La Femme du port de Ripstein Arturo
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Fiche produite par le Centre de Documentation du Cinéma[s] Le France.
Site : abc-lefrance.com

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Langue Français

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La femme du port La mujer del puerto de Arturo Ripstein FICHE FILM Fiche technique
Mexique - 1991 - 1h50 Couleur
RÈalisateur : Arturo Ripstein
ScÈnario : Paz Alicia Garciadiego dÕaprËs la nouvelle de Guy de Maupassant,Le port
Musique : Lucia Alvarez
InterprËtes : Patricia Reyes Spindola (Tomasa) Alejandro Parodi (Carmelo) Damian Alcazar (Marro) Evangelina Sosa (Perla) Ernesto Yanez (Eneas) Julian Pastor (Simon)
L E
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dÈfensive. Au-del‡ de notre tradition cinÈmatographique, au Mexique, la rÈa-litÈ elle-mÍme est trËs mÈlodramatique, voil‡ pourquoi nous tournons des mÈlos.ª Un ´mÈloª dans toute lÕacception d genre, avec ses poncifs et ses clichÈs, mais qui, par la magie dÕune mise e scËne flamboyante et funËbre, se hisse au rang dÕauthentique Ïuvre dÕart. Courrier Art et Essai n∞47 - 15 Mars 1996
DÕo˘ vient que les films dÕArtu Ripstein divisent autant les cinÈphiles que la tauromachie du CordobÈs divisait les aficionados ?La femme du portne fera pas exception ‡ la rËgle : tout com-mence par une romance en allemand, qui pourrait Ítre chantÈe par MarlËne si on nÕÈtait pas dans un film en couleur malgrÈ les deux premiËres images en noir et blanc que lÕon aperÁoit un fugit instant et que je suppose tirÈes du film dÕArcady Boytler (1933). Et cette roma ce, qui nÕest pas chantÈe par MarlËn parce que justement on est dans un film en couleurs - et quelles couleurs ! -, elle berce deux marins retenus ‡ bord en quarantaine, alors que les copains sont allÈs tirer une bordÈe en ville. A la fin du gÈnÈrique, Marro Èteint le transistor, finit par comprendre que son compa-gnon est passÈ de vie ‡ trÈpas, essaie quand mÍme de le secouer un peu pour la forme et sÕenfuit, pour atterrir dans u bordel o˘ sa petite sÏur (quÕil nÕa p vue depuis dix ans), costumÈe en sirËne de lÕAmour (il ne la reconnaÓt pas, jou les reines de la fellation derriËre un rideau transparent (on voit tout). Coquin de sort, ou plutÙt putain de vie (en mexi-cain dans le texte) ! cÕest prÈcisÈment l genre de lieu clos quÕaffectionne Artur Ripstein pour prÈsenter ´IÕenvers de l mÈdaille, le cÙtÈ obscur du mÈlodrameª, quÕil sÕattache ‡ dÈvoiler depuis tren ans. DÈvoiler est le terme, et ce nÕest ce nement pas un hasard si les rideaux tissus en tous genres (voilages trans rents, ouverts ou tirÈs, rideau jetÈ sur cadavre du pËre, couvertures et tis usagÈs empilÈs ‡ mÍme le sol, ban molletiËres en simili-serpilliËre
nouÈes autour des jambes de la mËr constituent un ÈlÈment essentiel d dÈcor. Les trois parties du film - chacun portant le nom du protagoniste dont ell privilÈgie le point de vue, successive ment Marro (le fils), Perla (la fille) Tomasa (la mËre) - nous font progressi vement pÈnÈtrer dans un univers beau coup plus sordide et une intrigue beau coup plus ÈlaborÈe que ceux de la nou velle de Maupassant dont il sÕinspire. partir dÕun rÈcit de trois pages, qui s rÈsumait ‡ IÕaccomplissement de c inceste involontaire et sÕachevait (po le lecteur surpris comme pour les per sonnages accablÈs) par la dÈcouvert des liens familiaux unissant le marin e la prostituÈe, la scÈnariste Paz Alici Garciadiego a construit un mÈlodram riche et complexe o˘ lÕon retrouve le thËmes chers ‡ Ripstein (obsession de l puretÈ, mise en Èvidence