Bulletin d épigraphie sémitique 1973 - article ; n°3 ; vol.50, pg 401-442
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Bulletin d'épigraphie sémitique 1973 - article ; n°3 ; vol.50, pg 401-442

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Description

Syria - Année 1973 - Volume 50 - Numéro 3 - Pages 401-442
42 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

Informations

Publié par
Publié le 01 janvier 1973
Nombre de lectures 37
Langue Français
Poids de l'ouvrage 3 Mo

Extrait

Javier Teixidor
Bulletin d'épigraphie sémitique 1973
In: Syria. Tome 50 fascicule 3-4, 1973. pp. 401-442.
Citer ce document / Cite this document :
Teixidor Javier. Bulletin d'épigraphie sémitique 1973. In: Syria. Tome 50 fascicule 3-4, 1973. pp. 401-442.
doi : 10.3406/syria.1973.6409
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/syria_0039-7946_1973_num_50_3_6409BULLETIN D'ÉPIGRAPHIE SÉMITIQUE
1973
PAR
Javier Teixidor
1. Écriture. Langue. Grammaire. — F. A. Pennacchietti, Studi sui pronomi
delerminalivi semitici (Pubblicazioni del Seminario di Semitistica, IV), 1st. Or. Napoli, 1968.
2. J. T. Milik, p. 291 (Bull., 31) : remarques sur le pronom personnel «moi»
('nwky) dans l'inscription Tadmorea 18 de Palmyre.
3. A. Kjell, « Uber die Parallelformen des selbstândigen Personalpronomens der
I. Person Singular im Semitischen », dans Ugar.-Forsch. 3 (1971), pp. 1-7.
4. Ch. R. Krahmalkov, « Comments on the Vocalization of the Suffix Pronoun of
the Third Feminine Singular in Phoenician and Punic », dans Journ. Sem. Stud. 17 (1972),
pp. 68-75, étudie deux inscriptions néo-puniques en latin, cf. J. M. Reynolds-J.B. Ward-
Perkins, The Inscriptions of Roman Tripolitania (1952), nos 827 et 826. La première
inscription dit : LYMYTH ICSIN AMICE / BAL YSRIM YSA / VMYLTHE ; l'auteur
traduit « For the deceased, Icsin Amice, age twenty, husband of Umylthe ». YSA est le
mot 's, « époux », avec le suffixe féminin -a ; il faut donc traduire par « son époux à elle,
Umylthe ». Cette construction de la phrase est connue en phénicien, cf. Bull. 1970, 71 ;
voir aussi Friedrich-Rôllig, Phôn.-pun. Gramm. (1970), n° 287c, et M. Dahood, «The
Phoenician Contribution to Biblical Wisdom Literature », dans The Role of the Phoeni
cians in the Interaction of Mediterranean Civilizations, éd. par W. A. Ward (Beirut, 1968),
p. 140. Sur le suffixe de la 3e pers. fém. en général : Friedrich-Rôllig, Gramm., n° 234. —
Dans la deuxième inscription (n° 826) l'auteur interprète AVIA par « her brother ».
Pour le suffixe -y* de la 3e personne dans les substantifs « père » et « frère », cf. Friedrich-
Rôllig, Gramm., n° 240, 1-2. A propos de AVIA l'auteur rappelle la transcription byn ui,
« fils de mon frère » dans le « Poenulus » de Plaute, verset 932, cf. M. Sznycer, Les passages
puniques en transcription latine dans le « Poenulus » de Plaute (Paris, 1967), p. 65. Il est
intéressant de comparer cette transcription avec le nom Etpcofxoç de Josèphe (Contra Ap.
1, 109) et avec les noms 'I[/.uXx, Himilco, etc., cf. Benz, p. 264 (Bull., 42).
* Pour les Bulletins précédents voir Syria 44 (1967)-49 (1972). 402 SYRIA [L
5. J. T. Milik, p. 331 (Bull., 31) : note sur les noms sémitiques en transcription
grecque qui ont gardé le suffixe pronominal de la 3e pers. du féminin : 'E(X[X7)Sa6ouaç et
'Itza6ou<xç (les deux au génitif), « mère de son père » ; 2aXa[x6oua> « Paix de son père », etc.
Voir ici nos 4 et 34.
6. E. Y. Kutscher, «The Hermopolis Papyri», Isr. Or. Studies 1 (1971), pp. 103-
119, analyse les rapports linguistiques existant entre les papyrus d'Hermoupolis et
d'autres documents araméens. Pour l'édition des papyrus voir Bull. 1969, 58.
7. A. Dotan, « Phoenician A>0 Shift in Some Greek Transcriptions », dans Ugar.-
Forsch. 3 (1971), pp. 293-297.
8. J. Blau-S. E. Loewenstamm, « Zur Frage der Scriptio plena im Ugaritischen und
Verwandtes», dans Ugar.-Forsch. 2 (1970), pp. 19-33.
9. M. Z. Kaddari, « Construct State and Di- Phrases in Imperial Aramaic »,
Proceed. Intern. Conference on Sem. Studies 1965 (Jerusalem, 1969), pp. 102-115.
10. J. S. Croatto, « L'article hébreu et les particules emphatiques dans le sémitique
de l'ouest», Archiv Orienlâlni 39 (1971), pp. 389-400.
11. E. Y. Kutscher, «Aramaic», dans Current Trends in Linguistics 6 (1970),
pp. 347-412 : important article sur le développement des études araméennes dès la
