un film de Armel Hostiou Paris, le temps d’une journée. Trois personnages, une femme, un homme et un enfant. Ils ne se connaissent pas mais partagent pourtant, insidieusement, un sentiment d’isolement.-
DISTRIBUTION EPICENTRE FILMS Daniel Chabannes Mobile : +33 (0)6 60 47 56 86 Programmation : Jane Roger Mobile : +33 (0)6 87 31 12 0555 rue de la Mare 75020 PARIS Tél +33 (0)1 43 4 03 03 ioeierefilo
PRESSE MakNa PRESSE Chloé Lorenzi Mobile : +33 (0)6 08 16 60 26 Audrey Grimaud Mobile : +33 (0)6 71 74 8 30 177 rue du ele 75003 Pari Tél +33 (0)1 42 77 00 16 ioaareeo
SyNopSIS
Paris, le temps d’u une f Ils ne se connaisse insidieuse
ifvaeitsecisdemfilnustenusatrurtnE.ropttelano,nieécn’oi.nUnneecfitcpeufilmquisommes pas dans un monde différent du nôtre, il ’ vraiment de risque : d’où vient lors cette n y a pas a menace qui pèse constamment sur les images ourquoi se senton si étranger face au connu
aymond arver, en parlant de l’écriture, disait qu’il trouvait touours on qu’un sentiment de menace, même léger, soit présent dans une fiction. ela permet de mettre à distance son oet, de le faire craindre, de le faire connaître différemment. utrement dit : la perception des coses, leur connaissance, est une istoire de perspective.
ives ouleverse nos perspectives sur la ville et ses moments mécaniques et ordinaires. n y voit trois traets umains au sein d’une ournée
FICHE ARTISTIQUE
Jasmina ijercic, ésar lakis, akar Jami
soir. ls ne se croisent pas, ils ne se connaissent pas. e sont des étrangers : étrangers les uns au autres, étrangers à l’espace inconfortale et dangereu, étrangers au temps lorsqu’ils s’asentent ou s’etraient du rytme contraignant de la ville. ’est ainsi que ives ouleverse tous repères et coordonnées eistentielles. e sentiment de familiarité et d’appartenance est réinterrogé on ne reconnaît plus les espaces, on doute du temps. ’est là que se situe sa menace. ans le film, caque instant devient alors crucial : un pas de plus dans la vie, un pas de plus vers la mort.
iara et amien E inéastes, memres de l’