du sadism familial exigeant des sacrifices humains piÈtÈ naÔve ‡ la mesure de la dÈprava tion des protagonistes.) Bien que le rÈa lisateur se soit toujours dÈfendu dÕavo voulu faire un mÈlodrame , cÕest un vÈritable avalanche de pÈripÈties vio lentes, filmÈes avec un Èvident souci d naturalisme et accompagnÈes de dÈcla rations dÈclamÈes sur le mode thÈ‚tral quÕil nous projette en pleine poitrine : l fils (enfant) a tuÈ son pËre (maquereau pour protÈger sa mËre (prostituÈe) et s petite sÏur (bÈbÈ) avant de se sauver et de rÈapparaÓtre dix ans plus tard (a dÈbut du film) ; la mËre a rendu so amant impuissant ‡ coup de syphilis, e maintenant elle avorte sa fille avec u cintre (mais cÕest pour son bien.) Si le film Ètait tournÈ sur le mode paro dique, tout irait ´pour le mieuxª : l spectateur, rassurÈ, saurait o˘ il se trou ve, rirait quand on lui dit de rire, et l film ne susciterait aucune polÈmique. Si les dialogues Ètaient moins thÈ‚traux e permettaient lÕÈmotion, si lÕesthÈtiq ne le disputait pas au naturalisme, si l construction Ètait plus simpliste, si l
SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 R…PONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.25.11.83
Ítre dans ce quÕil fait feu de tout bois et - tout en sÕinscrivant dans le cadre dÕun mÈlodrame naturaliste - nÕhÈsite pas ‡ pratiquer le mÈlange des genres. CÕest ainsi que, dans la version ´Perlaª de lÕavortement, alors que la mËre sÕapproche de sa fille en dÈpliant le cintre avec dÈtermination et que le spectateur, horrifiÈ, sÕapprÍte ‡ suivre des dÈtails dÕune action aussi crue que les scËnes prÈcÈdentes, la camÈra quit-te le personnage et le retrouve vu de dos, dans un miroir tellement abÓmÈ quÕil donne ‡ la scËne un caractËre irrÈel. La seconde version de cet Èpisode Èclaire la premiËre : racontÈ par la mËre, IÕavortement devient un acte que sa fille lÕaurait suppliÈ dÕaccomplir, chacun des personnages en rejetant la culpabilitÈ sur lÕautre. Lehappy endingfinal contre-dit les deux versions, et achËve de dÈrouter le spectateur qui croyait encore ‡ la loi du genre : Perla nÕa pas avortÈ du tout, et Arturo Ripstein sÕen est expli-quÈ en des termes dont il nÕest pas inutile de souligner lÕironie :L´e noyau familial - que nous apprÈcions tant - se trouve prÈservÈ : frËre et sÏur devien-nent mari et femme, parents dÕune famille trËs heureuse et un peu mongo-loÔde.ª LÕÈmotion surgit o˘ on ne lÕattend pas, dans cet espace de libertÈ, dans les quelques minutes pendant lesquelles Carmelo (le pianiste jadis syphilisÈ par Tomasa) se bat contre le sort - et le patron du bordel - pour rÈcupÈrer son bien : un aquarium plus grand que tous les navires, plus bleu que toutes les mers, qui brillera de tous ses feux dans lehappy endingfinal. Mais aussi, dËs le dÈbut du film, lorsque Marro, perdu dans les rues sous une pluie battante, demande son chemin ‡ une femme assi-se que les trombes dÕeau nÕempÍchent pas de lire, et qui nous rappelle fort ‡ propos quÕArturo Ripstein fut lÕassistant de Luis BuÒuel. Catherine Axelrad ∞ -
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La femme du portsort enfin dÕun pu gatoire de cinq ans o˘ lÕavaient maint nu les alÈas de la distribution. Il succË-de, dans les salles, ‡ deux films postÈ-rieurs (Principio y FinetLa reine de la nuit) qui ont, entre-temps dÈfinitive-ment installÈ le Mexicain Arturo Ripstein comme cinÈaste dÕenvergur internationale. LorsquÕil fut prÈsentÈ a Festival de Cannes, en 1991, dans le cadre de la sÈlectionUn certain regard, le film fut plutÙt mal accueilli. Pour des raisons sans doute contradictoires : IÕaspect abstrait, presque thÈorique d sa construction, et la violente cruditÈ des situations dÈcrites. Bien quÕinspirÈ par une nouvelle d Maupassant,La femme du portse rat-tache ‡ la tradition mexicaine du mÈlo-drame, dont il dÈnude lÕidÈologie. U marin tombe amoureux dÕune prostituÈ tente de la dÈlivrer de lÕemprise de so maquereau et de sa propre mËre jusquÕ ce quÕil dÈcouvre quÕil sÕagit de propre sÏur, perdue de vue depuis quÕi a quittÈ, enfant, sa famille ‡ la suite dÕun drame. Sur cette situation de bas Arturo Ripstein empile trois rÈcits qui sont autant de variations dÈbouchant sur une conclusion diffÈrente. Cette accumulation dÈlirante de clichÈs natu-ralistes dÈtruit les conventions du mÈlo-drame latin, qui repose sur la rÈvÈlation de vÈritÈs sordides justifiant une attitu-de soit moralisatrice, soit dÈsenchantÈe. Dans lÕunivers deLa femme du port, le pire est toujours s˚r : inceste, exploita-tion sexuelle,avortement sanglant, sui-cide, pÈdophilie, parricide, en remontant toute la chaÓne des effets aux causes, le scÈnario dÈcouvre, ‡ chaque fois, une nouvelle turpitude et un nouveau trau-matisme. CÕest que Ripstein joue avec virtuosit sur les rÈactions du spectateur, sur son dÈsir mÈlangÈ de frayeur de voir ce quÕ nÕa pas envie de voir. Cette accumul tion dÕignominies devient ainsi par doxalement une construction abstraite, un voyage dans lÕinconscient du mÈl drame. DÕautant que Ripstein dÈjoue le piËges de lÕidentification gr‚ce ‡ u parti pris thÈ‚tral enfermant ses person-nages dans trois ou quatre lieux et dÈcrivant leurs pulsions et leurs comp-tements par de trËs longs pla
Sommet dÕhumour noir,La femme d portoffre aussi un mode dÕemploi idÈ pour entrer dans le cinÈma dÕArtur Ripstein. Jean-FranÁois Rauge Le Monde - Jeudi 28 Mars 199
Entretien avec Artur Ripstein et Paz Alici Garciadiego
Vous avez travaillÈ ensemble sur cinq films, dont deux sont des adaptations dÕaprËs un auteur Ètranger, Guy d Maupassant et Naguib Mahfouz. Paz Alicia Garciadiego : LÕorigine deL femme du port(La mujer del puert 1991) nÕest pas ‡ proprement parler li tÈraire : le point de dÈpart est une rÈfÈ rence du cinÈma mexicain. Un jour nou bavardions avec Emilio Garcia Riera, cri-tique assez connu au Mexique et il prÈ tendait que notre spÈcialitÈ Ètait d souiller les femmes. Or la premiËre ver-sion deLa mujer del puerto(Arcad Boytler 1933) Ètait une Ïuvre trËs styli-sÈe avec une putain ‡ la MarlËne Dietrich habillÈe dÕune robe de soie de longs gants. Arturo Ripstein : Il mÕest alors ven lÕidÈe de tourner une nouvelle version d La femme du portpauvre et misÈrable. Je nÕai jamais vu le film de 1933 e entier je connais des fragments mais j sais de quoi il sÕagissait. Et jÕignor alors le conte de Maupassant que nou avons lu uniquement aprËs avoir dÈcid de refaire le film. Le rÈcit ne fait que deux pages et il a ÈtÈ adaptÈ en son temps par TolstoÔ grand admirateur d Maupassant qui en fit un conte russe. L film dÕArcady Boytler est devenu repr sentatif du cinÈma de faubourg du cinÈ ma de prostituÈes o˘ la nuit devient u protagoniste. Notre version est la qua-triËme ou la cinquiËme, je nÕen suis pa s˚r. Il sÕagit dÕun marin qui arrive da un port, se rend au bordel et la pute sÕavËre Ítre sa soeur. Toutes les ve sions se terminent de faÁon tragiqu sauf la nÙtre qui dÈbouche sur un happ
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prÈservÈ : frËre et sÏur deviennent mari et femme, parents dÕune famille trËs heureuse et un peu mongoloÔde. Et la mËre vit avec lÕancien amant impuissant qui lui donna jadis la syphilis : un vrai bonheur !
