Paris en chiffres, tableau de bord n°42- aout 2009.pub
9 pages
Français

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris

Paris en chiffres, tableau de bord n°42- aout 2009.pub

-

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris
Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus
9 pages
Français
Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus

Description

Paris en chiffres, tableau de bord n°42- aout 2009.pub

Sujets

Informations

Publié par
Nombre de lectures 76
Langue Français

Extrait

Sommaire
Synthèse
Bilan du premier semestre et perspectives pour le second en page 1 et 2
Bilan du premier semes tre et perspectives
Comparaison européenne sur le premier semestre
Arrivées hôtelières
Nuitées hôtelières
Taux d’occupation dans l’hôtellerie homologuée
Tourisme d’affaires
Note méthodologique
Prix moyen et RevPAR globaux
Prix moyen et RevPAR par catégorie
Hôtellerie par zones touristiques
Trafic dans les Aéroports de Paris
Cours de l’euro par rapport au dollar américain et au yen
Fréquentation culturelle
Tableau de bord
Office du Tourisme et des Congrès de Paris
1
12
3
4
5
6
6
7
7
7
8
9
9
9
Directeur de la publication : Paul Roll
Réalisation : Natacha Ducatez
Un mois de juin dynamisé par la clientèle d’affaires
La fréquentation touristique du mois de juin est tradi tionnellement l’une des meilleures de l’année. Com me les années précédentes, ce mois a été dynamisé par des événements impor tants : le tournoi de Roland Garros a accueilli 460 000 spectateurs du 24 mai au 7 juin (5 000 de plus qu’en 2008). Le Salon du Bourget, e pour son 100 anniversaire, a lui attiré 360 000 visiteurs (entre le 15 et le 20 juin). Comparé à l’édition précé dente (en 2007), cette fré quentation est stable, mal gré une baisse du nombre de professionnels (140 000 au lieu de 150 000).
Les touristes d’affaires ont été très présents : alors que leur part dans l’hôtellerie parisienne n’avait pas dé passé les 47 % entre janvier et mai 2009, au mois de juin elle atteint les 51 %. Le nombre de nuitées de ces touristes est même en légè re progression (+1,1 %, soit +16 327 nuitées supplémen taires) par rapport à juin 2008, ce qui n’est pas le cas pour les touristes de loisirs (6,7 %). Pour la première fois de l’année, le nombre de nuitées loisirs est infé rieur à celui des nuitées d’affaires. L’hôtellerie parisienne enre gistre tout de même un bon
taux d’occupation global (82,1 %), qui atteint les 86 % pour les établissements 2*. Parmi le top 10 des touristes étrangers, quatre nationali tés affichent des hausses au mois de juin : le Proche et MoyenOrient (+17 %), l’Alle magne (+15 %), la Suisse (+6 %) et les EtatsUnis (+3,5 %). Ces croissances ne suffisent cependant pas à retrouver le niveau général du mois de juin 2008 : le nombre d’arrivées régresse de 4,6 % et celui des nuitées de seulement 2,9 %, grâce à la durée de séjour moyenne dans l’hôtellerie qui pro gresse de 1,7 % pour s’éta blir à 2,3 nuits.
er Bilan : un 1 semestre 2009 au niveau de celui de 2006
Avec un taux d’occupation moyen de 72 % pour les six premiers mois de l’année, l’hôtellerie parisienne, bien qu’en recul par rapport à 2008 (6,3 points) du fait de la crise, enregistre des ré sultats satisfaisants. Ce taux d’occupation se situe entre les niveaux de 2005 et 2006 et cela grâce à la durée de séjour qui se prolonge, ten dance que l’on observe de puis plusieurs années. Par er rapport au 1 semestre 2006, la durée de séjour a augmenté de 6 % (+5 % pour
les français et +8 % pour les étrangers). De fait, les nui tées décroissent moins for tement que les arrivées et atteignent un niveau stable par rapport à celui de 2006 (0,7 %). Pour les français et les étrangers hors top 10, le er nombre de nuitées du 1 semestre 2009 est même supérieur à celui de 2006 (respectivement +4 % et +15 %). La baisse globale de la fré quentation hôtelière, que l’on observe depuis l’été 2008, touche principalement
les touristes étrangers. Les britanniques et les japonais sont les nationalités les plus impactées : les premiers enregistrent de fortes bais ses continues depuis juin 2008, les seconds sont en recul depuis juillet 2007. Sur le premier semestre 2009, les baisses sont respective ment de 23 % et 28 %. Les espagnols sont également en fort recul (19 %). Cepen dant, les américains, qui avaient été parmi les pre miers à subir la crise finan cière (dès 2007), retrouvent
  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents