PLAYSOUND: magazine dédié à la culture rock
Description
• n u m é ro 2 • w w w. p l a y s o u n d . f r • j u i n 2012 • gratuit
Sujets
Informations
| Publié par | MarieRocks |
| Publié le | 07 février 2013 |
| Nombre de lectures | 117 |
| Langue | Français |
| Poids de l'ouvrage | 8 Mo |
Extrait
M AG A Z I N E D E D I E A L A C U LT U R E R O C K r a t u i t • g 0 1 2 2 u i n • j w w. p l a y s o u n d . f r 2 • w u m é r o• n
SILVERSTEIN WE ARE THE iN CROWD
ON EN DISCUTe” “ GREEN DAY: LA FOLIE DES GRANDEURS ET AUSSI :KEANE •PATRICK STUMP• YELLOWCARD •BIFFY CLYRO• KASABIAN • COLDPLAY• HOOBASTANK •METRIC• BOYS LIKE GIRLS •ENTER SHIKARI• A DAY TO REMEMBERSUPERBUS• Chrie •Ne• e er •Te • ©Photopit Access
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NUMERO •UIN • GRATUIT Aiirer e reer e he: i h ree e ii: i eir hrierreer: Yi h i eir ri hi eier ie e ee ee ri PAULINE RIVIERE PHOrhe: F Sheier
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TOUS LES MOIS
Playsound est une plateforme d’actualités, de découvertes et de chroniques musicales. Le site s’inscrit dans une démarche de promotion de la créativité et des talents. Les grands noms de la scène internationale y sont également abordés, à travers une couverture globale du rock sous toutes ses formes. L’objectif premier du site est de dégager une synergie du dynamisme lié à l’émergence d’une nouvelle scène montante et de l’expérience des piliers du domaine. Notre maga-zine culturel a pour but de vous conseiller dans vos écoutes et de permettre au plus grand nom-bre de bénéficier d’un résumé de qualité d’une information toujo-urs plus dense et plus riche.
Recrutement : www.playsound.fr/recrutement/
NB / Compléments des articles et supports audios sur le site. Dossi-ers exclusifs au magazine pendant 3 semaines.
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Sire EDi Pi Ne e LIVE REPORT : Ae ire Réei i : Geeri rè L’e Lie Ph i : Mie e : e re he i rIerie Aié ierie A Ue e ie : Gree ie e rer : e eer hriie Ierie : ierei RETRO : e r eie eire Seei i CHRONIUES Eêe : e r rçi ei éeiree r ’i
FESTIVALIERS FRANçAIS CET éé e RE
Comme chaque année, c’est à une véritable démonstration de force que se livre la communauté rock en Eu-rope. Plus que de simples concerts, les festivals constituent pour bon nombre de fans un rite initiatique à ne manquer sous aucun pretexte. Tous les ans, l’offre est variée : cer-tains évènements fédèrent, à l’image des Eurockéennes de Belfort pendant que d’autres tentent de maintenir leur orientation musicale, leur particular- ité et leur réputation, comme c’est le cas pour le Hellfest Festival. Souvent lésée par les groupes internationaux pendant l’année, la France possède de nombreux atouts qui lui permet -tent d’attirer de belles têtes d’affiches l’été. En 2012, mention spéciale aux programmations du Main Square Fes-tival (Arras) et de Rock en Seine, qui proposent un condensé de tous les ar-tistes qui font l’essentiel de l’actualité cette année. Peu importe le choix que vous ferez, il est à peu près certain que vous passerez du bon temps dans l’hexagone dans les prochaines se-maines si vous aimez les décibels.
Que vive la culture et ceux qui la font vivre !