Lors dÕune de nos premiËres rencontres, Ripstein repoussa un quelconque rap-port avec le mÈlodrame, alors que Paz Alicia Garciadiego au contraire revendi-quait le mÈlo dans votre travail. AprËs Principio y fin(1993) etLa reine de la nuit(1994), il nÕest plus possible de nier lÕÈvidence. Comment vous Ítes-vous rÈconciliÈs avec le genre par excel-lence du cinÈma mexicain ? A.R. Je viens sans doute dÕune tradition cinÈmatographique qui suppose lÕexis-tence dÕun mÈlodrame en tant que genre. Mais le mÈlo mexicain dans son essence nationale exalte la famille, la patrie, la religion, les valeurs dÕune cer-taine bourgeoisie qui avait besoin de sÕaffirmer. Lorsque nous utilisons aujourdÕhui les ressorts du genre, nous leur donnons un tour dÕÈcrou, nous prÈ-sentons lÕenvers de la mÈdaille, le cÙtÈ obscur du mÈlodrame. Nos familles sont atroces, dÈsagrÈables. Non seulement elles ne sauraient Ítre exemplaires, elles ne sont mÍme pas valables en tant que noyau social ÈlÈmentaire. Cela dit, je ne mÕinsËre pas dans un genre ‡ prio-ri, je ne me dis pas: Filmons un mÈlo, ainsi que je pourrais le dire dÕun autre genre comme le western. Le mÈlodrame est une rÈsultante, non pas la prÈmisse ‡ lÕÈlaboration du film. Parfois il est dif-ficile de faire la part entre la rÈalitÈ mexicaine et un genre aussi facilement reconnaissable. Je ne saurais dÕailleurs me prononcer sur le genre auquel appar-tientLos olvidadosde BuÒuel. Je ne sais pas siLa femme du portetLa reine de la nuitentretiennent des liens trËs rigoureux avec le mÈlo. Le thÈ‚tre nous a lÈguÈ la mauvaise habitude de classifier les Ïuvres : tragÈdie, comÈ-die... Le cinÈma possËde une toute autre vitalitÈ, et une manie du classement ne me vient pas ‡ lÕesprit lorsque je tourne. Le mÈlodrame ayant perdu vigueur et acquis une connotation pÈjorative, cela
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Il ne sÕagit pas dÕapprÈcier lÕinsertio vos films dans le genre, mais de perce voir le mÈlodrame comme une rÈfÈrenc prÈsente et un matÈriau sur lequel vou travaillez. NÕest-ce pas la famille q vous amËne au mÈlo ? P.A.G. Exactement, cÕest lÕimportance noyau familial qui fait Èvoluer le fil vers le mÈlodrame. Les derniers films n prÈsentent pas la famille comme l noyau de la construction de lÕindivid mais de sa destruction. En ce sens, nou pourrions parler dÕanti-mÈlo. A.R Au-del‡ de notre tradition cinÈmato graphique, au Mexique, la rÈalitÈ elle mÍme est trËs mÈlodramatique, voil pourquoi nous tournons des mÈlos. P.A.G. Ceci Ètant, il faudrait se deman der pourquoi nos films sont centrÈs su la famille. Nous y arrivons parfois san nous en rendre compte...
