À la recherche des jardins perdus - article ; n°1 ; vol.106, pg 229-238

Piponnier Françoise

Description

Mélanges de l'Ecole française de Rome. Moyen-Age - Année 1994 - Volume 106 - Numéro 1 - Pages 229-238
Françoise Piponnier, À la recherche des jardins perdus, p. 229-238. Les recherches archéologiques menées en France ont retrouvé les traces de deux types de jardins. Les vestiges d'un jardin de plaisance, ceint de murailles et flanqué de tourelles, publiés par E. Zadora-Rio, restent un cas unique; ils renvoient à toute la symbolique du jardin d'Eden, à celle du jardin clos, développée dans de nombreux textes et souvent représentée par l'iconographie. Beaucoup plus fréquentes sur le terrain sont les traces de jardins potagers, mal connus en revanche à travers la documentation écrite. En raison des reconstructions elles restent souvent difficiles à interpréter en ville. Les sites ruraux, en particulier les villages désertés livrent les vestiges les mieux conservés. Leurs limites peuvent être matérialisées par des palissades, des clayonnages ou des murets en pierre sèche, des murs de terrasses soutiennent la terre rapportée, parfois même des traces de leurs modes de mise en culture peuvent être observées.
10 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

Informations

• Publié par: MELANGES_DE_L-ECOLE_FRANCAISE_DE_ROME
• Publié le: 01 janvier 1994
• Nombre de lectures: 17
• Langue: Français

Extrait

Françoise Piponnier

À la recherche des jardins perdus

In: Mélanges de l'Ecole française de Rome. Moyen-Age, Temps modernes T. 106, N°1. 1994. pp. 229-238.

Résumé

Françoise Piponnier, À la recherche des jardins perdus, p. 229-238.

Les recherches archéologiques menées en France ont retrouvé les traces de deux types de jardins. Les vestiges d'un jardin de

plaisance, ceint de murailles et flanqué de tourelles, publiés par E. Zadora-Rio, restent un cas unique; ils renvoient à toute la

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documentation écrite. En raison des reconstructions elles restent souvent difficiles à interpréter en ville. Les sites ruraux, en

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palissades, des clayonnages ou des murets en pierre sèche, des murs de terrasses soutiennent la terre rapportée, parfois même

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doi : 10.3406/mefr.1994.3362

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/mefr_1123-9883_1994_num_106_1_3362