Yi h Réer e he
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EDITO i
YELLOWCARD ALWAYS SUMMER
LINKIN PARK LIES GREED MISERY
BILLY TALENT Vii Deh Mrh
KEANE ON THE ROAD
THE HIVES GO RIGHT AHEAD
HOOBASTANK THIS IS GONNA HURT
OWL CITY Mr H DEMENTIA
METRIC SPEED THE COLLAPSE
THE PRETTY RECKLESSUNDER THE WATER
SUPERBUS A Ae
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Te UNTIL THE LAST
Fort d’une fanbase aus-si fidèle que massive, Until The Last, quintet post-hardcore de Va-lenciennes, ne perd pas le Nord, et ne cesse de surprendre. My Last Feelings, premier EP, n’était qu’un aperçu du talent de ce groupe à la plume redoutable. UTL s’apprête à con-quérir la blogosphère et l’hexagone grâce au sin-gle My Fairy Tale, ainsi qu’à deux passages très remarqués au Groezrock pour Macbeth. Avec un EP à venir, Until The Last devrait être la révélation française de l’automne.
ere: SCrEAMO
Mere: M Ae STEPH VIR e MeD
: FRANCE e: NON SIGNé ie iie: eihei
Te CANCER
Qui a dit que le punk-rock était réservé à nos amis outre-atlantique ? Aujourd’hui, Playsound vous propose de faire un petit tour en Europe, plus précisément en Su-isse, pour y rencontrer Cancer. Leur tout nou-vel EP « The Weight of the World » sorti le 12 mai dernier nous offre un punk rock énergique dans lequel bassiste et guitariste se parta-gent un chant puissant et éraillé associé à une batterie percutante et à des riffs de guitare plus incisifs les uns que les autres. Un talent à suivre pour les tous les amateurs de punk-rock ! ere: PUNK R Mere: e Ber Sii Si Se W r : SUISSE e: FLI RECORDS ie iie: erh
Te BASTILLE Malgré son nom, le groupe nous arrive d’Angleterre. Décou-vert en première partie de Keane, Bastille est l’œuvre de Dan Smith. L’histoire débute en 2010 avec quelques vidéos postées sur YouTube puis continue avec deux EP, dont le très bon Laura Palmer en 2011. A l’image du single “Over-joyed”, riche condensé d’électro/pop, le quat-uor s’illustre par des mélodies imparables et une énergie scénique débordante. Le groupe sortira son premier album dans l’année. ere: POP ROCK ere: DAN SMITH
: UK e: NON SIGNé ie iie: ieie
Te VERSAEMERGE
Si le style de VersaE-merge flirtait avec le hardcore à leurs débuts en 2006, c’est un rock alternatif moins agres-sif que nous offre le groupe avec son premier LP Fixed at Zero sorti en 2011 et révélant tout leur potentiel au public. L’énergie incomparable de la charismatique Si-erra Kusterbeck et les riffs bien sentis de Blake Harnage ont contribué au succès du groupe qui alterne entre univers un peu dark mené par une batterie énergique et sonorités plus calmes. Un nouvel LP est at-tendu prochainement.