MÍme dansLa femme du port, vou avez confÈrÈ ‡ la mËre une importanc dramatique quÕelle nÕavait pas ‡ IÕor ne... A.R En effet, ni chez Maupassant, ni dans IÕadaptation de TolstoÔ, ni dans l versions filmiques antÈrieures. Che nous, la mËre devient le tÈmoin privilÈ giÈ, IÕambassadeur plÈnipotentiaire d la conscience du public, ‡ la maniËre d ces personnages de Shakespeare qui l reprÈsentent lui-mÍme dans ses Ïuvres et observent, regardent, distinguent o donnent la rÈplique. La mËre est le vÈri table agent du scandale.
Il y a souvent des suicides dans votre fil mographie (La femme du port Principio y finetLa reine de la nuit). A.R. Les trois films constituent un trip tyque plutÙt quÕune trilogie. Il y a troi instances du suicide.La femme du por commence par un suicide ratÈ. Car un femme qui se jetterait ‡ la mer, dans u port plein de marins, comme cÕest le c dans la version dÕArcady Boytler, il e Èvident que les gens se prÈcipitent et l sauvent. Il ne peut y avoir de suicid dans un port, ‡ cÙtÈ dÕun bateau. Apr ce triptyque, nous en avons dÈsormai fini avec les suicides... Dossier Distributeu
Los otros niÒos1974 Le rÈalisateur Tiempo de correr Lecumberri, el Palacio Negro1976 El borracho NÈ ‡ Mexico le 13 DÈcembre 1943, il La causa le fils dÕAlfredo Ripstein Jr., cÈlËbre ducteur de films. Il Ètudie le droi lÕUniversitÈ de Mexico (UNAM),lÕhi Longs mÈtrages de lÕart ‡ lÕuniversitÈ IbÈro-amÈric et lÕhistoire au CollËge de Mexico. Tiempo de morir1965 1962 ‡ 1965, il est lÕassistant de Ho1966 BuÒuel surLÕange exterminateu Èpisode deJuego peligroso(Jeux dan-Simon du dÈsert. Il est Ègalem gereux) comÈdien, notamment dansLoss Los recuerdos del porvenir1968 Rosesde William Inge. En 1965, il rÈ Les souvenirs de lÕavenir se son premier film,Tiempo de mo La hora de los ninos1969 dÕaprËs un scÈnario de Gabriel Ga LÕheure des enfants Marquez, qui lui vaut immÈdiatem Salon independiente lÕintÈrÍt de la critique. AprËs lÕins El castillo de la pureza1971 desSouvenirs de lÕaveni,rsÕori il Le ch‚teau de la puretÈ vers un cinÈma plus expÈrimental, f Foxtrot1975 mant avec Felipe Cazals et Raf El lugar sin limites1977 Castanedo le groupe Cine independie Ce lieu sans limites de Mexico. La viuda negra Avec les sorties en France en 1994 La veuve noire trois filmsLe ch‚teau de la pure Cadena perpetua1978 Ce lieu sans limitesetLÕempire Prison ‡ vie la fortune, suivies ensuite deLa rei La tia Alejandra de la nuit(en compÈtition ‡ Cannes La tante Alexandra mÍme annÈe) et dePrincipio y fin, La ilegal1979 public franÁais peut enfin dÈcouvrir LÕillÈgale plus grand cinÈaste mexicain contem La seduccion rain. La sÈduction Dossier Distribut Rastro de muerte1981 Trace de mort El otro1984 LÕautre El imperio de la Fortuna1985 Filmographie LÕempire de la fortune Mentiras piadosas1988 Mensonges pieux Courts mÈtrages La mujer del puerto1981 La femme du port Crimen19 Principio y fin1993 Crime DÈbut et fin La belleza La reina de la noche1994 La beautÈ Exorcismo Exorcisme Autobiografia19 Documents disponibles au France Documentaire Positif n∞422 Cahiers du CinÈma n∞501 El naufrago de la calle de
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