Providence de Resnais Alain
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Fiche produite par le Centre de Documentation du Cinéma[s] Le France.
Site : abc-lefrance.com

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Langue Français

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Providence de Alain Resnais FICHE FILM Fiche technique
France - 1977 - 1h50 Couleur
RÈalisateur : Alain Resnais
ScÈnario : David Mercer
Montage : Albert Jurgenson
Musique : Miklos Rozsa
InterprËtes : Dirk Bogarde (Claude Langham) Ellen Burstyn (Sonia Langham) John Gielgud (Clive Langham) David Warner (Kevin Woodford) Elaine Stritch (Helen et Molly) Peter Arne (Le domestique) Anna Wing (La servante)
L E
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entiËre et mille lieux autrefois visitÈs par ce voyageur impÈnitent. Or si, comme lÕaffirme Lewis Carroll, Londres est l capitale de Paris, si comme lÕaffirm aussi Borges chaque ville est le quartier dÕune ville unique qui les englobe toute alors on peut penser que Providence, qui est aussi une ville du Rhode Island, est la capitale dÕHiroshima, de Nevers, d Boulogne, de Marienbad, de ´Crespelª et de Barcelone. Remarquons que Resnais, qui est la disponibilitÈ mÍme, trace tou-jours (ou fait tracer) un itinÈraire gÈogra-phique ou psychologique de ses protago-nistes, et que son souci de construction (nÕimporte quelle construction, dit-i pourvu quÕil y en ait une) va jusquÕ‡ lÕ boration dÕun graphique plus ou moin semblable ‡ celui de Sylvette Baudrot pourMarienbad. Cette disponibilitÈ, on la retrouve dans chacun de ses hÈros (DiÈgo, Noyard, X ou Ridder), mais spÈ-cialement chez Clive Langham, qui est un dÈmiurge de lui-mÍme, un rÍveur impÈ-rial, un crÈateur dont les dÈcouvertes ne connaissent pas dÕau-del‡ (ou le connaissent tous). DÈmiurge, il lÕest puisque nous subi sons dans lÕordre quÕil lui plaÓt les di gations de son intellect, parce quÕil Ècr devant nous, pour lui plus que pour nous un roman qui est peut-Ítre une Èpitaphe, mais pas un testament, et dans lequel tous ses amis, parents ou alliÈs prennent ou Èchangent les identitÈs qui lui conviennent momentanÈment. Il distri-bue les rÙles, les retire (´Non, pas lui ! Cela ne peut aller !ª), les rectifie (Claude change de vÍtements sans raison appa-rente, Sonya parle soudain avec la voix du narrateur), les commente, les critique, les interprËte (´ Nous ne pouvons passer toute notre vie ‡ tout attribuer ‡ lÕenfa ce!ª) et les censure (´Molly, sors tout de suite de mon esprit !ª). Le choix des images est aussi le sien : il sÕattard pÈniblement pour nous sur une dissec-tion de cadavre sous le prÈtexte que son ami le docteur Eddington aimerait pr-quer lÕun de ces jours son autopsie, en rÈalitÈ, il se dissËque lui-mÍ
comme lÕun quelconque de ses perso nages, et vers la fin, totalement rÈaliste, du film, son fils Claude lui parlant du roman en cours lui demande - ´Qui Èvis-cËres-tu cette fois-ci?ª RÈponse : il Èvis-cËre la crÈation elle-mÍme. Bien que le scÈnario ait ÈtÈ entiËrement Ècrit par David Mercer, qui en sait fiche-trement long sur la psychanalyse et sur le processus du vieillissement (voir MorganetFamily Life), nous sommes tentÈs par un effet Bovary transfÈrÈ au rÈalisateur, dÕattribuer cet examen cl nique de la crÈation ‡ Resnais lui-mÍme, pas seulement parce que son travail de contrÙle du scÈnariste, insidieux et indo-lore, dotÈ dÕailleurs dÕun charme imm se, le rend ‡ demi responsable dÕun ce tain nombre dÕimages-clÈs, mais surto parce que nous disposons des autres films en rÈfÈrence. Les lÈzardes de la conscience, lÕenvahissement et la dÈgr dation de Providence, dont Mercer raconte que Resnais en a ordonnÈ la cohÈrence plastique au stade mÍme de lÕÈcriture, renvoient aux statues et au joueurs somnambuliques de Marienbad, ‡ la maison qui glisse de Muriel, aux panneaux signalÈtiques de la Guerre est finie, aux accidents dÈri-soires deJe tÕaime, je