ere: ROCK ere: Sierr Kere Be Hre
: USA e: Fee B Re ie iie: ereerei
Lie REPORT
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ANGELS AIRWAVES
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©Kmeron - Flickr
Le 7 Avril, jour du concert d’Angels Et la première partie arrive. Nommé “Le bienvenue de Box Car Racer :There is, and Airwaves. Un billet de train pour la Blorr”, ce trio venu de Floride ne nous après nous avoir raconté, tout en grat -capitale et c’est parti. Après quelques enchante pas vraiment. D’une part le tant quelques accords, comment il a arrêts de métro une file de jeunes style musical ne correspond pas trop perdu sa virginité. Histoire cocasse sur le trottoir du boulevard Voltaire à l’univers que nous propose la tête et très habilement contée. Le concert m’indique que je ne suis plus qu’à d’affiche, mais en plus les chansons ne est réellement plaisant. Malheureuse -quelques pas du Bataclan. nous ont pas séduit. Pour l’originalité, ment toutes les bonnes choses ont une l’énergie et la maîtrise de leurs instru - fin et après un rappel de deux chan -Notons qu’avant d’y entrer, le groupe ments, ils marquent des points, mais ça sons, le groupe quitte définitivement s’adonnait à une séance de dédicaces n’a pas semble-t-il pas suffit à convain - la scène (joliment décorée précisons dans un bar Parisien. Il parait qu’on ne cre l’ensemble de l’auditoire. le). Pour résumer les choses, ce con -pouvait pas leur parler, qu’on devait cert d’Angels and Airwaves était plutôt donner les objets à faire signer au staff Après leur départ, les lumières se rallu - fidèle à mes espoirs, autant qu’à mes qui les transmettait au groupe, lequel ment. Puis nous voilà remplongés dans craintes : bonne performance malgré la exécutait machinalement et tristement le noir quand vient l’intro deSaturdaylégendaire qualité discutable du chant, la tâche.Love excellente ambiance et le rock “Aérien”. Très bonne entrée en la matière, l’ambiance est au top et le public chante du groupe passe très bien dans un con -Dommage pour le public -et peut être le refrain en choeur. Le groupe en - cert qui nous plonge dans l’émotion le groupe- qui en attendait un peu plus chaîne ensuite sur des chansons issues et l’univers du groupe (avec de super -d’un après-midi qui aurait pu permet - de tous les albums, représentés plutôt bes jeux de lumières). On regrettera tre d’échanger quelques mots... équitablement. On regrette toutefois néanmoins un concert de seulement Revenons en au Bataclan. Après une as - l’absence de quelques titres phares 15 chansons, ce qui peut s’expliquer sez courte d’attente avec mon collègue dans la setlist. En tout cas, l’émotion toutefois par la longueur de celles-ci. de Playsound, nous entrons rapide - est présente tant sur scène que dans le ment dans la salle. Pour profiter d’une public. Ce dernier jouit en plus d’un son En tout cas le personnage de Tom De -musique comme celle d’Angels and et d’une performance plutôt corrects. longe a laissé bonne impression, tout Airwaves on choisit les gradins. Vue Evidemment, la réputation de Tom De - comme sa bande, y compris le nouveau parfaite, fauteuils confortables... quand longe est justifiée : il chante avec beau - batteur, très bien accueilli par la foule. on pense à ceux qui attendent debout coup d’émotion, mais il chante faux. On dans la fosse, on se dit que notre choix le regrette autant qu’on le pardonne. est d’autant plus judicieux. Surtout quand il nous offre une reprise• DORIAN COLAS
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LA Gééri MTV : ANS APRè
Le début des années 2000 est à n’en pas douter une période cruciale pour tous ceux qui s’intéressent à l’histoire du rock. Les premières années du nouveau millénaire ont en effet vu débarquer sur la scène internationale une vague de groupes -majoritaire -ment punk-rock- au charisme et à la popularité incontestable. Au delà d’un nouveau mouvement musical, c’est l’identification de toute une généra -tion d’ados à ces formations qui est clairement identifiable. Dès lors, l’heure est au bilan : près de 10 ans après l’émergence de cette génération, le mythe a-t-il été déconstruit ? Que reste-il de cette faste période pour la musique rock dans son ensemble ? Décryptage.
La génération MTV est avant toute chose un phénomène sociologique. C’est l’identification outrancière et massive des adolescents pour des fig -ures du rock. Rappelez vous : tournées mondiales complètes, ventes de disques phénomènales... Le rock est alors mainstream. Comment expli -quer cet engouement soudain pour la musique alternative dans son en -semble quand elle parait si marginale aujourd’hui ? La réponse est en partie contextuelle. Les années 90 ont été symbolisées par la musique grunge et le métal, à l’image de feu Kurt Kobain et de Metallica. Le rock se veut moins joyeux et moins orchestré. L’arrivée d’artistes tels que Blink-182 ou encore Green Day révolutionne donc le genre et réinvente l’exercice. Les structures sont moins basiques, les morceaux
gagnent globalement en dynamisme et en rapidité. Le punk-rock moderne est ainsi né, en Californie. C’est donc dans un premier temps l’aspect fon -damentalement novateur de cette musique qui explique cet engoue -ment. Nous parlons ici d’effet de mode : ce qui est nouveau est tendance, ce qui est tendance est diffusé, ce qui est diffusé est apprécié: la boucle est bouclée. Qu’on soit pour ou contre la mondialisation et le capitalisme, il est clair que c’est l’industrialisation in -tensive du marché du disque qui est à l’origine de cette réussite. La globalisa -tion du phénomène aux quatre coins du globe a permis de mobiliser des fans-bases conséquentes. Les médias sont alors des acteurs à part entière de cette réussite, à l’image de la chaîne américaine MTV. Nombreux sont ceux qui vont s’engouffrer dans la brèche : Sum 41, SR-71, Linkin Park, Good Charlotte... Tous réutilisent des codes vestimentaires, esthétiques et styllis -tiques qui leur sont propres, et tentent d’uniformiser leur musique. L’énergie et la puissance qui se dégagent des mélodies correspond parfaitement avec la confiance en l’avenir alors véhiculée par les jeunes des sociétés occidentales. C’était certain : ce mil -lénaire serait celui du progrès. Ce qui a fait la force de la génération MTV, c’est donc sa cohérence. Il y a alors peu de divergences entre les différents protagonistes de la scène rock inter -nationale. C’est aussi ce qui va causer sa perte : tenter d’être tous différents dans le même moule est un dilemme
paradoxal qui va enclencher un déclin lent mais certain du genre. Les labels en sont d’ailleurs les principaux re -sponsables : à trop tirer sur la ficelle, on finit par lasser. Toutes les grandes for -mations sont ainsi priées de retourner en studio et d’anticiper un tournant musical. C’est l’image d’une musique qui tente de prendre de la maturité en même temps que ses auditeurs. Pour appuyer mon raisonnement, prenons quelques exemples. 2007 est une an -née transitoire pour Sum 41, Linkin Park et Good Charlotte. En effet, les 3 formations, après des opus qui gagent progressivement en maîtrise, décident de changer radicalement de sonorités et d’explorer de nouveaux horizons. Ainsi, respectivement, “Underclass Hero” succède au brillant “Chuck”, “Minutes to Midnight” remplace le mythique “Meteora” et “Good Morn -ing Revival” fait suite à “The Chroni -cles of Life & Death”. Ces changements brutaux surviennent tous au même moment ; alors, coïncidence ? Cer -tainement pas. C’est encore une fois la preuve de l’existence de standards musicaux déterminés par les labels (via une poignée de producteurs qui réal -isent tous les opus des différents héros du rock US). Commercialement, ces 3 albums seront des échecs et sonneront le glas d’une carrière riche pour ces artistes. Ne soyons pas réactionnaires toutefois : de nombreuses autres for -mations n’ayant pas pris le risque de se réinventer disparaissent de la circula -tion sans laisser de trace. Quelle était donc la bonne stratégie à adopter ?
“LA Gééri e héèe iie ”
La réponse qui semble la plus perti -nente, c’est qu’il n’y en a pas. L’histoire du rock varie au fil du temps, et il est bien difficile de planifier les réac -tions des consommateurs de musique. Aujourd’hui, nous bénéficions d’une of -fre de musique rock beaucoup plus var -iée, quitte à être moins populaire. De nombreuses formations proposent une musique atypique qui fait du bien aux oreilles, mais qui à l’évidence ne fait plus fortune. Les communautés de fans sont plus modestes, et les ambitions également. Les choses semblent ainsi s’être ré-équilibrées d’elles-mêmes et pour cause : la génération MTV à aujourd’hui une vingtaine d’année, et elle a évidemment évolué musicale -ment parlant.
