Les très petites entreprises qui représentent de notre tissu économique ont être à l’honneur lors du prochain congrès de la profession à arseille en octobre prochain. Comment aider daantage ce poumon de l’économie Ce sera le grand thème du elrdre des xperts-Comptables qui restent les interlocuteurs priilégiésCongrès de de ces entreprises au potentiel incontournable.
Eleur profil et aucune ne itlles ont chacune la même situation. Les sont toutes dif-férentes aec à leur tête un chef d’entreprise bien distinct qui a donné ie à son projet parfois seul. L’expert-comptable peut donc appliquer certaines techniques identiques pour établir ses comptes mais en ce qui concerne la stratégie à adopter il doit appréhender chaque cas aec diplomatie et pschologie. ne entreprise en difficulté n’a pas besoin des mêmes conseils qu’une entreprise qui se porte bien en apparence mais qui ne songe sim-
plement pas à se déelopper. mener certains chefs d’entreprise à anticiper l’aenir à prendre du recul alors quils sont au cœur de l’action les rassurer s’ils manquent de confiance en eux les inciter à se poser pour réfléchir tout cela n’est pas chose aisée. n rôle difficile que doit jouer de plus en plus la profession si elle eut conquérir de noueaux marchés et étendre son influence auprès de ses clients.
RcR vc Rchc “e ne saais pas que sa mission était si large.” eureshematidunulnuadsndnigeaneuard’encutcetihcuderdtsàjéséj’«làesprse»nituximiadlauseuest.lmmocxesiesemtnraordnsSé.bdeariitsanesedsednaispudeencgeaon «J’emploie des free-lance pendant les concours. Je ne veux plus employer de salariés, ils ne sont pas assez flexibles. En ce moment, je suis sur des projets pour la ville de Paris, de Bordeaux, des éuipements, des loements comme des crèces, des casernes de pompiers… je préfère les marcés publics aux commandes privées ui sont moins rémunératrices. J’ai un ciffre d’affaires de euros par an.» ans son bureau des ordinateurs des maquettes éparses sur les étagères et une immense imprimante couleur. «J’ai un expert-comptable depuis . vrai dire je ne le vois u’une fois par an pour établir le bilan. Je ne le sollicite pas beaucoup, c’est vrai ue je ne savais pas ue sa mission était si lare, mais lui ne me propose pas rand-cose non plus. n n’a pas un rapport très proce, on ne part pas en vacances ensemble rires.l m’impressionne un peu. n n’a pas la même sensibilité.» Sébastien précise «je ne connais pas la mission d’un expert-comptable.a mienne est artistiue. Je n’ai pas été formé à la estion, donc Je l’utilise a minima. ais peut-être ue si j’étais amené à me développer je l’intéresserais plus. J’ai le sentiment ue Sbastien Duron, 39 ans,les experts-comptables ont besoin d’un projet de développement pour être motivés. Je continue à penser ue mon ciffre architected’affaires nest pas assez important pourlui.»