tÕaimequi allaient toujours dans le sens du dÈraillement, de lÕengourdissement, d la paralysie. Sans parler des prÈoccupa-tions du Resnais avant-fictions :Nuit et brouillard,Toute la mÈmoire du monde, lÕaveu dÕun projet concerna les ordures, tout gravite autour dÕu investissement du monde par le nÈant dÕune pÈtrification, dÕun ralentisseme qui atteint lÕankylose, dÕune rÈpÈtiti qui mËne ‡ la musique Èternelle des doutes, des mÈprises, des rencontres ratÈes, des injustices sans rÈponse. Sans pour autant que ce constat dÈsabusÈ exclue lÕaction morale, ou le jugeme politique sÕil y a lieu. Resnais, sÕil avec plus de scrupule que de tendance
SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 R…PONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.25.11.83
comme Clive un bolchevik sentimental, qui a plus dÕamour ´pour la rÈvolution que pour les rÈvolutionnairesª, et qui a dÈcidÈ comme Claude que ´la quÍte dÕun langage moral doit cÈder le terrain ‡ lÕincomprÈhensibleª. (É) Resnais, lorsquÕ‡ son habitude, il destine ‡ son scÈnariste la premiËre vision de lÕÏuvre en cours, a pour unique objet de le combler, mais aussi de le surprendre, de lÕÈclairer sur ses propres fantasmes. Et cÕest plaisir de le voir, sur une seule phrase du script, accumuler dans son montage vingt raccourcis illuminants, vingt analogies fulgurantes, vingt Èclate-ments de la conscience. Clive, off, pleu-rant comme un ´bÈbÈ braillardª, devant la diatribe accusatrice de son fils qui, dans une salle de tribunal irrationnelle-ment encombrÈe de tomes poussiÈreux, lui hurle : ´jÕai toujours admirÈ tes livres !ª est une digestion Èminemment crÈatrice, pour ne pas dire une Èlucida-tion totale du dialogue original. (Notons que Resnais a entiËrement bouleversÈ la chronologie des scËnes Ècrites par Mercer : ce passage qui figurait dans le premier tiers du film prÈcËde ‡ prÈsent le rÈveil de Clive Langham). De mÍme, Claude dÓnant avec sa prÈten-due maÓtresse Helen Wiener, partageant avec elle les crevettes roses et le chablis bien frappÈ de sa mËre, pendant que son frËre b‚tard se lave le visage dans une cuvette dÕeau rougie de sang, consomme la vraie fraternitÈ qui le lie ‡ ce libÈral hippie, militant inefficace mais obstinÈ. Enfin la toute-fictive Helen Wiener lors-quÕelle promet de mettre Claude dans son prochain roman ‡ elle, ignore quÕelle illustre ce faisant un chapitre du roman imaginÈ par Clive, mais Clive lui ne lÕignore pas, bien que tout ce ressasse-ment de sa surconscience lui serve sur lÕinstant ‡ se justifier dÕavoir mal com-pris son Èpouse Molly, suicidÈe peu ficti-ve. (É) Robert Benayoun ∞ -
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Perfection de la forme et intensitÈ de sentiments.ProvidencesÕÈcout comme un oratorio. Tout concourt, che Resnais, au triomphe de lÕimaginair Son cinÈma, sous les apparences du je intellectuel, a lÕambition de restituer a plus prËs le flux intÈrieur de la conscien ce. Son dÈfi nÕa jamais ÈtÈ relevÈ si pa faitement quÕavecProvidence. L hÈros, dans son terrible soliloque, clam soudain : ´On a souvent dit de mo Ïuvre que la recherche du style aboutis-sait au manque de sentiment. Je dirai plutÙt que, pour moi, le style, cÕest l sentiment mÍme.ª Ainsi de Resnais. Si Providencenous laisse les entraille remuÈes, le cÏur Ètreint, bouleversÈ par une beautÈ si limpide, cÕest bien que l perfection de la forme sÕest faite inte sitÈ des sentiments. VoiciProvidence. Dans une musicalit shakespearienne, la plus moderne de mÈditations sur la mort. Pierre Billar Le Point - 7 fÈvrier 197