Il est toutefois assez drôle de constat -er que les pilliers de cette génération MTV tournent toujours, enregistrent plus que jamais et donnent encore du plaisir aux gens. Bien que leur supré -matie soit aujourd’hui limitée, un lien affectif évident reste de mise. C’est un peu comme si un amour aussi fort ne pouvait jamais vraiment disparaî -tre, et comme si ces figures bientôt d’anthologie acceptaient avec plaisir de vivre plus modestement. En bref : la passion fédère, et il y a fort à parier, quitte à agacer certains détracteurs des plus virulents, que cette génération MTV continuera de faire parler d’elle pendant encore bon nombre d’années.
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SUM e rie e e ri
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GUNS N’ROSES SHAKA PONK à Paris (75) - Bercy le Mardi 05 Juin 2012 à 20h00
THE OFFSPRING à Paris (75) - Bataclan le Lundi 11 Juin 2012 à 20h00
LOU REED à Paris (75) - Olympia le Lundi 11 Juin 2012 à 20h00
RISE AGAINST à Paris (75) - Bataclan le Jeudi 14 Juin 2012 à 19h30
MOTLEY CRYE à Paris (75) - Zenith le Lundi 18 Juin 2012 à 20h00
BUKOWSKI DEVIL DRIVER à Vaurel (95) - Forum le Mardi 19 Juin 2012 à 20h30
ADRENALINE MOB à Paris (75) - Maroquinerie le Dimanche 24 Juin 2012 à 19h30
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DEADMAU TOP à Paris (75) - Olympia à Paris (75) - Olympia le Lundi 25 Juin 2012 à 20h30 le Vendredi 27 Juillet 2012 à 20h00
Le ri à Paris (75) - Bercy le Mardi 26 Juin 2012 à 20h00
ALANIS MORISSETTE à Paris (75) - Zenith le Samedi 30 Juin 2012 à 20h00
RED HOT CHILI PEPPERS THE VACCINES à Paris (75) - Stade de France le Samedi 30 Juin 2012 à 19h00
METRIC à Paris (75) - Trianon le Mardi 03 Juillet 2012 à 18h45
GEORGE BENSON à Paris (75) - Olympia le Dimanche 08 Juillet 2012 à 19h00
HUGH LAURIE à Paris (75) - Olympia le Mercredi 11 Juillet 2012 à 20h00
MINISTRY à Paris (75) - Bataclan le Samedi 28 Juillet 2012 à 18h30
RAPPEL ei rçi De :
Si Paris - Longchamp Du 22 au 24 Juin
Eree Belfort Du 29 Juin au 1er Juillet
Mi re ei Arras (Citadel) Du 29 juin au 1er Juillet
r e eie Saint-Cloud Du 24 au 26 Août
© Nicolas Joubard
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OF MICE MEN BATOFAR PARIS MAI
INTERVIEW
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WE ARE THE IN CROWD RENCONTRE
© Billboard
A ’i e ee e héèe US à PAR IS LA réi e ée ire ie e ri
Playsound : Bonjour vous deux, PS : C’est aujourd’hui votre premier premirement d’o vient votre nom concert Paris. tes-vous excits, (We Are The In Crowd)? En France, qu’attendez-vous de cette grande nous ne vous connaissons pas encore premire ? vraiment, et souhaitions en savoir plus.TJ Je n’ai aucune idée de ce qui se : prépare ici. Je connais Paris mais n’y Taylor Jardine (chant) : jamais joué. ai À la base, c’était juste une idée esquissée qu’on a finalement gardée. C’était le titreJE : Nous faisons une tournée eu-d’un livre pour enfants que j’avais, qui ropéenne si rapide que nous n’avons s’appelait The In-Crowd, mais nous pas le temps de nous préparer aux avons finalement choisi de rajouter types de publics, nous espérons juste We Are, notamment pour des prob- voir des tonnes de jeunes venir et ap-lèmes de copyright, ce qui peut paraî- précier autant que possible le concert, tre confus au premier abord, nous français ou non ! l’admettons. PS : Le groupe est n en 2009. PS : Quelles sont vos principales influ- Aujourd’hui vous avez tourn avec All ences en tant que groupe ? Time Low, The Maine et êtes actuel-lement en tourne avec des groupes TJ Musicalement, nous citons toujo- :comme Every Avenue (qui a annul urs le même ensemble de groupes :la tourne, ndlr), The Summer Set, … New Found Glory, Foo Fighters, JimmyComment expliquez-vous un succs si Eat World, The Starting Line, …soudain ? Jordan Eckes (guitare, chant) Nous :TJ: On ne l’explique pas vraiment car écoutons tous des groupes différents, nous avons cette chance de voyager tous nos parents sont musiciens et de et de voir toutes ces villes en étant ce fait nos influences sont variées. aussi excités que nos fans. Ca n’est
pas qu’une somme de concerts, c’est quelque chose de véritablement ex -citant. PS : Connaissez-vous des artistes franais ? Quelle image vous faites-vous de l’art ici ? JE: Je suis allé une fois voir la Maison de Monet sinon … TJ: Je ne vois pas trop … Oh si : Chunk! No, Captain Chunk!, j’en connais un ! Et ils ont le meilleur nom de groupe pos-
“N re e ’iée i e i e i irer r e rhi ”
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INTERVIEW
e reier e ri “e iei” e iie ei e i ’re
sible. Je veux un groupe qui s’appellePS : Comment vous connectez-vous Chunk! No, Captain Chunk!. (rires)avec vos fans aux Etats-Unis qui, vu votre page Facebook, sont par -PS : Best Intentions est sorti en 2010 ticulirement nombreux et fidles ? sur Hopeless Records. Avez-vous de nouvelles chansons dans les cartons ?TJ: C’est la même chose avec nos fans Ecrivez-vous tout en tant en tourne ?dans le monde entier, on a une fan-base très variée avec de nombreux JE et on essaie de répondre aux profils On enregistre beaucoup de sons : sur nos ordinateurs, mais c’est assez messages, de voir les fans après les dur, car hors des concerts, on pense concerts, de créer des chances pour surtout à se reposer. eux de s’exprimer à travers des con-cours. Nous ne serions rien sans eux. TJ On garde beaucoup d’idées, mais : on ne sait pas ce qui finira ou pas sur lejeu la franaise, nous al-PS : Un petit prochain album. Les choses se passentdire un mot, et vous devrez ylons vous réellement en studio, même si c’est larpondre par un autre. C’est parti. tournée qui nous inspire. TJ: C’est parti … (rires) PS : Vous avez travaill avec Alex Gaskarth pour le clip de Kiss Me Again. PS : tre en tourne. Comment ce tournage s’est-il pass ? TJ: La meilleure des expériences. TJ C’était juste fun. Il a enregistré :JE: Du travail. les pistes voix pendant la dernière tournée européenne, et on n’a jamaisPS : Vans Warped Tour en 2012. eu l’impression de travailler. TJ: Bandcamp. JE : Sûrement pour lui, mais pas pourJE: Impatience. nous … (rires)
PS : Jouer en premire partie d’All Time Low. TJ: Fun. JE: Fun. (rires) PS : Les jours de repos. TJ: Dormir. JE: Dormir. (rires) PS : Avec quels artistes aimeriez-vous travailler plus tard ? TJ: Mon rêve serait de collaborer avec P!nk, mais bon ça n’est pas partagé par mes potes du groupe … JE: En effet. (rires) PS : Des sorties venir ?
TJ Nous vivons au jour le jour, mais : attendez-vous à de nouveaux singles, clips et à des versions acoustiques très prochainement !
r reeii r EMMANUEL VAN ELSLANDE • Mhi eier
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