publication du livre de F. Rosenthal, Die aramaistische Forschung seit Th. Nôldekes
Verôffentlichungen (Leiden, 1939).
12. D. Cohen, Dictionnaire des racines sémitiques ou attestées dans les langues
sémitiques (comprenant un fichier comparatif de Jean Caniineau). Fascicule I : 'jh-'tn
(Paris : Mouton, 1970). xxxv+36 pages. « Chaque racine comme entrée est suivie dans une
première partie de formes transcrites et traduites qui la représentent dans chaque
langue. »
13. J. Naveh, « The North-Mesopotamian Aramaic Script-Type in the Late Parthian
Period », Isr. Or. Studies 2 (1972), pp. 293-304 : étude des écritures araméennes tardives
dont le développement fut analogue à celui du palmyrénien ou du syriaque. Naveh passe
en revue : l'inscription d'Armazi (Géorgie), cf. Donner-Rôllig, KAI 276 ; celle de Garni,
cf. A. Périkhanian, « Inscription araméenne de Garni » (en russe), dans la revue armé
nienne Patma-banasirakan handes 3 (1964), pp. 123-137 (Naveh reproduit à la p. 297 le
dessin de l'inscription publié par MIle Périkhanian) ; les textes de Nisa (Bull., 161) ; les
inscriptions de Sari et de Hassan-Kef (cf. H. Pognon, Inscriptions sémitiques de la Syrie,
de la Mésopotamie et de la région de Mossoul [1907], n08 60 et 61) ; les inscriptions bien
connues de Hatra et d'Assour. A ce groupe de documents il faut ajouter maintenant la
nouvelle inscription de Sissian (Arménie) publiée ici, cf. n° 172. Naveh donne un tableau
de toutes ces écritures à la p. 299. Voir aussi le tableau publié par A. Gaquot dans Syria
29 (1952), p. 107 (l'écriture du parchemin d'Avroman [E. H. Minns, JHS 1915, 3-65] et
les formes pehlevies [arsacides et sassanides] y ont été inclues) ainsi que celui de J.
Pirenne, Syria 40 (1963), pp. 101-137, en particulier tableau I (cet article a été cité par
Naveh). Noter encore que l'écriture des bornes publiées ici n° 171 est d'un grand intérêt
pour l'histoire de l'araméen tardif. BULLETIN D'ÉPIGRAPHIE SÉMITIQUE 403 1973]
14. A. R. Millard, « The Practice of Writing in Ancient Israel », Bibl. Arch. 35
(1972), pp. 98-111.
15. J. Naveh, « Some Semitic Epigraphical Considerations on the Antiquity of the
Greek Alphabet», Am. Journ. Arch. 77 (1973), pp. 1-8.
16. Terminologie. — M. Dietrich, p. 121 note 1 (Bull., 25) note que balâmu est
un terme emprunté par le babylonien à l'araméen. L'auteur suit W. von Soden, « Ara-
mâische Worter in neuassyrischen und neu- und spâtbabylonischen Texten. Ein Vor-
bericht II», Orientalia 37 (1968), n° 165, pp. 269-270, qui traduit le terme par « den
Mund zubinden, knebeln ». Von Soden note qu'il existe en syriaque et en judéo-araméen ;
noter que blm appartient aussi à la terminologie magique des Mandéens, cf. E. M. Yamau-
chi, Mandaic Incantation Texts (New Haven, 1967), p. 314.
17. B. Margulis, p. 136 (Bull., 41) : mrzh apparaît dans un texte récemment trouvé
à Ugarit. A ce propos l'auteur signale à bon droit le tarif de Marseille, ligne 16 : kl mzrh
wkl sph wkl mrzh 'lm (Donner-Rôllig, KAI II, p. 84 : « Jeder Stamm und jede Familie
und jede Festversammlung [zu Ehren] der Gottheit... »). Sur mrzh voir aussi Bull. 1971, 24.
— Dans le texte du tarif le premier terme mzrh est obscur ; il a été étudié par M. Sznycer
dans un article (Semitica 22 [1972], 36-39) que je présenterai dans le prochain Bull.
18. Sur la fonction de rb mrzh, «président de thiase » : J. T. Milik, pp. 109-110,
277-281 (Bull., 31).
19. P. Marrassini, Formazione del lessico dell'edilizia militare nel semitico de Siria
(Firenze, 1971).
20. S. P. Brock, Vetus Test. 18 (1968), pp. 395-397, étudie l'emploi du verbe rkb
dans les langues sémitiques afin d'éclaircir l'interprétation qu'il faut donner à l'épithète
rkb 'rpt des textes d'Ugarit (G. Gordon, UT 2331). E. Ullendorf, Bull. John Bylands
Library 46 (1963), pp. 243 ssq., croit qu'il faut le traduire par « cloud gatherer » plutôt que
«rider of the clouds » d'après l'épithète vscpsX^yspsTa appliquée à Zeus dans Odyssée I, 64.
21. A. Malamat, «Aspects of Tribal Societies in Mari and Israel», dans XVe
Benconlre assyr. intern. La Civilisation de Mari (Université de Liège, 1967), pp. 129-138,
analyse les termes gaum (Mari) et gwy (hébr.) ; sur celui-ci : Bull. 1969, 82.
22. Noms de fonction dans les textes de Nisa, cf. nos 162-169.
23. J. T. Milik, pp. 108-

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