Cette ribote de lÕimaginaire o˘ to devient sortilËge. Dans cette ribote d lÕimaginaire, on devine ce qui a p dÕabord sÈduire le Resnais d Marienbad: lÕÏuvre mobile, le ´jeu dÕune crÈation qui exhibe sans arroganc ses faux-pas et ses embardÈes. Glissements progressifs de lÕinventio Cette nuit on improvise. Mais Davi Mercer, scÈnariste, et Resnais ont s admirablement y inscrire, par touche subtiles, le bilan dÕune vie. La hantis surtout, de la dÈgradation et de la mort. Est-ce assez dire le pouvoir de sugges tion de cette Ïuvre ? Tout y devient sor-tilËge. La partition ÈchevelÈe de Miklo Rozsa. Le magnÈtisme des images due ‡ lÕopÈrateur Ricardo Aronovitch. L miroitant dialogue de Mercer, musicale ment modulÈ par un quintette de voi sous la baguette dÕun Resnais-Schu qui composerait ´Le Vieillard et la mor Michel Flac Le Point - 7 fÈvrier 19
Humour noir et ÈlÈgance. Nouveaut chez Resnais, on rit. DÕun rire bizarr probablement inquiÈtant, comme dÈpla cÈ, incongru, mais trËs rÈel. A coup s˚r, de lÕhumour noirÉ Il y a, dans le film, un footballeur qui nÕa rien ‡ voir ave lÕhistoire et qui, comme dan Hellzapoppin, passe et repasse a petit trot, sans rien voir autour de lui. Claude finit par lui dire : ´Noble sport, le football. Beau spectacle. Le propos e semble tout ‡ fait absurde, mais les dÈveloppements sont ÈlÈgantsª. Ainsi, sans doute, le jeu de la vie et de la mort, dÈcryptÈ dansProvidence. C monde en pleine dÈcomposition clam son absurditÈ. Reste lÕÈlÈgance. LÕÈl gance morale, ainsi dÈfinie par Claude, tout ‡ la fin du film : ´LÕhonnÍtetÈ. L scrupule. Le bon sens. La gÈnÈrositÈ. La tendresse.ª Pour pallier, si faire se peut, lÕÈvidente absence, ici-bas, dÕune qu conque Providence. Alain RÈmon TÈlÈrama - 9 fÈvrier 197
LÕart dÕexplorer lÕinvisible. Voyage au bout dÕune nuit, voyage.a bout dÕune vie : ainsi pourrait-on dÈfin Providence. Film pÈtri de toute un expÈrience humaine et o˘ chacun peu trouver lÕÈcho de ses propres problËme Film foisonnement, dÈdalÈen, trËs ´littÈ raireª dÕinspiration, mais coulÈ dans u moule spÈcifiquement cinÈmatogra phique. DÕun abord difficile ? Non, c les clefs du dÈlire, de lÕangoisse, nou sont clairement et rapidement donnÈes. Le mot ´chef-dÕÏuvreª a ÈtÈ si souven galvaudÈ quÕon hÈsite ‡ lÕappliquer film dÕAlain Resnais. Parlons plutÙt dÕ miraculeux accord entre lÕintelligence la sensibilitÈ, entre lÕart de filmer celui dÕexplorer lÕinvisible. Jean de Baroncelli Le Monde - 10 fÈvrier 197
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Un thriller mÈtaphysique. A travers les fantasmes dÕun vieil Ècri-vain ‡ lÕorÈe de la mort, en accord sans doute avec ceux de David Mercer, il est clair que Resnais a voulu traiter son film comme une sorte de ´thrillerª mÈtaphy-sique, o˘ la mort et la dÈchÈance occu-pent une place inaccoutumÈe dans les faits anecdotiques de personnages quÕon pourrait croire des crÈatures dÕun film noir aux lointaines rÈsonances. On peut penser par exemple auxForbans de la nuitde Dassin, o˘ Richard Widmark sÕenfuyait dans la nuit glauque dÕun Londres dÈj‡ fantomatique et inquiÈtant - mais dans un tout autre registre. NÕÈtait lÕironie mordante des personnages de David Mercer, le film serait sans doute dÕune morbiditÈ insou-tenable. Max Tessier Ecran 77 - 15 fÈvrier 1977
LÕombre et la lumiËre. Tout cela pourrait nous laisser sur un sentiment dÕinfinie tristesse, comme devant lÕagonie dÕun monde. Or, cÕest tout le contraire qui se produit. De mÍme que dansStavisky, cÕest un dÈsir Èperdu de vie qui lÕemporte, la volontÈ tenace de ne pas mourir. Ouvert sur des frondaisons nocturnes et des moisis-sures, le film se clÙt par un superbe panoramique sur une nature pacifiÈe. Les sÈductions trompeuses de lÕempire de lÕombre cËdent le pas ‡ un ruisselle-ment de lumiËre. Les desseins de la Providence ont beau Ítre impÈnÈtrables, la dÈmarche de lÕhomme qui va mourir se fait plus assurÈe, son regard plus clair. Au maelstrom morbide des pas-sions, ‡ la rumination du passÈ, ‡ la peur de la dÈcrÈpitude sÕest substituÈ quelque chose qui ressemble ‡ sÕy mÈprendre au bonheur. Claude Beylie -
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Une descente dans la vie intÈrieure. J Le rÈalisateurFilmographie ne pense pas que ce soit la vocatio dÕun film de devoir Ítre vu plusieurs foi Resnais a toujours su sÕentourer de cocourts mÈtrages : pour Ítre pleinement reÁu. Mais dan laborateurs de choix, quÕil tient ‡ ass celui-ci, comme toujours chez Resnais cier ‡ la rÈussite finale de ses "composiVan Gogh1948 la dÈconstruction du rÈcit nÕest aucun tions" : Marguerite Duras, Alain RobbeGuernica1950 ment un artifice. Elle est nÈcessaire Grillet, Jean Cayrol, JorgeSemprunGauguin1951 inhÈrente au sujet qui nÕexisterait mÍm David Mercer, Jean Gruault. Ses opÈraLes statues meurent aussi1953 plus si on Èliminait cette forme. teurs seraient Ègalement ‡ citerNuit et brouillard1956 Ce sujet implique une descente dans l Ghislain Cloquet, Sacha Vierny. MaiToute la mÈmoire du monde vie intÈrieure quÕAlain Resnais acco cÕest surtout par la musique que le coLe mystËre de l'atelier 151957 plit avec la rigueur la plus extrÍme. Il rant passe : celle-ci est signÈe GeorgeLe chant du StyrËne1958 renonce ‡ tout ce qui pourrait dÈtourne Delerue ouGiovanni Fusco, mais aussi de son propos, ‡ toute anecdote extÈ Hanns Eisler, Hans Werner Henze elongs mÈtrages : rieure. Aucune scËne dÕamour, aucu Krzysztof Penderecki. arriËre-plan politique explicite ; mai Les derniers films de Resnais vont danHiroshima mon amour1959 ´une atmosphËre dramatique entiËre le sens dÕune plus grande spontanÈitL'annÈe derniËre ‡ Marienbad1961 ment fondÈe sur les Èmotionsª. crÈatrice, dÕune seconde jeunesse, coretourMuriel, ou le temps d'un1963 Jean Delma binÈe avec une parfaite maÓtrise de lLa guerre est finie1966 Jeune CinÈma - mars 197 dramaturgie :roma LoinLa vie est undu Vietnam1967 (1983) est un somptueux opÈra bouffeJe t'aime, je t'aime1968 LÕamour ‡ mort(1984) un poËmStavisky1974 Toujours les mÍmes questions, le orphique ;MÈlo(1986) une pure visuaProvidence1976 mÍmes angoisses. lisation de la piËce de Bernstein, quiMon oncle d'AmÈrique1980 Nous voici, avecProvidence, confron affirme hardiment sa thÈ‚tralitÈ ; enfinLa vie est un roman1983 tÈs ‡ notre existence, dans la rÈalit I want to go home(1989) une joyeusL'amour ‡ mort1984 paradoxale. Nos souvenirs, nos Èmo rÈflexion sur la bande dessinÈe,conÁuMÈlo1986 tions, nos peurs, nos joies dÈfient l comme un exorcisme des caprices dI want to go home1989 temps dans nos mÈmoires et cependan monde moderne. LÕidÈal du cinÈastSmoking1993 nous trompent et le plus souvent, nou semble ÍtrelÕinstauration par le No smoking trompent ´pour de vraiª. Les images d moyens propres de lÕimage et du son, passÈ, ‡ la fois figÈes et mouvantes un "rÈcitatif total" (Robert Benayoun nous reviennent ‡ tout instant, fidËles e combinant les mÈandres de la pensÈe e trompeuses, et modËlent le prÈsent les prestiges du spectacle. U MÍmes questions, mÍmes angoisses plain-chant de la conscience. Ambitio sans cesse ressassÈes : et de rÈponse sans doute dÈmesurÈe. ni plus, ni moins. Ou plutÙt une seule : l Cet alerte sexagÈnaire est encore plei vie, cÕest-‡-dire une question. Seules, l de projets : celui sans cesse diffÈrÈ douleur et la mort semblent aller de soi. des aventures dÕHarry Dickson, dÕapr Ce qui ne veut pas dire queProvidenc la saga de Jean Ray, un "documentair est un film triste. CÕest au contraire u onirique" sur le marquis de Sade, un hommage ‡ lÕÈnergie, ‡ la volontÈ crÈ comÈdie musicale... CÕest une oeuvr trice, avec ses enthousiasmes et se ouverte par excellence que la sienne Èchecs. Ici, lÕhumour est, comme to susceptible de multiples interprÈtations jours, la marque de la libertÈ, pour n traversÈe dÕun inextricable rÈsea Documents disponibles au France pas dire dÕune certaine grandeur : s˚r dÕinfluences, et exigeant du spectate ment, la politesse du dÈsespoir. une participation active, une descent Positif n∞190, 193, 244/245, 268 Philippe Pilar vertigineuse dans un maelstrˆm de fan Avant-scËne cinÈma n∞195 La Revue du CinÈma - mars 197 tasmes. Revue du CinÈma - Mars 1977 Claude Beyli
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