpÈra-trice rouge,ShangaÔ Expresset ce film, de seconde zone peut-Ítre mais intÈressant, quÕestAgent X 27. On ne peut pas ne pas se souvenir de certaines scËnes et notamment celle de lÕexÈcution. Comment oublier successive-ment le piano sur lequel MarlËne Dietrich exÈcute quelques notes qui rap-pellent le passÈ, le petit chien quÕelle tient serrÈ contre sa poitrine, le sabre que lui tend lÕofficier amoureux pour lui servir de miroir, enfin la silhouette de la vedette en tailleur presque Chanel se dirigeant ‡ pas ÈlÈgants mais s˚rs vers le peloton dÕexÈcution ? CÕest invraisem-blable, cÕest dÈlirant, mais cÕest superbe. Nous avons l‡ la vision presque pure du spectacle parfait, celui qui dÈcolle et fra-casse les notions bien terre ‡ terre du temps et de lÕespace. Henri-FranÁois. Rey Le Figaro, le 2 fÈvrier 1983
Le rÈalisateur
Il est peu dÕexemples ‡ Hollywood dÕune vie artistique aussi meurtrie, aussi bri-sÈe que celle de Josef von Sternberg, dont lÕessentiel de lÕoeuvre se rÈduit ‡ une dÈcennie entreLes chasseurs de salut(1925) etLa femme et le pantin 1935). La plupart de ses treize films rÈa-lisÈs pendant cette pÈriode ont ÈtÈ pro-duits par Paramount, la compagnie la plus sophistiquÈe, la plus cosmopolite de lÕÈpoque, la plus ‡ mÍme donc de comprendre ses ambitions esthÈtiques. Sternberg sÕinscrit ‡ contre-courant des deux tendances profondes - depuis Griffith - du cinÈma amÈricain, la reprÈ-sentation et la narration. Il est en un sens lÕhÈritier de Maurice Tourneur, ce FranÁais ÈmigrÈ en Californie qui signa des films picturaux o˘ tout Ètait sacrifiÈ ‡ lÕatmosphËre et au dÈcor. Avec inso-lence Sternberg affichait le plus profond mÈpris pour toute idÈe de causalitÈ dans
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dÕun milieu prÈcis. Il a voulu crÈer uplumes (Shanghai Epress), dÕune peaUnderworld1927 monde autonome gouvernÈ par sesde gorille (Blonde VÈnus), dÕun smLes nuits de Chicago propres lois.king (Morocco) ou dÕun uniformThe last command1928 Pour continuer ‡ crÈer dans une indus-(LÕimpÈratrice rouge). Cette crÈaturCrÈpuscule de gloire trie toute-puissante face aux artistes, ilandrogyne entretient un rapport sadoThe dragnet1928 lui fallut ruser. Et puisque nÕimportmasochiste avec des hommes plus ‚gÈs,La rafle quelle histoire lui convenait, il adoptavictimes consentantes, parfois ÈtrangeThe docks of New York1928 les formules en usage pour mieux lesment proches par leur allure physique dLes damnÈs de lÕocÈan subvertir. Des sept grands films quÕmetteur en scËne lui-mÍme tels AdolphThunderbolt1929 tourna avec MarlËne Dietrich, IÕuMenjou (Morocco) ou Lionel Atwill (LLÕassommeur appartient au genre de lÕaventure colfemme et le pantin). Betty CompsoThe case of Lena Smith1929 niale (Moroccodans), un autre au filmLes damnÈs de lÕocÈan, GenLe calvaire de Lena X dÕespionnage (X 27Tierney dans), un troisiËme auShanghai GestureoDer Blaue Engel1930 film historique (LÕimpÈratrice roug) AkemiNegishi dansAnatahanannonLÕange bleu un quatriËme au mÈlodrame familialcent ou rappellent MarlËne. Mais elleMorocco1930 (Blonde VÈnus), etc. Sternberg a sune sont pour Sternberg. comme tous seCÏurs br˚lÈs jouer mieux que personne avec les stÈ-comÈdiens, que des tubes de couleuAn american tragedy1931 rÈotypes du cinÈma populaire quÕil traitque IÕon Ètale sur une toile .Une tragÈdie amÈricaine avec une ironie cinglante .CÕest paradoxalement lÕautre graDishonored1931 Metteur en scËne baudelairien, il a crÈÈcinÈaste de Paramount, Ernst LubitschAgent X 27 un univers de symboles et vouÈ un cultedevenu directeur de la production, quiBlonde Venus1932 ‡ lÕart et au style, valeurs suprÍmes dlicencia Sternberg aprËs plusieurBlonde VÈnus son PanthÈon personnel. La lumiËre estÈchecs commerciaux. Pendant les trenShangaÔ express1932 la dÈesse que vÈnËre Sternberg, ce sontte-cinq ans quÕil lui restait ‡ vivrThe scarlet Empress1934 les jeux de la clartÈ et de lÕobscuritÈ qSternberg continua ‡ collectionner deLÕimpÈratrice rouge le fascinent et donnent leur sens ‡ sesoeuvres dÕart, signa quelques films saThe devil is a woman1935 films. Fait exceptionnel, il appartenait ‡importance et par deux fois put sÕexprLa femme et le pantin la sociÈtÈ des chefs opÈrateurs (ASC), etmer totalement dansShanghaiCrime and punishment1935 mÍme si la photographie de ses filmsGesture(1941) etAnatahan(1953) o˘Remords est signÈe de grands noms (Lee Garmes,il recrÈa une Óle du Pacifique en studioThe King steps out1936 Bert Glennon, Lucien Ballard), cÕest lregrettant que seule lÕeau ne soit paSa majestÈ est de sortie qui en supervisa le moindre dÈtail. Pourartificielle ! Dans cette oeuvre testaI Claudius LÕimpÈratrice rougeil a inspirÈ lesment, Sternberg, dont la voix comment(InachevÈ) dÈcors et les costumes, dirigÈlÕaction, illustre une fois de plus unSergent Madden1939 lÕOrchestre symphonique de Los Angelephrase clÈ deShanghai Gesture: ´IcAu service de la loi et mÍme composÈ un morceau de violontout peut arriver, ‡ nÕimporte quThe Shanghai gesture1941 pour une scËne de banquet, poussant ‡moment.ª. Il aura tÈmoignÈ du pouvoiShangaÔ lÕextrÍme son souci de contrÙle absolu.spirituel du cinÈma, de sa capacitÈThe town1944 LÕunivers de Sternberg est parallËlenous surprendre sans cesse par lÕexercMacao1952 notre univers mais ne le recoupe jamais.ce de la poÈsie .Le paradis des mauvais garÁons CÕest un espace clos, Ètouffant quMichel CimenThe Saga of Anatahan1953 sature dÕobjets et o˘ il multiplie leLes rebelles de HollywooFiËvre sur Anatahan rideaux, les filets, les voiles, les Ècrans,Jet Pilote1957 les portes coulissantes. LÕhomme et l femme y sont prisonniers, mais cet Filmographie enfermement les rend plus libres pour Documents disponibles au France lÕexpression de leurs dÈsirs. Ca Sternberg est le cinÈaste de la sexualitÈ Sternberg :Anthologie du cinÈma The salvation Hunters192 et du fantasme quÕaccentue le cadr Sublime MarlËne-Èd. Ramsay poche The masked bride192 exotique de ses actions. Il fÈtichise cinÈma The exquisite sinner192 MarlËne Dietrich en lÕhabillant d
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